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  • Michel Onfray : « Eric Zemmour est un bouc émissaire idéal pour la gauche »

    Michel Onfray réagit à l’éviction d’Eric Zemmour d’I-télé. Le philosophe considère qu’en France, la controverse a été remplacée par un discours uniforme et snob qui étouffe le mouvement des idées.

    Après l’éviction d’Eric Zemmour d’I-télé vous avez tweeté. « Désormais on licencie, on pétitionne, on vitupère au plus haut niveau de l’Etat pour raisons idéologiques. Permanence du bûcher ! ». Pensez-vous vraiment que la « tête » d’Eric Zemmour ait été exigée au plus haut niveau de l’Etat ?

    Michel ONFRAY : Je ne sais pas, car si c’est le cas, seules quelques personnes le savent vraiment… Mais je me souviens que le porte-parole de l’Elysée a affirmé de quoi nourrir cette idée. Je ne sais ce qui a motivé cette chaîne à agir ainsi, mais elle est en phase avec ce que le gouvernement a souhaité.

    En diabolisant Eric Zemmour, le gouvernement cherche-t-il à faire oublier son bilan ?

    La gauche qui est au pouvoir depuis 1983 n’est plus de gauche parce qu’elle s’est convertie au libéralisme et que, dans le libéralisme, ce sont les marchés qui font la loi, pas les politiques - qui se contentent de l’accompagner et de le favoriser plus ou moins… Le bilan, c’est celui du libéralisme, donc celui de Mitterrand après 83, de Chirac pendant deux mandats, de Sarkozy pendant un quinquennat, de Hollande depuis son accès au pouvoir. Si ces gens-là veulent se distinguer, il faut qu’ils le fassent sur d’autres sujets que l’économie libérale, les fameux sujets de société bien clivants : mariage homosexuel, procréation médicalement assistée, vote des immigrés, théorie du genre sous prétexte de féminisme, euthanasie ou soins palliatifs, dépénalisation du cannabis, vote des étrangers, etc.

    Zemmour est une excellente aubaine pour la gauche : il suffit d’en faire l’homme de droite par excellence, le représentant du « bloc réactionnaire » comme le martèle Cambadélis, (ancien trotskyste, condamné par la justice, mais néanmoins patron du PS…) le spécimen du penseur d’extrême-droite, pour se trouver un bouc émissaire qu’on égorge en famille, en chantant ses propres louanges pour une si belle occasion. « Nous sommes donc bien de gauche, nous, puisqu’il est de droite, lui ! » vocifèrent-ils en aiguisant le couteau.

    Ce que la gauche veut faire oublier c’est moins son bilan que son appartenance, avec la droite libérale, au club de ceux qui font le monde comme il est. Autrement dit : au club de ceux qui nourrissent le Front National qui ne vit que des souffrances générées par le marché. Il y a donc intérêt pour eux tous, droite libérale et gauche libérale, à se retrouver comme un seul homme pour égorger la victime émissaire qui dit que le FN progresse avec un quart de siècle de la politique de ces gens-là. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Michel-Onfray-Eric-Zemmour-est-un

  • L’utopie islamolâtre confrontée à la triste réalité

    Décidément, la réalité déborde de partout la chape de plomb dont les médias officiels veulent la couvrir. La semaine où Eric Zemmour est chassé d’une chaîne de télévision, parce qu’il dit tout haut ce que personne n’a le droit de dire, on apprend entre autres :

    - qu’un musulman a poignardé 3 policiers à Joué-les-Tours,

    - que trois autres musulmans ont percuté 11 piétons avec leur voiture à Dijon, en criant « Allahu Akbar ».

    Nous avons déjà eu l’occasion de parler de l’islamolâtrie obséquieuse de Manuels Valls. Mais Bernard Cazeneuve, son ectoplasmique remplaçant au Ministère de l’Intérieur, également en charge des cultes, ne vaut guère mieux.

    On se rappelle sa déclaration sur les racines chrétiennes de la France : « Evoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une relecture historique frelatée qui a rendu la France peu à peu nauséeuse. » Un concentré de vomi, avec tous les éléments de langage du politiquement correct anti-français.

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  • Un jour, un texte ! La Patrie selon le RP Henri-Dominique Lacordaire (3/5)

    R.P. HENRI-DOMINIQUE LACORDAIRE

    DISCOURS SUR LA VOCATION DE LA NATION FRANÇAISE

    PRONONCÉ À NOTRE-DAME DE PARIS, LE 14 FÉVRIER 1841,

    POUR L'INAUGURATION DE L'ORDRE DES FRÈRES PRÊCHEURS EN FRANCE.

    Non loin des bords du Rhin, un chef barbare livrait bataille à d'autres barbares : ses troupes plient ; il se souvient dans le péril que sa femme adore un Dieu dont elle lui a vanté la puissance. Il invoque ce Dieu, et, la victoire ayant suivi sa prière, il court se prosterner devant le ministre du Dieu de Clotilde : «Doux Sicambre, lui dit saint Remy, adore ce que tu as brûlé, et brûle ce que tu as adoré». Ce Dieu, Messieurs, c'était le Christ ; ce roi, cette reine, cet évêque, cette victoire, c'était la nation franque, et la nation franque était la première nation catholique donnée par Dieu à Son Église. Ce n'est pas moi qui décerne cette louange magnifique à ma patrie ; c'est la papauté, à qui il a plu, par justice, d'appeler nos rois les fils aînés de l'Église. De même que Dieu a dit à Son Fils de toute éternité : Tu es Mon premier né, la papauté a dit à la France : Tu es ma fille aînée. Elle a fait plus, s'il est possible ; afin d'exprimer plus énergiquement ce qu'elle pensait de nous, elle a créé un barbarisme sublime : elle a nommé la France le Royaume christianissime, - Christianissimum regnum. Ainsi, primogéniture dans la foi, excellence dans la foi, tels sont nos titres, telle était notre vocation.

    Y avons-nous répondu ? Car il ne suffit pas d'être appelé, il faut répondre à sa vocation. Avons-nous répondu à la nôtre ? C'est demander ce que notre patrie a fait pour Jésus-Christ et Son Église.

    L'Église a couru trois périls suprêmes : l'arianisme, le mahométisme, le protestantisme ; Arius, Mahomet, Luther, les trois grands hommes de l'erreur, si toutefois un homme peut être appelé grand lorsqu'il se trompe contre Dieu.

    L'arianisme mit en question le fond même du christianisme, car il niait la divinité de Jésus-Christ, et la divinité de Jésus-Christ, c'est tout le christianisme. Si en effet l'arianisme dit vrai, Jésus-Christ n'est plus qu'un grand homme qui a eu des idées, et qui est mort pour ses idées. Or, cela s'est vu, et pour l'honneur de l'humanité, cela se verra encore ; c'est l'histoire de Socrate. Mais, mourir quand on est Dieu, quand on peut ne pas mourir, quand on a la toute-puissance pour faire régner ses idées ; mourir afin de susciter l'amour dans les cœurs, voilà ce que les hommes ne font pas, ce qu'a fait Jésus-Christ, et ce qui constitue le mystère du christianisme, mystère né de l'amour pour produire l'amour.

    Arius fut soutenu dans son hérésie par le rationalisme et l'esprit de cour ; le rationalisme, qui s'accommodait naturellement d'un philosophe substitué à un Dieu ; l'esprit de cour, qui était effrayé de la croix, et qui, en la transportant d'un Dieu à un homme, croyait en éloigner de ses viles épaules le rude fardeau. Le rationalisme prêta aux ariens l'appui d'une dialectique subtile ; l'esprit de cour, la double force de l'intrigue et de la violence. Cette combinaison mit l'Église à deux doigts de sa perte, si toutefois il est permis d'user de pareilles expressions, de ne juger que d'après la superficie des choses, d'oublier que le christianisme a en soi une puissance infinie de dilatation, et qu'il la conserve toujours, alors même que les yeux infirmes de l'homme le croient anéanti, comme si dans l'invisible unité d'un point mathématique ne pouvaient pas tenir des mondes. Mais, sans aller jusqu'à des expressions qui sembleraient douter de l'immortalité de l'Église, toujours est-il que le succès de l'arianisme fut immense, et qu'après avoir corrompu une partie de l'Orient, il menaçait l'Occident par les Barbares, qui, en y portant leurs armes, y portaient son esprit. Ce fut alors que notre aïeul Clovis reçut le baptême des mains de saint Remy, et que, chassant devant lui les peuplades ariennes, il assura en Occident le triomphe de la vraie foi.

    L'arianisme penchant vers son déclin, Mahomet parut. Mahomet releva l'idée d'Arius à la pointe du cimeterre. Il voulut bien reconnaître que Jésus-Christ était un grand prophète ; mais, comme son prédécesseur, il en nia la divinité.

    Il lui sembla qu'Arius n'avait pas assez donné à la corruption, il lui donna davantage ; et ce moyen ne devant pas suffire à la conversion de l'univers, il déchaîna les armes. Bientôt le mahométisme attaquait par tous les points à la fois la chrétienté. Qui l'arrêta dans les champs de Poitiers ? Encore un de vos aïeux, Charles-Martel. Et plus tard, le péril ne faisant que s'accroître avec les siècles, qui songea à réunir l'Europe autour de la croix, pour la précipiter sur cet indomptable ennemi ? Qui eut le premier l'idée des croisades ? Un pape français, Sylvestre II. Où furent- elles d'abord inaugurées ? Dans un concile national, à Clermont ; dans une assemblée nationale, à Vézelay. Vous savez le reste, ces deux siècles de chevalerie, où nous eûmes la plus grande part dans le sang et dans la gloire, et que couronne glorieusement saint Louis mourant sur la côte africaine.

    Après ces deux honteuses défaites, le démon comprit qu'il n'atteindrait jamais son but en s'attaquant directement à Jésus-Christ. Car Jésus-Christ et l'Évangile, c'est la même chose, et l'Évangile va trop droit au cœur des hommes pour espérer de l'y détrôner. Mais l'Église, ce n'est plus Jésus-Christ qu'indirectement ; elle est composée d'hommes sujets aux faiblesses et aux passions de l'humanité : on pouvait peut-être, dans ce côté humain, ruiner l'œuvre divine. Luther vint au monde ; à sa voix l'Allemagne et l'Angleterre se séparèrent de l'Église, et si une grande nation de plus, si la France eût suivi leur terrible invitation, qui peut dire, le miracle à part, ce que fût devenue la chrétienté ? La France n'eut pas seulement la gloire de se tenir ferme dans la foi ; elle eut à combattre dans son propre sein l'expansion de l'erreur représentée par Calvin, et la révolte d'une partie de sa noblesse, un moment appuyée de la royauté. L'élan national la sauva ; on la vit, confédérée dans une sainte ligue, mettre sa foi plus haut que tout, plus haut même que la fidélité à ses souverains, et ne consentir à en reconnaître l'héritier légitime qu'après que lui-même eut prêté serment au Dieu de Clovis, de Charlemagne et de saint Louis.

    Lois Spalwer  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Perte de la nationalité française pour les djihadistes binationaux

    Le Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam (CPDSI) a publié récemment un rapport intéressant sur la description de l’embrigadement des djihadistes français. Il tendait toutefois à minimiser la part prise par les jeunes binationaux issus de l’immigration. Ce rapport soulève également la question de la responsabilité individuelle des radicalisés, quelle que soit leur origine. Un certain nombre disparaîtra dans les combats, suite aux frappes de la coalition, y compris françaises, ou pour désertion, tués par leurs propres frères du djihad. Mais nous devons aussi prendre des mesures de prévention des risques, notamment l’empêchement juridique au retour et au maintien dans notre pays.

    Ces jeunes sont-ils responsables ou victimes ? Sont-ils récupérables et faut-il chercher à les récupérer ? S’il est louable de tenter d’enrayer leur radicalisation et leur départ par une mesure administrative de retrait du passeport, les impétrants doivent, in fine, assumer leur choix.. Ils ne peuvent plus dire aujourd’hui qu’ils ne savaient pas ce qui les attendait en Syrie ou en Irak !

    Dounia Bouzar, directrice du CPDSI, dit elle-même qu’il faut compter sur la prévention, « car une fois que le jeune est endoctriné, c’est très difficile de le déradicaliser ».

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  • Les « hedge funds » impatients d’en finir avec l’assouplissement quantitatif

    Critiques à l’égard de la politique de la Réserve fédérale, les fonds ont pourtant largement profité de ses largesses.

     

    L’assouplissement quantitatif ou « QE » fait progresser les performances des actifs de manière uniforme, d’après une logique binaire, selon que le fameux interrupteur des risques (« risk on/risk off ») est allumé ou non. Tous les marchés montent indifféremment quand il est enclenché, et inversement. Dans le cadre de ses opérations de soutien, quand la Fed achetait des obligations d’Etat, ce sont notamment les « hedge funds » qui les lui vendaient, d’après une étude (1) Avec cet argent, les fonds ont acheté des obligations d’entreprises ou municipales, des prêts… En clair, c’est la Fed qui a financé la prise de risque des fonds alternatifs pour la bonne cause…

    Pourtant les fonds alternatifs sont loin de lui être reconnaissants, comme en témoigne la levée de boucliers qui n’a cessé d’accompagner ses différentes opérations de soutien. Les « hedge funds » reprochent à la Fed d’avoir annihilé la volatilité des marchés. Ils n’ont d’ailleurs cessé de parier sur son déclin jusqu’à aujourd’hui, le signe qu’ils voient enfin poindre la fin de la politique non conventionnelle de l’institution. De quoi, espèrent-ils, retrouver les « marchés d’antan », plus volatils et moins corrélés entre eux que durant la mainmise de la Fed sur la liquidité mondiale.

    Globalement, les « hedge funds » ont mal anticipé la chute des taux longs américains, son ampleur et sa durée exceptionnelles. A l’inverse, ils ont été pris de court par les brusques regains de volatilité qui ont parsemé l’après-crise. Ce fut notamment le cas en mai 2013, quand Ben Bernanke, alors président de la Fed, laissa entendre aux marchés qu’il ­fallait se préparer à la fin de la perfusion monétaire.

    Levée de boucliers

    Stanley Druckenmiller, l’ancien bras droit de George Soros entre 1988 et 2000, avait déclaré à CNBC qu’en faisant grimper les prix des actifs financiers, la Fed tentait de mener « un des plus grands transferts de richesse des pauvres vers les riches ». Cette stimulation artificielle de l’économie « n’a pas fonctionné pendant cinq ans » et ce sont les générations futures qui « paieront cher » cette erreur de politique monétaire.

    Pour Paul Singer, le gestionnaire du fonds Elliott, « le QE, qui ne prépare pas les conditions d’une meilleure croissance », a en outre « introduit des distorsions majeures dans les valorisations de tous les actifs de telle sorte qu’aucun d’eux n’offre plus un couple rendement-risque attrayant ». Paul Tudor Jones, la star du style « global macro » (qui investit sur tous les marchés) avait été encore plus explicite. La politique monétaire de la Fed en bridant la volatilité des marchés les a rendus trop prévisibles. En clair, « elle est devenue aussi ennuyeuse qu’un discours de Joe Biden (vice-président américain) », selon le fondateur de Tudor.

    George Soros, le parrain des « hedge funds », s’est déclaré inquiet face à l’adoption « systématique et unanime de l’assouplissement quantitatif », qu’il voit comme des « dévaluations compétitives » déguisées.

    Le QE s’avère un « bouc émissaire » commode des contre-performances des fonds alternatifs depuis la crise de 2008. Une contre-performance qui fait débat dans le secteur. Est-ce un tournant historique ou un simple passage à vide ? En faisant diversion, le débat autour du QE évacue cette question de fond.

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    Notes :

    (1) « Analysing Federal Reserve asset purchases : from whom does the Fed buy ? », Federal Reserve Board

    Les Echos

    http://fortune.fdesouche.com/367235-les-%E2%80%89hedge-funds%E2%80%89-impatients-den-finir-avec-lassouplissement-quantitatif#more-367235

  • Attentats en France (Présent 8257)

    On n’est à l’abri nulle part. A l’approche du jour de Noël en France, comme dans les pays sous persécution islamiste, on peut donc se faire égorger dans un magasin, renverser dans la rue aux cris d’« Allah Akbar ». Mais il ne faut surtout pas dire que nous sommes en guerre.

    Est-ce que chez nous aussi, désormais, l’approche de Noël va être teintée d’anxiété et de peur, parce que cette période augmente le risque d’attentats islamistes contre la population ?

    Attentats en France (Présent 8257)L’un des barbus (photo ci contre) a fait irruption samedi dans un commissariat et poignardé trois policiers en hurlant « Allah Akbar » jusqu’à son dernier souffle, avant d’être abattu. Il avait pris le nom musulman de Bilal lors de sa conversion à l’islam. Son frère, islamiste radical, tentait de partir pour la Syrie comme djihadiste.

    Mais pour le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve cet agresseur de Joué-lès-Tours semble « à la fois très mystérieux et très déstabilisé ».

    Attentats en France (Présent 8257)L’autre barbu, vêtu d’une djellabah, a foncé dans la foule en voiture dimanche soir sur une place de Dijon, percutant onze personnes dont des enfants, toujours aux cris d’« Allah Akbar » et « Pour les enfants de Palestine ». De plus en plus mystérieux…

    Bilal brandissait le drapeau de l’Etat islamique sur sa page facebook. Or, l’organisation terroriste vient d’appeler cette semaine sur les sites djihadistes à attaquer les intérêts français et les Français en général. L’EI encourage les candidats au djihad à lancer des attaques contre les « infidèles », militaires, policiers ou même civils. Mais comme le dit un spécialiste télé du djihadisme, « ce ne sont que des coïncidences » !

     

    La panique qui s’est emparée des commentateurs (pas celle provoquée par deux attentats coup sur coup mais celle du padamalgame) en dit long sur l’état d’auto-censure dans lequel sont tenus ces journalistes français qui veulent bâillonner Zemmour. Le mot d’ordre, c’est que les agresseurs sont des « déséquilibrés » (des déséquilibrés musulmans alors ?). Toulouse, Le Havre, Joué-les-Tours, Dijon : ils ont été perfusés dans les asiles aux sourates du Coran et à la haine de la France.

    Le travail des journalistes aujourd’hui comme celui de nos gouvernants ne consiste plus à rendre compte de ce qui se passe ou à l’analyser dans l’intérêt de la sécurité des Français, mais d’abord à défendre l’islam : « Voyez-vous ce n’est pas ça l’islam. » L’islam le vrai, le beau, le bien.

    Caroline Parmentier

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  • Les AFC appellent à manifester le 25 janvier

    Dans un communiqué, Marche pour la vie : digne jusqu'au bout de la vie, les AFC appellent à participer à la prochaine Marche pour la vie.

    "Les AFC réaffirment l'importance du respect de la vie de la conception à la mort naturelle et affirment la dignité intrinsèque de l'Homme. Les AFC sont partie prenante de cette manifestation et invitent tous les responsables d'AFC à se mobiliser pour informer leurs adhérents, organiser des transports jusqu'aux lieux de manifestation et participer aux actions."

    Michel Janva

  • Bernard Lugan : Afrique, la guerre en cartes (Audio)

    Le mardi 2 décembre 2014, dans l’émission “Libre Journal des historiens” sur Radio Courtoisie, Philippe Conrad, assisté de Nicolle, recevait Bernard Lugan, historien, pour une émission consacrée aux guerres d’Afrique en cartes.

  • Marion Maréchal-Le Pen : communauté nationale contre communautarismes

    La tribune de Marion Maréchal-Le Pen sur le site de Valeurs actuelle le 18 décembre dernier a reçu un écho qui mérite d’être largement répercuté, car elle place les patriotes devant leurs responsabilités. En effet, dans le paysage confus et touffu des idées politiques actuelles, la députée de Vaucluse dessine d’un trait précis une perspective claire. Elle remet de l’ordre dans un jardin des idées, à droite menacé par la tentation de la récolte facile, un jardin qu’elle voudrait voir remis en ordre, dans un esprit conforme au génie français. Les choses sont dites non pas de façon simpliste, mais simplement : « Soit vous êtes pour la communauté nationale, soit vous êtes avec les libéraux-libertaires », résume-t-elle dans cette tribune.

    Sans ambiguïté, Marion Maréchal-Le Pen part en guerre contre tous les communautarismes qui menacent la communauté nationale. Le communautarisme sexuel en est un. Le Parti socialiste en a fait l’une de ses bannières favorites, faute d’être en mesure d’offrir des lendemains qui chantent. Mais désormais, il semble n’être plus le seul à subir la tentation de ce qui se veut dans l’air du temps. Marion ne dit pas qu’il ne faut plus marier les hommes entre eux et les femmes entre elles, simplement pour faire plaisir à tel ou tel auditoire de circonstance. Non, elle a des convictions et ne va pas comme la feuille morte, au gré du vent.

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