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  • Le remplacement est d’abord culturel

    Zemmour, Camus ou Le Gallou le répètent à l'envi : la pire attaque contre notre civilisation est dans la langue qui s'appauvrit.

     

    De Lunel, petite ville de l’Hérault, une bonne dizaine de musulmans sont partis rejoindre les rangs de l’État islamique. Six n’en reviendront pas. 

    La Dépêche du Midi (Jean-Michel Baylet, radical de gauche) titre sur ces « jeunes tués en faisant le djihad ». En 2014, « on part faire le djihad » contre Bachar el-Assad, comme on s’engageait dans les Brigades internationales contre Franco en 1936. 

    Les édiles socialistes locaux appelèrent les musulmans à condamner ces départs, sans en chercher les causes. Lahoucine Goumri, président de l’association qui gère la mosquée, leur répondit, non sans malice, que « la première filière djihadiste, c’est Francois Hollande ».

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  • Clovis, l’inventeur de la laïcité

     

    Profondément enracinée dans l’histoire de France, la laïcité n’a pas lieu d’être défendue par les héritiers caricaturaux des bouffeurs de curés prenant pour cibles les crèche de Noël.

    Au premier rang des “valeurs” de la République se trouve l’inévitable “laïcité”. Celle dont ses thuriféraires les plus creux datent l’avènement à la loi du 5 décembre 1905 portant séparation des Églises et de l’État. Combien de sottises sont proférées en référence à un signifiant récent dont le signifié fondamental remonte à Clovis… On confond souvent laïcité et laïcisme. À la séparation juridique de la première s’est agrégée l’autre séparation de la France et de sa culture chrétienne. Celle-là avait pour mérite, excepté la méthode pour le moins brutale et vexatoire – par son anticléricalisme confinant à une véritable haine d’État – de ne pas totalement couper avec les anciennes libertés gallicanes d’Ancien Régime.

    Une spécificité française

    L’historien Pierre Chaunu affirme ainsi que « comme l’admettent à l’époque certains catholiques, la Séparation est, au fond, pour eux une chance car elle leur rend, certes au prix fort, la liberté ». Le problème, néanmoins, reconnait encore Chaunu, est que « la Séparation ne fait que mettre au grand jour une réalité qu’elle accentue : la France n’est plus un pays catholique ». Or, c’est un fait que depuis le baptême de Clovis, la catholicité du roi s’est rapidement confondue avec la francité. Sauf qu’il s’agit bien plus que d’une simple question religieuse. En épousant certes le dieu de Clotilde et de ses sujets, Clovis a littéralement fondé la France. Non pas la France charnelle, mais la France politique, celle qui permettra à la monarchie de s’enraciner et à la République de s’y vautrer indument, jusqu’à la souillure, dans les draps millénaires. Dans son essai sur Clovis, une histoire de France (Lattès, 1996), Paul-Marie Coûteaux explique que « dans la personne de Rémi [évêque de Reims] et dans celle du roi, s’incarnent des préoccupations fort différentes et l’on peut dire de leur extraordinaire rencontre ce que l’on dit fort justement des traités, qu’ils se font “joindre des arrière-pensées” ». Et d’ajouter que « Clovis s’est agenouillé devant une puissance plus grande que la sienne : mais si Rémi a domestiqué une force guerrière neuve pour s’en servir de protection, la dynastie et l’État franc ont reçu une légitimité décisive, et, dans ce jeu de reconnaissance réciproque, chacun a besoin de l’autre ».

    Empereur en son royaume

    Le baptême de Clovis fut, en effet, cet acte fondateur, primordial pourrait-on dire tant il assigne prioritairement, et pour des siècles, les missions et buts du pape et du roi “empereur en son royaume”. Le roi de France ne souffre aucune concurrence dans l’État. Quant à l’Église, elle a toujours cherché à rester dans le giron de Rome pour échapper à son assujettissement par l’État. Mais elle a aussi entendu manifester, de façon constante, son indépendance à l’égard du pape. Ainsi la nation française a-t-elle su, dès l’origine, faire sienne cette réponse du Christ aux pharisiens : « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. » En posant le catholicisme comme religion de la majorité des Français, Napoléon inscrivait ses pas dans ceux d’Henri IV qui affirmait que, chacun dans leurs domaines respectifs, le politique et le religieux exerçaient un magistère complémentaire, sans préséance de l’un sur l’autre. Dès lors, si lointainement, politiquement et spirituellement française, la laïcité n’a évidemment pas besoin de défenseurs aussi antinationaux et stupidement aussi anticléricaux que ses actuels sectateurs, “libres penseurs”, héritiers caricaturaux des bouffeurs de curés maçonniques de la IIIe Gueuse. Il est ainsi grotesque de condamner l’érection de crèches au sein de mairies ou autres maisons communes, quand, au cœur d’icelles, tel édile ou élu invitera à rompre le jeûne du ramadan ou à fêter l’Aïd ; quand il permet l’introduction de menus halal dans les cantines scolaires ou, dans les piscines, d’horaires d’ouverture différents pour les hommes et les femmes ; quand il laisse quasiment impunies les hystéries blasphématoires des Femen, qu’il subventionne le Piss Christ et qu’il tolère les musulmans à prier dans la rue. Et quand il contourne allègrement la loi de 1905 en autorisant l’édification de mosquées, parfois avec l’aval de tribunaux administratifs complaisants, adoptant une définition plastique de la légalité. Et quand, dans le même temps, il détruit des églises, faute de les avoir entretenues durant des années 

    Laïcité à géométrie vriable

    Voici l’halahïcité du XXIe siècle ! Celle qui, dans un pays totalement déchristianisé comme le nôtre, ne retient plus de la Toussaint, de Noël ou de Pâques, que ses avatars consuméristes d’Halloween, de jouets frappés d’obsolescence programmée et de vacances low cost, pour le plus grand bonheur du « divin marché » (selon la formule du superbe essai éponyme de Dany-Robert Dufour). Un Tariq Ramadan peut faire mine de défendre les racines chrétiennes de notre pays quand, jour après jour, celui-ci est en proie à une islamisation rampante, inéluctable et déterminée. Nous laisserons conclure cet immense juriste que fut Jean Rivero, lorsqu’il avertissait du danger de verser dans l’absurde, au nom d’une laïcité sourcilleuse : « L’École [ou plus largement l’État] ne peut prétendre faire ignorer à l’enfant un phénomène sur lequel l’angélus de son clocher, la croix du carrefour, l’informent à longueur de journée ; [...] fait historique, fait actuel, le fait religieux n’a pas à être systématiquement passé sous silence : et ce silence même, à le supposer possible, ne serait-il pas une option ? » Cette option s’appelle le laïcisme, soit le nom sécularisé de la dhimmitude.

    Aristide Leucate

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Clovis-l-inventeur-de-la-laicite

     

  • [Tribune] Zemmour et le délit de non-dit : le début de la fin – par Ulysse

    Mardi 16 décembre 2014, Bernard Cazeneuve prend publiquement position pour condamner des propos attribués calomnieusement à Éric Zemmour (en l’occurrence l’usage du terme de « déportation » qu’il n’a jamais prononcé). Vendredi 19 décembre 2014, I-Télé, une chaîne d’informations privée met fin à son contrat avec le journaliste.

     

    La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie.

     

    Littéralement, et sans avoir besoin de souscrire à aucune théorie conspirationniste, c’est donc le pouvoir exécutif qui, en pleine lumière -comme un tyran tellement sûr de sa force qu’il ne prend même plus la peine de dissimuler ses entorses à un droit qu’il prétend par ailleurs toujours respecter-, a fait pression sur un organisme privé pour qu’il débarque l’un de ses salariés, au motif que ses propos contreviendraient à l’idéologie dominante. Taubira avait déjà inventé le crime contrefactuel (vous auriez pu être nazi, donc vous êtes potentiellement nazi, donc vous êtes nazi), voilà que Cazeneuve invente le délit de non-dit : vous n’avez pas employé le terme de « déportation », mais vous le pensiez très fort, et ceci tombe sous le coup de la loi et de la justice (qui en l’occurrence ne s’est pas prononcée). La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie. Vous vous excusez ? Vous vous accusez. Vous ne vous excusez pas ? Vous vous accusez quand même. Vous n’avez rien dit ? Oui, mais vous avez pensé. Vous avez seulement pensé ? Oui, mais certaines pensées sont pires que des armes chimiques Monsieur, d’ailleurs si vous n’en avez pas, nous allons vous en trouver… La pénalisation du jugement, la criminalisation des intentions, c’est maintenant.

    L’évidence aveugle celui qui n’est pas assez pur pour la recevoir, comme le sens littéral finit parfois par échapper à ceux qui se perdent dans de sophistiques considérations sur les sens figurés. Car enfin, que dit Éric Zemmour qui soit si dérangeant ? Si scandaleux ? Si dur à entendre qu’il faille l’interdire à défaut de pouvoir le contredire ? Il aligne, avec plus ou moins de bonheur, (mais toujours beaucoup de courage en des temps rendus sourds à la littéralité du sens), des évidences. Quelles sont-elles ?

    1-Un peuple ne peut pas supporter sans finir par connaître une crise majeure et potentiellement meurtrière l’immigration massive de peuples aux coutumes qui lui sont radicalement étrangères, et ce, sans préjuger aucunement de la valeur des unes comme des autres. Zemmour réintroduit donc un paramètre quantitatif, (jamais indifférent au problème de la mesure), dans un champ politique qui prétend s’en affranchir au nom d’un humanisme abstrait pour lequel 1 ou bien 1 million, cela revient au même…

     

    http://fr.novopress.info/

  • Robotisation : une étape importante franchie avec un homme à bras mécaniques

    Aux Etats-Unis (Colorado), un homme a marqué l’histoire, au « laboratoire de physique appliquée de l’université John Hopkins », quand il est devenu le premier amputé des deux bras (au niveau des épaules) à porter et manier simultanément deux « prothèses modulaires ».

    Plus notable, Lee Baugh, qui avait perdu les deux bras dans un accident électrique il y a 40 ans, parvenait il y a quelques semaines à faire fonctionner le système en pensant simplement à bouger ses membres, pouvant effectuer des tâches diverses.

    (en anglais mais les images sont éloquentes)

    http://www.contre-info.com/

  • L'influence de LMPT sur les partis politiques

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    "L’entourage de Ludovine de La Rochère, la présidente de La Manif pour tous, « se réjouit » de la tournure que prennent les choses à l’UMP.

    Avec un Mariton fort de ses presque 10 000 voix (« autant que Jean-Christophe Lagarde quand il a été élu président de l’UDI »), la nomination de Laurent Wauquiez au poste de secrétaire général et malgré la promotion de NKM (« C’est dommage »), les proches de “Ludo” prédisent que « le vrai match qui s’ouvre, c’est la primaire et, pour [eux], Sarkozy est bien placé et il aura besoin du peuple de droite ». Refusant « l’autisme politique », les ténors de La Manif pour tous chantent aussi les louanges de Marion Maréchal-Le Pen, très engagée sur les sujets sociétaux."

    Michel Janva

  • L'influence de LMPT sur les partis politiques

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    "L’entourage de Ludovine de La Rochère, la présidente de La Manif pour tous, « se réjouit » de la tournure que prennent les choses à l’UMP.

    Avec un Mariton fort de ses presque 10 000 voix (« autant que Jean-Christophe Lagarde quand il a été élu président de l’UDI »), la nomination de Laurent Wauquiez au poste de secrétaire général et malgré la promotion de NKM (« C’est dommage »), les proches de “Ludo” prédisent que « le vrai match qui s’ouvre, c’est la primaire et, pour [eux], Sarkozy est bien placé et il aura besoin du peuple de droite ». Refusant « l’autisme politique », les ténors de La Manif pour tous chantent aussi les louanges de Marion Maréchal-Le Pen, très engagée sur les sujets sociétaux."

    Michel Janva

  • Morale et bon sens : faites bon usage de vos impôts !

    [Nous relayons le judicieux appel aux dons émis par le mouvement nationaliste Renouveau français, qui permet des déductions fiscales si les dons sont faits avant le 31 décembre.
    Ne finançons plus le Système, mais les mouvements antimondialistes !]

    « Si vous payez l’impôt sur le revenu ou connaissez quelqu’un qui le paie, merci de lire et faire suivre l’appel ci-dessous !

    Madame, Monsieur,

    Comme vous le savez, les impôts que la République vous extorque servent en partie à payer largement un personnel politicien lamentable et néfaste, à financer de nombreuses associations gauchistes, décadentes ou diversement antifrançaises, etc.
    Ils servent aussi à rembourser les avortements volontaires, à mener des guerres pour des intérêts étrangers, à arroser d’argent les banlieues « ethniques » et entretenir largement des millions d’immigrés légaux ou non.
    Arrêtons là cette sordide énumération pour vous signaler qu’il vous est possible de faire un bien meilleur usage de cet argent.

    En effet, depuis 2011, le Renouveau français est en mesure de délivrer des reçus fiscaux, vous permettant de déduire de votre impôt sur le revenu 66% du montant de votre don.

    Par exemple, pour un don de 500 euros au RF, vous pourrez déduire 333 euros du montant imposable 2014.

    Concrètement, le don ne vous coûtera que 167 euros, et les deux autres tiers seront autant que le Système ne vous prendra pas.

    Les sommes récoltées vont nous permettre de mener à bien des activités utiles et nécessaires : que ce soit pour éveiller les consciences de nos compatriotes ou pour donner aux nombreux jeunes qui viennent vers nous des possibilités d’engagement efficace et de formation solide.

    Nous avons plusieurs projets à même de développer le nationalisme français et de donner du poids aux convictions qui sont les vôtres.

    Alors, apportez votre pierre à l’édifice, soutenez-nous en nous faisant parvenir votre don avant le 31 décembre 2014.
    Il vous reste quelques jours.

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    http://www.contre-info.com/

  • Zemmour et Ménard ont mis fin au défaitisme de la pensée réactionnaire

    Il y aura toujours du soufre autour d’Éric Zemmour et de Robert Ménard.

    Je n’ai pas envie, une nouvelle fois, de monter au créneau moins en leur faveur que pour la défense de la liberté d’expression.

    Ce qui m’importe plutôt est de tenter d’analyser ce qui, à leur encontre, suscite une hostilité quasi systématique.

    Robert Ménard, maire de Béziers, décide de rebaptiser la rue du 19-Mars-1962 rue du Commandant-Hélie-Denoix-de-Saint-Marc. Si les pieds-noirs applaudissent, son initiative suscite les foudres de la gauche. Et sa volonté de mettre à l’honneur toutes les religions bouscule les tenants d’une laïcité étriquée, incapable d’ouverture !

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  • Chasse aux crèches : les laïcistes sont devenus fous

    Le Figarovox :

    C"Un débat curieux vient d'agiter la commune dont je suis maire (La Garenne-Colombes dans les Hauts-de-Seine). Je me suis en effet rendu coupable d'un acte d'une gravité exceptionnelle, véritable forfaiture dans la gestion de la commune: j'ai autorisé l'installation d'une crèche grandeur nature sur le domaine public, devant l'Eglise de la ville…

    Heureusement, les courriers de protestation vigilante n'ont pas tardé.

    Cette crèche, m'a-t-on écrit, est un acte de «prosélitysme». Elle porte gravement «atteinte à la laïcité» (ben voyons). Le même courrier moralisateur, peu avare en lieux communs, me rappelait que la laïcité est (merci, je suis au courant) un «fondement de la République».

    Ce courrier me demandait le déménagement immédiat de cette dangereuse crèche au nom de mon «engagement citoyen (quel rapport?), de ma lucidité (merci de m'en créditer) et de ma responsabilité» (bigre!). Fermez le ban.

    Bref, vous l'avez compris, ils sont devenus fous.

    Dois-je désormais, au nom d'une laïcité mal comprise, prendre un arrêté municipal pour interdire la vente des galettes des rois chez les boulangers? Débaptiser la Rue Jeanne d'Arc (une sainte, quelle horreur)? Ou mettre fin à la chasse aux œufs de Pâques dans le square de la mairie?

    Quelle tristesse de constater combien la bêtise et l'ignorance d'une minorité envahissent l'espace public. Bêtise de réduire la laïcité à des interdits primaires. Ignorance que la France a une vieille et structurante culture chrétienne. Rappeler cette évidence historique n'est pas mettre en danger la République.

    Ceux qui agitent ainsi le drapeau laïc ne servent pas la laïcité. Noël est présent dans tous les esprits comme un moment d'amour. Noël est pour certains un moment de foi et pour d'autres un simple, mais important, moment de tradition. Quelle famille ne célèbre pas Noël comme un moment de joie?

    Ceux qui mènent ce combat dérisoire contre les crèches feraient mieux de s'interroger sur l'absolue nécessité pour la France de s'appuyer sur des traditions, le 25 décembre comme le 11 novembre, qui cimentent le corps social. Ils feraient mieux de se demander si la communion de Noël, qu'elle soit religieuse ou non, n'est pas le moment où tous ceux qui sont si seuls peuvent espérer n'être plus tout à fait seuls. Ils feraient mieux de comprendre que, le jour de Noël, c'est bien la Fraternité de la République qu'incarne l'enfant de la crèche."

    Michel Janva