Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Combats dans l'Est de l'Ukraine, renforts russes selon Kiev

    L’essentiel

    Les combats continuaient, lundi 19 janvier, dans l’Est ukrainien entre les forces de Kiev et les séparatistes prorusses. ◾Plusieurs personnes ont été blessées dans un tir à l’hôpital de Donetsk, ville contrôlée par les prorusses.

    Sept cents soldats russes sont arrivés lundi en Ukraine, assure Kiev.

     

    La situation restait très tendue, lundi 19 janvier, dans l’Est séparatiste de l’Ukraine, après notamment un tir d’artillerie sur le centre de Donetsk et des accusations de Kiev qui affirme que les rebelles ont reçu le renfort de 700 soldats russes.

    La fin de semaine dernière avait été d’une violence inégalée. L’armée ukrainienne affirmait avoir repoussé une offensive des rebelles prorusses à l’aéroport de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine. Mais les combats se sont poursuivis dimanche 18 et lundi 19 janvier. 

    OFFENSIVE REBELLE

    Lundi après-midi, les bombardements – certes moins puissants que ce week-end – étaient à nouveau réguliers dans la zone de l’aéroport, selon des journalistes de l’AFP. Les séparatistes ont notamment « fait exploser » une partie du plafond du premier étage du nouveau terminal et causé « beaucoup de blessés » dans les rangs ukrainiens, selon un conseiller de la présidence présent près de la zone des combats. Au moins 3 soldats gouvernementaux auraient été tués dans la zone ces dernières 24 heures et 66 autres blessés, selon l’armée.

    A la mi-journée, c’est un hôpital qui a été touché par un tir de roquette dans le centre-ville de Donetsk. Une attaque qui a fait six blessés, parmi lesquels un médecin et cinq patients, a rapporté le ministère des situations d’urgence de la république séparatiste autoproclamée de Donetsk.[....]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Combats-dans-l-Est-de-l-Ukraine

  • La France blessée...

    Il est des jours qui marquent l'histoire, dit-on : il est certain que ceux de ce début d'année 2015 n'ont pas fini, en tout cas, de faire parler d'eux... J'ai vécu ces événements, comme beaucoup d'autres, au fil des radios et des télévisions, mais aussi à la lecture d'une presse écrite qui a suivi la folle cavalcade d'une actualité d'un coup accélérée : il est désormais possible, même s'il nous manque encore un peu de recul, d'en dresser un premier bilan, au-delà de l'émotion et des facilités d'expression ou de position.

    La surprise, forcément mauvaise, de l'événement déclencheur, tient sans doute plus dans la manière et dans la cible elle-même que dans la survenue d'un attentat à Paris, événement craint et attendu depuis de longs mois par les autorités comme par les journalistes. Le temps des fêtes, toujours délicat en termes de sécurité, était passé et peut-être l'exécutif, comme tant d'autres (y compris les dessinateurs de Charlie Hebdo, si l'on en croit les dessins publiés le jour même de l'attaque), commençait-il à respirer. Jacques Bainville nous a pourtant prévenu dans un de ses aphorismes redoutables de clarté et de simplicité qu'il s'agit, pour le politique autant que pour l'historien, de « prévoir l'imprévu, attendre l'inattendu » : nous y voilà, pouvait-on tristement murmurer à l'angélus du mercredi 7 janvier...

    L'attaque n'a pas touché que Charlie Hebdo même si elle semblait explicitement le viser : c'est la France elle-même qui a été blessée. D'abord à travers les victimes : journalistes satiriques, anticléricaux notoires mais aussi analystes dissidents de l'économie (Bernard Maris, qui prônait la fin de la monnaie unique européenne, par exemple) et, surtout, dessinateurs dans un monde qui a pris l'habitude de l'image animée quand, eux, fixent en quelques traits une idée ou une moquerie ; policiers porteurs d'un uniforme et qui, s'ils sont de confession musulmane, apparaissent comme de nouveaux « harkis » pour les islamistes contemporains et sont immédiatement traités comme tels, nous rappelant aussi, comme en écho, le sort tragique réservé à ces soldats fidèles à la France quand Wolinski et Cabu choisissaient de soutenir « l'autre camp » au début des années 1960 (pacifiquement néanmoins, contrairement aux terroristes pro-FLN)... ; personnes « anonymes » et juives, simples Français ou francophones de culture et de religion hébraïque, abattues pour ce qu'elles sont nées et non pour un choix idéologique qu'elles auraient fait... Des « morceaux de France », des éléments de cette mosaïque formée au fil des règnes capétiens, des épisodes républicains et impériaux, au gré d'une histoire complexe et parfois conflictuelle, dans la paix comme dans la douleur de nos crises de croissance... Oui, c'est bien la France qui a été blessée, à travers certains qui, même, comme des enfants gâtés et ingrats, la moquaient ou la brocardaient de quelques traits de plume parfois bien indélicats.

    Ironie de l'histoire, ici cruelle : la mort des antimilitaristes irrespectueux, de ces pourfendeurs de patrie, a jeté dans les rues et sur les places de France des foules immenses, diverses et bigarrées, jeunes et moins jeunes, sincères ou opportunistes, réunies sous le drapeau tricolore et autour d'une France que l'on nomme (à tort) « République » mais que l'on rêve, parfois poétiquement en attendant que cela soit politiquement, comme une « Liberté couronnée », selon le beau mot entendu dans l'une de mes classes ces jours-ci... Après tout, le fort nom de France ne veut-il pas dire, si l'on en croit son étymologie germanique héritée des peuples francs de Mérovée et Clovis, « Liberté », en signifiant « la terre des hommes libres » ? Avait-on besoin de la graver sur la pierre des frontons municipaux ou de sur le marbre des palais préfectoraux, comme pour la figer, quand, depuis les origines, elle est ce qui fait battre le cœur même de notre pays et de ses fidèles serviteurs ?

    Cette réaction, presque viscérale au soir des jours terribles, a aussi rappelé à nombre de nos concitoyens qu'il n'y a pas de libertés individuelles, d'expression ou d'opinion, sans celle, première et fondatrice, de la nation française : ce n'est rien d'autre, en somme, que la leçon majeure de Maurras que redécouvrent, un peu effarés et encore tremblants de ce mystère, les politiques comme les citoyens de ce pays, au-delà de leurs particularités et particularismes... C'est cette première leçon qui, d'ailleurs, a mené ce même Maurras, et à sa suite de nombreux Français (dont je suis, et dont je fus, en un été désormais fort lointain...), vers la question de l’État et vers le moyen institutionnel du « mieux-faisant » politique, en somme, vers la solution monarchique...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1193:la-france-blessee&catid=49:2015&Itemid=60

  • Laïcité et islam : je t’aime, moi non plus

    Une nation dont le seul principe fédérateur est la laïcité souffre d’un vide spirituel qui la fragilise, analyse le philosophe dominicain, Thierry-Dominique Humbrecht.

     

    Au-delà de la tragédie des attentats et de la mobilisation nationale, les discours laissent percer des enjeux. Leurs entrelacs jusqu’à l’ambiguïté vont se répercuter longtemps. La manifestation n’a pas seulement été portée par l’émotion, elle l’a représentée. Le gouvernement et les médias l’ont même suscitée, en la déclarant telle dès le début, la modelant ainsi avec une maestria qui serait impressionnante si elle n’avait bénéficié de tels moyens, qui rendaient la tâche aisée.

    C’est sous l’angle de la réponse émotionnelle qu’il fallait prendre parti. Le slogan « Je suis Charlie », opportunément universalisé, traduisait lui aussi un unanimisme rare. La raison de son succès, outre le désir de chacun de s’associer à une légitime protestation, est la pauvreté de son contenu, fondé sur une identification fusionnelle aux victimes, sans réflexion et surtout sans objet. Cette manifestation fut unique par son ampleur mais aussi par son absence de but. Elle était motivée par le refus du terrorisme et par l’affirmation de la liberté démocratique mais elle n’avait pas de but, comme c’est le cas d’habitude pour obtenir quelque chose ou l’empêcher.

    Reste l’émotion collective, alliée d’un jour mais alliée dangereuse lorsqu’elle est seule. Elle sert toutes les manipulations, sur fond de faiblesse du discours rationnel, lequel suppose au contraire motifs, distance et critique. Les fascismes savaient la force de l’émotion collective et en usaient. Les médias devraient devenir plus responsables dans leur maniement de l’émotion des masses.[...]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Laicite-et-islam-je-t-aime-moi-non

  • Quand la culture de l’excuse n’a plus aucune limite…

    On poursuit l’« apologie du terrorisme » partout, la traque de ceux qui ne sont pas Charlie n’en finit pas, et la liberté d’expression s’est arrêtée au périmètre qui encercle les gens biens, c’est-à-dire les gens de gauche.

    Et il en est une, Virginie Despentes, fille de gauche bien entendu, qui s’est pourtant servi des Inrocks pour déclarer son amour des frères Kouachi qui, les pauvres chéris, étaient tout simplement rejetés par la société. Il faut bien que ce soit toujours de notre faute, nous les sales Français, quoi qu’il arrive.

    Hallucinant.

    […] J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir.

     

    Leur façon de dire – vous ne voulez pas de moi, vous ne voulez pas me voir, vous pensez que je vais vivre ma vie accroupi dans un ghetto en supportant votre hostilité sans venir gêner votre semaine de shopping soldes ou votre partie de golf – je vais faire irruption dans vos putains de réalités que je hais parce que non seulement elles m’excluent mais en plus elles me mettent en taule et condamnent tous les miens au déshonneur d’une précarité de plomb. Je les ai aimés dans le mouvement de la focale écartée en grand, leur geste devenait aussi une déclaration d’amour – regarde-moi, prends-moi en compte. On ne tire pas sur ce qu’on ne voit pas.

    Je les ai aimés dans leur maladresse – quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le Prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Du mauvais film d’action, du mauvais gangsta-rap. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose qui ne réussissait pas. […]

    http://www.contre-info.com/quand-la-culture-de-lexcuse-na-plus-aucune-limite#more-36371

  • «J’irai cracher sur vos tombes…» - par Pieter KERSTENS

    Successeur de Hara-Kiri (bête et méchant), Charlie Hebdo se spécialisait lui aussi dans les caricatures cyniques, satiriques, grinçantes, insultantes et Ô combien scatologiques et pornographiques. Les cibles préférées de ses dessinateurs se concentraient sur la société « bourgeoise », sur l’armée, l’église catholique et la police ; mais rarement sur les francs-maçons ou les gauchistes.

    Vomissant les patriotes, les nationalistes et les identitaires à longueur de semaine, la rédaction ne cessait de déverser sa haine à l’encontre du Front National. Désignant les coupables à ses lecteurs, l’hebdo de la « gôche bobo/caviar » a toujours bénéficié de la complaisance des différents gouvernements socialo-écolo-marxistes et pouvait se permettre les pires outrances, qui auraient conduit d’autres dessinateurs sur les bancs des tribunaux.
     
    Quand on entend aujourd’hui la totalité des « pourriticards » de la démocratie totalitaire hurler contre le terrorisme et appeler à la défense de la liberté d’expression, de presse, de conviction et de réunion, on en pisse de rire ! Parce que juste avant le massacre du 7 janvier à Paris, un polémiste talentueux –Éric Zemmour- était la cible de la classe politico-médiatique, interdit de parole à Bruxelles, et poursuivi par les hyènes du « prêt à penser ». Il y a un an, un humoriste cynique et satirique –Dieudonné- s’est vu interdire le droit d’exprimer ses opinions lors d’un spectacle à Nantes, par le Conseil d’État.
     
    Et les exemples sont nombreux. Alors, 2 poids, 2 mesures ? Il est interdit d’interdire ?
     
    Messieurs qu’on nomme grands, va falloir se décider et désigner qui sont réellement les ennemis de notre civilisation et de la culture gréco-romaine.
    Vos erreurs multiples, votre idéologie sectaire, votre utopie de la « société multiculturelle et pluriethnique », votre « vivre ensemble », et cette frénésie de rites « citoyens » ou « républicains », toutes ces chimères décrites, illustrées et promues par Charlie Hebdo, nous n’en voulons pas !
    Cette clique de marionnettes du Nouvel Ordre Mondial, qui a détruit les valeurs fondamentales de notre civilisation, nous a déjà trop fait chier ! Attention au retour du boomerang. Et chez Charlie Hebdo, « le dernier qui restera se tapera toutes les veuves » (in Hara-Kiri oct.1983).
    Khaled, Mohamed, Medhi, Saïd, Chérif, tous ces prénoms qui sentent bon le terroir breton.
     
    Dans « l’Express » du 4 mai 2006, Christiane Taubira déclarait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière par les arabo-musulmans pour que les jeunes arabes (les d’jeuns des ZSP) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes ».Mais pour les colons blancs, on peut y aller, comme le faisait Charlie Hebdo, qui ne se gênait pas pour salir le drapeau français.
     
    En niant l’évidence, en refusant le constat établi par les professionnels de la criminalité et du terrorisme, en fuyant la réalité du terrain et en faisant preuve de laxisme, d’angélisme et de lâcheté, les gouvernements successifs depuis 1974 ont rejeté et occulté ce diagnostic implacable aujourd’hui : la cause de l’insécurité nationale se localise dans une centaine de quartiers « sensibles », occupés par des immigrés et des racailles. Car pendant 30 ans le régime (de droite comme de gauche) nous a imposé le dogme du « TOUCHE PAS À MON POTE » et l’idiote « politique de l’excuse », l’ensemble noyé sous une avalanche de milliards de francs et d’euros, au titre de la « politique de la ville » destinée à acheter la paix des banlieues.
     
    Sans une ferme volonté d’éradiquer le fléau de la criminalité et du terrorisme, qui ne concerne que quelques milliers de crapules multirécidivistes, il est probable que d’autres massacres puissent avoir lieu. Mais il ne faut pas, surtout pas, absolument pas « faire d’amalgame », ni stigmatiser la communauté maghrébine ou musulmane au nom de la « société citoyenne »…
     
    À ce titre, c’est bien Ayaan Hirsi Ali qui dès ce 8 janvier déclarait :
    «  L’argument que l’on entend en permanence, selon lequel il ne faut pas faire d’amalgame, que ces terroristes ne sont pas musulmans etc... est caduque. Cet argument n’a plus aucune valeur. Il y a un lien très évident et très clair entre ce qui se passe à Paris, au Pakistan, au Nigéria, en Syrie et ailleurs. On ne peut plus dissocier toute cette violence de l’Islam, du Prophète Mahomet ou du Coran. »
    Vive le hasard.
     
    En fin de journée le vendredi 9 janvier, le directeur de la Police Nationale se rengorgeait d’avoir pu retrouver si vite la trace des frères Kouachi et vantait le professionnalisme et l’efficacité de ses services qui avaient, en moins de 24h, identifié les assassins. Grâce à qui ? À une carte d’identité « oubliée » dans le premier véhicule qui avait conduit les deux frères au siège de Charlie Hebdo.
     
    Un hasard du destin MI-RA-CU-LEUX ! Le même hasard inespéré qui, le 10/9/2001 avait permis au FBI de New York de mettre la main (dans les décombres fumants) sur le passeport intact de l’un des pilotes qui avait percuté le WTC II, quelques heures auparavant, et permis l’identification du réseau d’Al Quaïda.
     
    La chance parfois explique bien des choses incroyables. Mais ne gâchons pas le plaisir de tous ces abrutis qui se prénomment « Charlie » et ignorent que quelques centaines de racailles rêvent dans leur banlieue d’imiter le duo Kouachi et le fanatique Coulibaly, qui lui, n’est pas entré dans le magasin casher porte de Vincennes par hasard.
    Le dimanche 11 janvier 2015 restera comme la Journée Mondiale des Cocus Amnésiques.
     
    Le ministre des Affaires Étrangères, Laurent Fabius, a eu l’audace de déclarer à Europe 1 que « la Liberté, était née en France » ; NON ! Elle est née il y a 3000 ans à Sparte, qui a montré bien plus de courage et de détermination face aux épreuves. De son côté Manuel Valls a prétendu ce 9 janvier que « la France, sans les juifs, ne serait plus la France ! ». Quelle méconnaissance de l’Histoire ! Qu’il parle de la rue du Sentier, on comprendrait.
    Et lorsque l’on voit tous ces zozos qui défilent en scandant des slogans imbéciles, on se dit que le sursaut et le réveil de la Nation afin de sortir du gouffre, n’est pas pour demain. Pitres amnésiques et égoïstes, vous  oubliez les atrocités commises en France par les islamistes entre juillet et octobre 1995 (8 attentats) dont l’explosion criminelle du RER B à la station saint-Michel le 25/7/1995.
     
    Et pas de commémoration, ni de souvenir pour les 2 attentats du 12 octobre 2002 à Bali, bilan : 202 morts et des centaines de blessés. Pas de marche « citoyenne » ou « solidaire » en France, concernant l’attentat à Madrid en 2004 qui tua 191 personnes innocentes. A-t-on vu une larme (une seule), ou quelques pleurs, pour les attentats de Londres en juillet 2007 où 52 victimes se sont rajoutées à la triste liste du « vivre ensemble » ? Le 10 janvier 2015 au Nigéria, une fillette se fait exploser au marché de Maiduguri : 20 morts. On se recueille ?
    Alors quand la classe politico-médiatique nomme Paris « capitale mondiale de la défense de la liberté d’expression et des valeurs républicaines », je suis pris de nausées !
     
    Parce que leurs libertés ne sont disponibles et ne concernent que ceux qui suivent leurs dogmes et marchent entre les clous du politiquement correct et de la Pensée Unique.
     
    TOUS les autres par exemples, comme les Faurisson, Rassinier, Meyssian, Reynouard, Olivier Mathieu ou Dieudonné, sont agressés par les milices juives ou sont poursuivis par la police de la pensée et envoyés, pour certains, dans les geôles, car ceux-là au moins ont le courage de leurs opinions.
    N’est-il pas scandaleux de voir Dieudonné poursuivit aujourd’hui par le parquet pour « apologie du terrorisme » à cause d’une blague outrancière ? Mais le plus grave est encore l’interdiction qui a été prononcée par le gouvernement à l’encontre de la compagne du dessinateur Charb d’assister à son enterrement, parce qu’elle aurait tenu des propos « incorrects » devant les caméras de télé !
    Ô tempora ! Ô mores !
     
    Notre devoir de mémoire nous rappelle que suite à l’émission télé en décembre 1982 de Michel Polac qui avait invité le professeur Choron directeur de Charlie Hebdo, déjà en grosses difficultés financières, une polémique nationale avait conduit toute la presse à démolir l’hebdomadaire. Le 11 décembre 1982, le numéro 581 (Hara-Kiri n°24) titrait en première page, avec le dessin d’un énorme étron surpiqué des titres de différents quotidiens hexagonaux:« Les croque-morts indignés. Toute la presse a chié sur le cercueil de Charlie Hebdo »  Libération titrait même : « Crève Charlie ! » On ne peut être plus clair.
    Alors avec ce qu’on peut lire et entendre aujourd’hui, ils doivent se tordre de rire, les macchabées du 7 janvier…
     
    De même, en août 2008, Siné a été limogé par Philippe Val, directeurs de Charlie Hebdo car le dessinateur avait refusé d’exprimer ses excuses, suite à son dessin caricatural concernant le mariage de Jean Sarközy avec l’héritière des magasins Darty et la légende :« Va-t-il se convertir ? », ce fut un tollé. Mais sans doute son éviction d’alors lui a-t-elle sauvée la vie…
    Tout ce fatras de débilités journalistiques, de logorrhées des diafoirus de tout acabit et des politiciens en mal de notoriété, n’obéit qu’à une seule visée : abrutir les masses populaires par une vague de compassion généralisée pour mieux pouvoir les encadrer dans la démocratie totalitaire du Nouvel Ordre Mondial.
    Big Brother a réussi au-delà de toute espérance : ils sont tous devenus des « Zombies-Charlie »…
     
    «J’irai cracher sur vos tombes…» : titre d’un livre de Boris VIAN.