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  • Impôts locaux : augmentation dans les villes PS et UMP

    Selon Le Figaro, les municipalités annoncent des hausses d'impôts locaux:

    • +3% à Strasbourg (PS),
    • +4% ou 5% à Bordeaux (UMP),
    • +5% à Marseille (UMP) ou à Lyon (PS),
    • +10% à Lille (PS),
    • +15% à Toulouse (UMP)
    • +2 à 5% à Nice (UMP)

    Il est intéressant de comparer avec la gestion des villes dirigées par le FN :

    • Hénin-Beaumont : Baisse de 10% de la part communale de la taxe d’habitation et baisse
      de 50% de la taxe sur les enseignes pour les petits commerces (surface de vente < 20m2). Baisse de 5% des impôts locaux en 2015, après une baisse de 10% en 2014.
    • Beaucaire : Prise en charge par la mairie de la hausse des taux fiscaux imposée par l’Etat
      assortie d’une baisse additionnelle de la fiscalité locale. Beaucaire a enregistré une économie de 300 000 euros sur le budget
    • Mantes-la-Ville : baisse de 22% des subventions à destination des associations. Mantes-la-Ville a réduit son niveau d’emprunt
    • Fréjus a réduit son endettement de plus de 8 millions d’euros.

    Michel Janva

  • L'avenir du FN se joue sur sa capacité à accroître son agilité stratégique sans détruire sa spécificité

    Analyse intéressante de Jérôme Sainte-Marie pour le Figaro :

    "La crise que traverse le Front national a l'apparence de la rénovation, de l'aggiornamento, de ces phases de transition qui suscitent au premier abord une faveur générale mais s'achèvent parfois par la destruction du système que l'on s'était promis d'adapter aux temps nouveaux. De manière moins ambitieuse, et partant moins risquée, l'avenir du parti de Marine Le Pen se joue sur sa capacité à accroître son agilité stratégique sans détruire sa spécificité.

    En termes de mutation ratée, la référence à l'extrême-droite est constituée par le Mouvement Social Italien, dont l'héritage mussolinien a été liquidé par Gianfranco Fini, et qui, après avoir changé jusqu'à son nom, se perdra dans une alliance gouvernementale avec Berlusconi. Il est pourtant un autre exemple, beaucoup plus proche, celui du Parti communiste français. Ainsi, au cours des années 1970, il a mené un travail idéologique en profondeur, consistant à liquider un héritage léniniste qui, de fait, le plaçait en marge du système politique. Cette entreprise, achevée par Robert Hue (...) a largement contribué à l'élimination presque complète d'un vote communiste qui concernait un Français sur cinq. Dès lors que toute spécificité idéologique était niée, et cela par ses propres dirigeants, le «parti de la classe ouvrière» devenant le «parti des gens», tout intérêt disparaissait pour ce vote. Le plus logique était de voter utile dès le premier tour, c'est à dire pour le Parti socialiste. Et le Parti communiste disparut pratiquement.

    En quoi ces exemples historiques nous informent-ils sur les risques courus par le Front national? Tout simplement par le caractère distinctif de l'expression électorale et de la participation militante. Pour ses électeurs, voter pour le Front national, c'est aujourd'hui se démarquer radicalement du reste de l'offre politique. La forme de dissidence pratiquée par Jean-Marie Le Pen a eu son utilité politique, mais toutes les études d'opinion montrent qu'elle est désormais massivement rejetée par les sympathisants frontistes. Ceux-ci ne souhaitent pas pour autant une mise en conformité avec les valeurs et les manières de l'UMP ou du Parti socialiste. Marine Le Pen profitait largement du partage des rôles avec son père, car ainsi elle pouvait manœuvrer sur des terres idéologiques nouvelles sans que soient rompus les liens avec le terreau d'extrême-droite. Désormais, il lui revient d'assumer l'ensemble de la doctrine frontiste.

    C'est là que surgit la difficulté. Il existe en France une fraction irréductible de l'électorat qui exprime son attachement aux valeurs traditionnelles et s'accommode mal de la neutralité en matière de mœurs. La mobilisation autour de la Manif pour tous (...) a renforcé la conscience qu'elle avait de son existence (...) Les tensions culturelles (...) ne font que se renforcer, à mesure qu'implose le projet de transformation sociale portée par la gauche.

     

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    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Lucien Cerise à Lille les 30 et 31 mai 2015 (E&R Lille)

    Atelier de ré-information active le 30 mai 2015 à 15h :

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    Conférence : "Libérale et sécuritaire, la gauche liberticide" le 31 mai à 14h :

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    Note du C.N.C. : Nous remercions E&R Lille d'avoir organisé son programme pour permettre aux dissidents qui le souhaitent de participer à la conférence que nous organisons le 30 mai à 19h00 avec Alain de Benoist.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/index-1.html

  • Marion Maréchal-Le Pen, cinq ans d'ascension fulgurante

    En seulement quelques scrutins, la petite-fille du fondateur du FN est devenue une figure identifiée de la famille Le Pen et s'est installée dans le paysage politique en devenant la plus jeune députée de l'histoire. Retour sur les dates clés de cette progression.

    Candidate aux municipales de 2008

    En tant que petite-fille du fondateur du Front national, Marion Maréchal-Le Pen a baigné depuis son enfance dans l'environnement du parti. Dès 1992, elle figure d'ailleurs sur une affiche électorale: celle de son grand-père, qui la tient dans ses bras. Son adhésion officielle au FN se fait quelques années plus tard, à l'âge de 18 ans. L'année suivante, elle figure sur la liste FN à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Un première expérience politique aux enjeux limités: septième sur la liste, Marion Maréchal-Le Pen ne totalise avec ses colistiers que 6% des voix. Leur liste se classe en quatrième et dernière position. Le scrutin démontre l'intérêt précoce de la petite-fille Le Pen pour la politique, mais à l'époque, son nom reste très peu connu.

    • Le baptême des régionales de 2010

    L'engagement formel en politique de Marion Maréchal-Le Pen remonte à 2010. La militante et étudiante en droit n'a alors que 20 ans. La jeune fille accepte de se lancer dans la campagne des régionales, sollicitée par la candidate tête de liste dans les Yvelines, Marie-Christine Arnautu, amie de la famille. Marion Maréchal-Le Pen dit avoir choisi elle-même de s'engager, contre la volonté de sa mère. En coulisses, il se murmure que son grand-père l'a poussée à accepter cette candidature. 

    Fuyant les photographes, pas vraiment à l'aise devant les micros, la jeune candidate vit ce baptême de façon difficile. « J'ai été propulsée sur le devant de la scène. Je ne m'attendais pas à ça. Je n'ai pas apprécié l'exercice  médiatique », explique-t-elle au Monde. Une séquence vidéo, dans laquelle la candidate perd ses moyens lorsqu'elle ne parvient pas à répondre à la question d'une journaliste, met en lumière cet engagement très jeune, voire trop, et l'inquiétude de Marion Maréchal-Le Pen face aux médias.

    • Élue députée en 2012

    Après l'expérience des régionales, Marion Maréchal-Le Pen décide de mettre de côté sa carrière politique naissante et de se consacrer à son Master de droit à Paris-II Assas. Elle ne compte pas s'afficher sur le devant de la scène pour le scrutin des législatives. Son grand-père y tient pourtant: des semaines durant, Jean-Marie Le Pen tente de la convaincre de se présenter dans le Vaucluse, terre favorable au FN. « Es-tu une Le Pen ou pas ? », l'interroge le patriarche, selon des propos rapportés par L'Express. « J'aimerais que tu laves mon honneur », lui demande également celui qui est, à l'époque, président du parti. Rétive, Marion Maréchal-Le Pen sollicite le soutien de sa tante, Marine Le Pen, pour persuader Jean-Marie Le Pen d'oublier sa candidature. Mais alors que son grand-père est en passe de renoncer, Marion Maréchal-Le Pen accepte finalement de porter les couleurs du FN aux législatives.

    Avec succès: la candidate parvient à devancer son rival UMP dans la troisième circonscription du Vaucluse au premier tour. Elle profite du maintien de la candidate socialiste au deuxième tour et remporte le siège de députée avec 42% des voix. Marion Maréchal-Le Pen devient du même coup, à 22 ans, la seule élue FN de l'Assemblée -Gilbert Collard, son collègue, appartient au Rassemblement Bleu Marine- et la plus jeune des députés que l'hémicycle ait connus.

    • Des sorties polémiques

    À l'image de son grand-père, dont elle reste très proche, Marion Maréchal-Le Pen a attiré l'attention, depuis son accession à la députation, avec quelques phrases polémiques. Tout récemment, elle a fait sortir de ses gonds le premier ministre Manuel Valls lors d'une séance dans l'hémicycle. Sa déclaration mentionnant le «mépris crétin» dont ferait preuve Manuel Valls a déclenché une réponse musclée de l'intéressé. Par la suite, une phrase de la députée FN rapportée par le Journal du Dimanche entretiendra la polémique : « Achevez donc Manuel Valls qui est au bord de la crise cardiaque. Faites-moi ce plaisir, je vous fais confiance », aurait-elle déclaré devant des militants.

    Deux mois plus tôt, Marion Maréchal-Le Pen s'en était pris au journaliste Gilles Leclerc à l'occasion de la remise du «prix d'élu local de l'année» au maire FN d'Hénin-Beaumont, Steeve Briois. Le journaliste était chargé de remettre le prix, et a pris la peine, lors de la cérémonie, de préciser qu'il n'était pas «volontaire» pour «cet exercice particulier». «Franchement, c'est minable. Je suis regonflée à bloc! Mais on va vous avoir... Mais quand ça va arriver, ça va vraiment vous faire mal!», avait lancé la députée au journaliste.

    Marion Maréchal Le-Pen n'hésite pas non plus à se distancier de sa tante. En janvier, une vidéo polémique de l'ancien conseiller de Marine Le Pen, Aymeric Chauprade, agite le parti. La présidente appelle les cadres du FN à ne pas relayer l'enregistrement. Ce que Marion Maréchal-Le Pen s'empressera de faire sur Twitter. Quelques semaines plus tôt, elle figurait également parmi les membres du parti ouvertement hostiles à l'arrivée, dans le parti, de Sébastien Chenu, ancien UMP et fondateur de Gaylib.

    • Favorite pour la candidature aux régionales

    Fruit de la querelle ouverte entre Marine Le Pen et son père, la candidature de Marion Maréchal-Le Pen à l'investiture en Provence-Alpes-Côte-d'Azur pour les éléctions régionales de décembre est désormais officielle. Jean-Marie Le Pen a renoncé à cette candidature, plaidant pour que sa petite-fille soit candidate à sa place. À 25 ans, la députée se prépare à une campagne en Paca, région dans laquelle, là encore, le Front national peut espérer de bons scores. Marion Maréchal-Le Pen doit toutefois faire face à la candidature de Bruno Gollnisch, fidèle de Jean-Marie Le Pen, qui souhaite lui aussi être investi par le FN dans cette région.

    Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuklAAlVpyLiXgmPZm.shtml

  • Les croisades n’ont rien à voir avec le djihad


    Pour ceux qui ont encore quelques doutes, voici une petite vidéo qui remet les idées en place (et il y aurait bien d’autres choses à dire).
    Une vidéo de l’américain Bill Warner, propriétaire du site Political Islam :

    Source : NDF

    http://www.contre-info.com/

  • Poutine lève l’interdiction de livrer des missiles S-300 à l’Iran

    Il en fallait pas plus à l’axe américano-sioniste pour s’affoler… En effet ces missiles sol-air pourraient poser quelques problèmes à des  belligérants qui se sont habitués à massivement bombarder des zones avant d’envoyer des troupes au sol.

    Le Kremlin est revenu sur l’annulation en 2010 d’un contrat visant à équiper Téhéran de missiles anti-aériens. La décision avait été prise à l’époque dans le cadre des sanctions frappant l’Iran en réponse à son programme nucléaire.

    Nouveau revirement à Moscou. Le président Vladimir Poutine a signé ce lundi un décret annulant l’interdiction faite à son pays de fournir à l’Iran les missiles S-300.

    En 2010, son prédécesseur Dmitri Medvedev avait interdit la livraison de ces armes antiaériennes, dans le cadre de la résolution 1929 de l’ONU sanctionnant Téhéran pour son programme nucléaire controversé.

    La Russie et l’Iran avaient signé un accord d’un montant de 800 millions de dollars en 2007 en vue de la livraison de cet équipement. Après l’interdiction, Téhéran avait saisi la Cour internationale d’arbitrage à Genève (Suisse) pour réclamer à Moscou quatre milliards de dollars à titre de dédommagement.

     

    Depuis les deux pays se sont rapprochés. Au début de l’année, à l’occasion d’une visite à Téhéran du ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, Moscou et Téhéran ont signé un protocole d’accord pour renforcer la « coopération militaire bilatérale en raison des intérêts communs ». Moscou avait alors proposé à Téhéran de lui fournir des Anteï-2500, une nouvelle version des missiles perfectionnés S-300. Impossible de savoir si le Kremlin va maintenant honorer son ancienne promesse quant aux fameux S-300, mais il en a désormais la possibilité juridique.

    Une levée dénoncée par Israël et le Pentagone

    Déjà critiqué à l’époque par les Occidentaux et Israël, ce contrat remis sur les rails, qui intervient en pleines négociations sur la levée des sanctions visant l’Iran, ne devrait pas manquer de faire réagir dans les chancelleries. Ce lundi, Israël dénonçait cette levée de l’interdiction. Le ministre chargé des renseignements Youval Steinitz a affirmé dans un communiqué :

    [Cette annonce est le] résultat direct de la légitimité accordée à l’Iran avec l’accord en cours de préparation, et la preuve que la croissance économique qui suivra la levée des sanctions (internationales) sera exploitée par l’Iran pour s’armer et non pas pour assurer le bien-être du peuple iranien.

    Le Pentagone a lui aussi critiqué la possible livraison de missiles russes à l’Iran. « Notre opposition à ces ventes est ancienne et publique. Nous pensons que ces ventes n’aident en rien« , a estimé le colonel Steven Warren, porte-parole du Pentagone.

    De son côté, l’Iran s’est félicité de la décision du Kremlin. « Le développement de la coopération bilatérale (avec la Russie) et avec les pays voisins dans des domaines variés peuvent être très efficaces pour la stabilité et la sécurité durable de la région », a déclaré le ministre de la Défense Hossein Dehghan, en faisant référence aux « menaces extra-régionales et (au) développement des activités terroristes ».

    L’Iran comme la Russie sont visés par des sanctions économiques des Etats-Unis et des pays européens, Téhéran en raison de son programme nucléaire et la Russie à cause de son implication dans la crise ukrainienne. Les deux pays, qui se sont rapprochés ces dernières années dans le domaine économique, soutiennent le régime du président syrien Bachar al-Assad.

    Sur la question du nucléaire iranien, le 2 avril, après des mois de négociations, l’Iran et le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) sont tombés d’accord sur les grandes lignes d’un accord pour imposer des contrôles plus stricts sur le programme nucléaire de Téhéran. L’Iran demande en échange la levée des sanctions internationales.

    Source : Itélé

    http://www.contre-info.com/poutine-leve-linterdiction-de-livrer-des-missiles-s-300-a-liran#more-37544

  • Gabriele Adinolfi : "Je suis à la fois avec Pravyï-Sector et Poutine !"


    Gabriele Adinolfi : "Je suis à la fois avec... par agenceinfolibre