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  • Pendant ce temps, les profanations se poursuivent

    Une douzaine de tombes vandalisées dans le cimetière de Caudebec-lès-Elbeuf (Seine-Maritime), l’église de Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire) incendiée

    Après le saccage du cimetière de Saint-Roch de Castres (Tarn) et celui de Wizernes, dans le Pas-de-Calais, c’est au tour de celui de Caudebec-lès-Elbeuf (Seine-Maritime) d’être victime de profanation. Trois en une semaine, auxquelles s’ajoute l’incendie de l’église de Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire), dont il reste à déterminer si elle était la cible des vandales ou seulement le dégât collatéral de l’incendie des voitures stationnées à proximité de l’édifice.
    Pour anecdotiques que puissent être ces événements au regard du génocide de chrétiens commis au Moyen-Orient, leur répétition ne fait qu’accentuer le climat délétère déjà causé par les attentats islamiques sur notre sol.


    VIDEO. Incendie et dégradations à Saint-Martin… par lanouvellerepublique

    http://fr.novopress.info/

  • UMP : le député qui chasse les fraudeurs au RSA avait un compte en Suisse

    La Haute Autorité pour la transparence a saisi le parquet de Paris, vendredi 17 avril, du cas de Dominique Tian, soupçonné de déclaration de patrimoine mensongère. Ce député UMP a dissimulé un compte en Suisse. À Mediapart, l'élu affirme qu'il détenait environ 1,5 million d'euros, rapatriés en France en 2014. 
     
    Le grand œuvre de Dominique Tian, à l'Assemblée nationale, c'est un rapport au Karcher contre les fraudeurs aux prestations sociales, ceux qui grugent le RSA ou les allocations familiales, parfois pour 100 euros de plus par mois. Mais pendant qu'il réclamait, sabre au clair, plus de sanctions pénales contre ces tricheurs de seconde zone, le député UMP dissimulait un compte en Suisse, non déclaré au fisc, farci d'environ 1,5 million d'euros, si l'on en croit les chiffres fournis à Mediapart par l'intéressé lui-même. 
     

  • Le principal adversaire de l'UDI, c'est le Front National

    Ce n'est ni le chômage, ni l'insécurité, ni même la gauche. Chantal Jouanno, tête de liste UDI en Ile-de-France pour les élections régionales de décembre, a déclaré :

    Unknown"A l'UDI, les choses sont très claires: notre principal adversaire, c'est le Front national et tout le populisme qui va derrière le Front national, avec tout ce qu'il véhicule comme haine". 

    "S'il y a le moindre danger dans une région, parce que nous avons une liste, on retire notre liste. On l'a fait de manière extrêmement claire aux élections départementales et ce sera pareil pour les élections régionales. Chez nous, ce point n'est pas négociable".

    Pour les élections régionales, toute liste ayant recueilli 10% des voix au premier tour peut se maintenir au second ou fusionner avec une autre liste, si aucune liste n'a atteint la majorité absolue des suffrages exprimés au premier tour. Au second tour, la liste arrivée en tête obtient automatiquement la majorité des sièges. Les autres listes reçoivent des sièges selon une règle de proportionnalité.

    Michel Janva

  • Enseignement : étude de l’islam obligatoire, le christianisme médiéval en option

    Et plus d’être facultatif au collège, le christianisme doit être enseigné sous l’angle de l’ « emprise de l’Eglise sur les mentalités rurales » ! Et la nation est évoquée par l’étude des « heures sombres ou controversées du passé » (esclavage, colonisation, génocides, déportation…). Incroyable !
    Il n’est plus raisonnable aujourd’hui pour les parents de mettre leurs enfants sous la férule tyrannique de l’Éducation Nationale. Sauvons nos enfants, mettons-les dans les écoles libres.

    Article du Figaro sur le sujet. Si la rédaction de CI n’est pas d’accord avec la totalité des points abordés, ce billet a le mérite de présenter la réforme :

    C’est en parcourant ensuite la liste des sujets abordés que l’inquiétude surgit: le Conseil supérieur des programmes (CSP) distingue les sujets «obligatoirement étudiés» des sujets «traités au choix de l’enseignant». Ainsi, l’étude de l’Islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative – ceux qui choisiront de l’enseigner devront le faire uniquement sous l’angle de l’ «emprise de l’Eglise sur les mentalités rurales». Dans une société en mal d’intégration et de cohésion nationale, on ne manquera pas de s’étonner d’une curiosité si grande pour les religions venues d’ailleurs, et d’une révulsion si manifeste pour nos racines judéo-chrétiennes. N’est-ce pas pourtant en redonnant à l’élève ces racines que nous le rendrons d’autant plus ouvert à l’altérité? Par ailleurs, où est-il passé, ce «cadre national» que le CSP évoquait précédemment?

    Lire la suite sur lefigaro.fr

    http://www.contre-info.com/

  • Les Sentinelles ne lâchent rien

    A Lyon comme à Paris, en ce funeste 2e anniversaire de la loi Taubira :

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    Michel Janva

  • Menace islamiste en Méditerranée (article paru dans L’Action Française 2000, 16 avril 2015)

    Un risque de piraterie plane sur la Méditerranée. Menacés par l’État islamique et ses affidés, les États européens peinent à s’entendre pour répondre à ce défi sécuritaire.

     

    Si j’avais « un yacht et l’intention de naviguer cet été en Méditerranée, je serais inquiet pour ma sécurité ». Ces mots, empreints d’un certain humour, sont ceux du contre-amiral britannique Chris Parry, faisant suite aux récents événements survenus au large des côtes libyennes et italiennes. En effet, l’attaque organisée par l’État islamique à l’encontre d’un navire marchand égyptien, en novembre dernier, ne restera pas un cas isolé. La Méditerranée est en passe de devenir le théâtre d’actions terroristes nouvelles, celles d’une piraterie djihadiste qui, bien que mue principalement par des raisons vénales, s’en trouverait autrement plus dangereuse que celle déjà pratiquée dans l’océan Indien, le golfe de Guinée ou le détroit de Malacca : les stocks d’armes, en quantité confortable, hérités du gouvernement de Kadhafi au profit de l’État islamique, permettent d’armer efficacement des embarcations rapides et de prendre d’assaut des objectifs économiques majeurs. Ainsi, au-delà des risques encourues par

    le trafic maritime, les îles et les côtes italiennes risquent également de devenir la cible des fondamentalistes qui, assassinant les vingt et un otages coptes en février dernier, menaçaient de « conquérir Rome par la volonté de Dieu ».

    L’État islamique fait du chantage

    La situation s’envenime, et les gouvernements européens semblent avoir perdu tout contrôle. L’hypothèse d’une nouvelle intervention militaire en Libye semble improbable : la réussite du chantage humanitaire exercé par l’État islamique, qui menace désormais de déporter manu militari près de cinq cent mille réfugiés en direction des plages de l’Europe, est indéniable. La marine italienne, qui gère actuellement la majeure partie des opérations de sauvetage en haute mer, est déjà débordée par les flux de migrants qui tentent de fuir l’étendard noir qui s’implante, peu à peu, dans le paysage de l’Afrique du Nord. Pire, les garde-côtes de l’opération Triton, censée prendre le relai du Mare nostrum italien, semblent faire face à de nouvelles menaces venant des passagers de ces embarcations de fortune, dont certains, armés, n’attendent que d’être débarqués pour commettre leurs méfaits. À quelques mois seulement d’existence, l’opération Triton est donc déjà dépassée par la réalité de la situation en Méditerranée. Avec seulement vingt et un navires, dont certains ne sont même pas de haute mer, quatre avions d’observation et un hélicoptère, la solidarité européenne brille, une fois encore, par son absence, renforçant les tropismes Nord-Sud et démontrant l’abysse existant entre les vœux pieux du président de la Commission européenne pour la création d’une armée fédérale et les aspirations réelles des différents gouvernements. Concernant cette gestion collective de nos forces armées, le général Faupin, en novembre dernier, déclara : « Les Européens de l’Union européenne n’en sont pas capables. Non [parce] qu’ils manquent des moyens nécessaires, mais parce qu’ils n’ont pas de politique étrangère, de sécurité et de défense commune opérante, et qu’ils ne sont pas près, au train où vont les choses, d’en avoir une. » La remise en question de l’Otan n’est donc pas à l’ordre du jour.

    L’Italie prend les devants

    Une fois encore, l’Italie prend les devants de l’Europe et renforce ses moyens militaires en Méditerranée. Le sommet de Caen, le 21 mars dernier, entre Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, et leurs homologues italiens, semble avoir conclu à la nécessité de demander l’assistance des marines tunisienne et égyptienne, afin de favoriser les contrôles à l’embarcation des bateaux de réfugiées. Cette collaboration salutaire, contrastant avec l’inaction de l’UE, conduit l’Europe du Sud à regarder de nouveau vers le pourtour méditerranéen, et non plus vers ses voisins du Nord qui, par leur histoire et leur géographie continentale, ne se sont jamais sentis réellement concernés par les invasions et les migrations opérées depuis le continent africain, et ce malgré les accords de Schengen. Pendant ce temps, les islamistes gagnent déjà l’Afrique du Nord et risquent de mettre en danger, cet été, les millions de touristes faisant escale sous le soleil de la Méditerranée.

    Claude Virville

    http://eurodefense.fr/2014/11/22/le...

    http ://www.lepoint.fr/editos-du-poi...

    Action Française 2000

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Menace-islamiste-en-Mediterranee