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  • Ces 5 chiffres qui donnent des sueurs froides à François Hollande

    Certes, les sondages n'ont qu'une valeur relative, surtout à un an de l'échéance électorale. Mais il reste intéressant de noter que tous font un même constat: la position du chef de l'Etat devient très inconfortable.
    Malgré l'opération reconquête lancée ce lundi par Stéphane Le Foll, la dégringolade de François Hollande dans l'opinion, elle, semble partie pour durer. S'il envisage de conserver son siège en 2017, le président de la République a aussi du souci à se faire pour remobiliser et séduire à nouveau l'opinion. Car au vu des différents sondages épluchés par BFMTV.com, tous les indicateurs sont dans le rouge. La preuve en cinq chiffres.
    80% des Français ne veulent pas qu'il soit candidat
    Même s'il en a envie, il faudra que François Hollande travaille sa crédibilité avant de se lancer dans la course à sa propre succession. Pour l'heure, près de 54% des personnes interrogées ne souhaitent "pas du tout" une candidature de l'actuel président et 26% "plutôt pas", tandis que 6% la souhaitent "tout à fait" et que 14% répondent "oui, plutôt".
    Même parmi les sondés proches du PS, 53% sont hostiles à la participation du président de la République à l'élection présidentielle. Moins surprenant, ce pourcentage atteint 91% chez les sympathisants de Les Républicains et 89% chez ceux du Front national, détaille ce sondage Ifop.
    13 à 16% des intentions de vote
    Dans l'hypothèse où il se lancerait, nouvelle difficulté: François Hollande serait éliminé dès le premier tour de la présidentielle 2017, dans tous les cas de figure. Un sondage Odoxa pour BFMTV le donne à 15% des intentions de vote, TNS parle de 13% et Ifop, le plus optimiste, va jusqu'à 16%.
    Il serait, pour l'heure, largement devancé au premier tour comme au second par le candidat de droite, quel qu'il soit, et par la présidente du Front national, Marine Le Pen.
    14% de satisfaits
    Déchéance de nationalité, remaniement, contestation sociale de la loi Travail... le premier trimestre 2016 s'est révélé désastreux pour l'exécutif. Selon un sondage Ifop, François Hollande est le plus impopulaire de tous les présidents de la Ve République à 12 mois de l'élection, avec seulement 14% de bonnes opinions. A la même époque, Nicolas Sarkozy conservait 28% de fidèles en 2011, et François Mitterrand (en 1987) comme Jacques Chirac (2001) affichaient 56% de bonnes opinions.
    En fin d'année 2015, sa gestion des attentats avait pourtant permis à François Hollande de regagner plus de 20 points de confiance, jusqu'à atteindre 50% d'opinions favorables début décembre, son record. Mais l'éclaircie fut de courte durée.
    13% des Français approuvent son bilan
    Dans l'ensemble, s'ils ne veulent pas le voir rester à l'Elysée, c'est parce que les sondés n'apprécient pas l'action de François Hollande à la tête du pays. Ainsi, 87% d'entre eux jugent son bilan négativement. Dans le détail, 47% des répondants jugent son bilan "très négatif" et 40% "assez négatif".
    En un an, par rapport à avril 2015, le nombre d'insatisfaits du chef de l'Etat a augmenté de six points. Même chez les sympathisants socialistes, 63% qualifient le bilan de l'exécutif de négatif. En revanche, 12% des sondés jugent son bilan "assez positif" et seulement 1% "très positif". Une base bien maigre pour défendre un quinquennat.
    16% croient qu'il va encore agir avant 2017
    Plus grave encore peut-être pour son image, la plupart des Français pensent que François Hollande ne sera plus très actif d'ici à l'élection présidentielle. D'ailleurs, ils n'en attendent plus grand chose. 16% d'entre eux estiment que lors de l'année qu'il lui reste, il "cherchera à réformer le pays". 83% pensent qu’il se contentera de gérer les affaires courantes, quand 53% pensent qu’il "ne prendra plus que des mesures électoralistes".
    En termes d'image, celui qui ne convainc plus même dans son propre camp a un bilan jugé désastreux. A un an de l'élection présidentielle, François Hollande ne passe quasiment jamais la barre des 20% de satisfaits ou d'optimistes. De quoi créer la surprise s'il parvient à inverser la tendance.

    A. D. Bfmtv :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuyEyFulAABIjbVNWO.shtml

  • François Hollande et l’impossible reconquête

    Lundi, le dernier carré des hollandais a donc décidé de lancer l’opération « reconquête » ou, dans une appellation plus belliqueuse, la « contre-offensive »du président sortant qui ne veut pas être sorti. On avait pourtant cru comprendre que celle-là était déjà effective depuis quinze jours puisque, selon les mêmes thuriféraires, son émission sur France 2 « Dialogues citoyens » en était la première phase. Cette offensive télévisuelle qui devait faire des éclats a fini en pétard mouillé et, loin de lui obtenir un retour de flamme, sa cote de popularité a encore baissé après sa prestation. Il est vrai que rien de tel que son « la France va mieux » pour obtenir un effet contre-productif.

    Il y a fort à parier que les autres opérations connaîtront le même sort, car ce que le chef de l’Etat doit reconquérir, c’est moins la faveur que l’oreille des Français. Il peut parler, plus personne ne l’écoute, ses plus sublimes arguments se perdent dans la mer d’indifférence qui l’entoure désormais. Sa parole ne pèse que le poids d’un souffle. Nos concitoyens n’espèrent plus rien de lui, ils attendent que ça se passe en espérant que, d’ici à 2017, à défaut de s’améliorer, la situation ne se dégradera pas davantage à cause d’un président aussi impuissant que bavard.

    Et comme la communication élyséenne n’en rate jamais une, c’est dans un amphithéâtre de la Faculté de médecine que pas moins de 21 ministres ont été réunis lundi pour chanter les louanges du président. On voit toutes les plaisanteries qui courent déjà sur Hollande, grand corps malade en réanimation, sous perfusion et soins palliatifs, etc.

    Il y a un absent remarqué et remarquable dans la cour ministérielle, Emmanuel Macron, coqueluche des médias et star des sondages mais qui n’a pas été invité à la Faculté de médecine. C’est vrai qu’entre lui et eux, il y a une différence : ses collègues croient, ou feignent de croire, que l’on peut encore éviter le naufrage du Titanic, tandis que lui a déjà pris un canot de sauvetage et navigue pour son compte. La « contre-offensive » est plus contre lui que contre la droite !

    Emmanuel Macron s’enhardit chaque jour davantage, défie le président dont il dit qu’il n’est pas « l’obligé ». Il affirme que son projet concerne la présidentielle, il va quêter des fonds en Grande-Bretagne et assure que la gauche, telle qu’elle est, ne lui plaît pas, c’est pourtant celle du chef de l’Etat. Ses amis pressent le président de faire preuve d’autorité et de le congédier. Mais d’autorité, c’est le drame de ce quinquennat à l’agonie, le président n’en a plus. Même s’il tapait sur la table, on n’entendrait qu’un léger « pfft… » S’il n’est même plus capable de convaincre son ministre des Finances, comment pourrait-il reconquérir l’opinion ? C’est l’impossible reconquête.

    En réalité, cette énième opération de « la dernière chance » vise moins une impossible victoire en 2017 qu’à remonter le moral des troupes socialistes – ce qu’il reste de l’armée en déroute – afin que la défaite soit la moins humiliante possible. Mais cela ne concerne plus les Français, qui sont passés à autre chose. Laissons donc la poignée de vieux-croyants du hollandisme prêcher dans le désert de l’indifférence !

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent n° 8595 daté du 26 avril 2016

    http://fr.novopress.info/

  • François Hollande et l’impossible reconquête

    Lundi, le dernier carré des hollandais a donc décidé de lancer l’opération « reconquête » ou, dans une appellation plus belliqueuse, la « contre-offensive »du président sortant qui ne veut pas être sorti. On avait pourtant cru comprendre que celle-là était déjà effective depuis quinze jours puisque, selon les mêmes thuriféraires, son émission sur France 2 « Dialogues citoyens » en était la première phase. Cette offensive télévisuelle qui devait faire des éclats a fini en pétard mouillé et, loin de lui obtenir un retour de flamme, sa cote de popularité a encore baissé après sa prestation. Il est vrai que rien de tel que son « la France va mieux » pour obtenir un effet contre-productif.

    Il y a fort à parier que les autres opérations connaîtront le même sort, car ce que le chef de l’Etat doit reconquérir, c’est moins la faveur que l’oreille des Français. Il peut parler, plus personne ne l’écoute, ses plus sublimes arguments se perdent dans la mer d’indifférence qui l’entoure désormais. Sa parole ne pèse que le poids d’un souffle. Nos concitoyens n’espèrent plus rien de lui, ils attendent que ça se passe en espérant que, d’ici à 2017, à défaut de s’améliorer, la situation ne se dégradera pas davantage à cause d’un président aussi impuissant que bavard.

    Et comme la communication élyséenne n’en rate jamais une, c’est dans un amphithéâtre de la Faculté de médecine que pas moins de 21 ministres ont été réunis lundi pour chanter les louanges du président. On voit toutes les plaisanteries qui courent déjà sur Hollande, grand corps malade en réanimation, sous perfusion et soins palliatifs, etc.

    Il y a un absent remarqué et remarquable dans la cour ministérielle, Emmanuel Macron, coqueluche des médias et star des sondages mais qui n’a pas été invité à la Faculté de médecine. C’est vrai qu’entre lui et eux, il y a une différence : ses collègues croient, ou feignent de croire, que l’on peut encore éviter le naufrage du Titanic, tandis que lui a déjà pris un canot de sauvetage et navigue pour son compte. La « contre-offensive » est plus contre lui que contre la droite !

    Emmanuel Macron s’enhardit chaque jour davantage, défie le président dont il dit qu’il n’est pas « l’obligé ». Il affirme que son projet concerne la présidentielle, il va quêter des fonds en Grande-Bretagne et assure que la gauche, telle qu’elle est, ne lui plaît pas, c’est pourtant celle du chef de l’Etat. Ses amis pressent le président de faire preuve d’autorité et de le congédier. Mais d’autorité, c’est le drame de ce quinquennat à l’agonie, le président n’en a plus. Même s’il tapait sur la table, on n’entendrait qu’un léger « pfft… » S’il n’est même plus capable de convaincre son ministre des Finances, comment pourrait-il reconquérir l’opinion ? C’est l’impossible reconquête.

    En réalité, cette énième opération de « la dernière chance » vise moins une impossible victoire en 2017 qu’à remonter le moral des troupes socialistes – ce qu’il reste de l’armée en déroute – afin que la défaite soit la moins humiliante possible. Mais cela ne concerne plus les Français, qui sont passés à autre chose. Laissons donc la poignée de vieux-croyants du hollandisme prêcher dans le désert de l’indifférence !

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent n° 8595 daté du 26 avril 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Alerte au Nigéria : 10 000 chrétiens assassinés et 13 000 églises détruites entre 2006 et 2014

    Les oubliés du monde, Africains et Catholiques, parviennent enfin à faire parler d'eux : 

    "Quelque 10.000 chrétiens sont morts du fait de persécutions dans le nord du Nigeria à majorité musulmane de 2006 à 2014, a déclaré aujourd'hui Portes ouvertes, une organisation non gouvernementale basée à Strasbourg.

    Les violences tels qu'enlèvements, massacres et attentats suicides commis par la secte Boko Haram, ne constituent qu'un aspect du problème, selon un rapport réalisé par cette association évangélique et adopté en février dernier par l'Association des chrétiens du Nigéria (Can). Les violences subies par les chrétiens dans les Etats du nord du pays, où la charia a été réinstaurée depuis les années 2000, procèdent aussi, selon Portes ouvertes, des élites locales, sur lesquelles s'était appuyé le pouvoir colonial britannique, et des bergers peuls musulmans, poussés par la désertification vers le sud majoritairement chrétien. "On estime qu'entre 2006 et 2014, entre 9000 et 11.500 chrétiens ont été tués, 13.000 églises ont été détruites, abandonnées ou fermées" et "1,3 millions de chrétiens n'ont plus de lieu de culte", nombre d'entre eux étant des "déplacés internes", estime cette étude.

    Lahire

  • Samedi 7 mai, ce sera le 3e Congrès du Parti de la France : Carl Lang nous en parle

    Il y aura un stand de Synthèse nationale

    au 3e congrès du Parti de la France

    lille5.jpg

    Carl Lang et les militants du PdF lors de la réunion de Synthèse nationale à Nieppe, près de Lille, dimanche dernier

     
  • Le grand réveil

    Samedi dernier , au cours d’une conférence à Sinaia, dans le centre de la Roumanie, Marine Le Pen a plaidé pour que chaque pays européen puisse, comme la Grande-Bretagne à travers le référendum prévu le 23  juin,  décider de son maintien ou non  dans l’Union européenne. Un appel à la démocratie directe, à la consultation populaire qui  est taxé de populisme... par ceux qui ont peur du peuple.  Le vent de fronde contre une Europe de Bruxelles pilotée par les adversaires de nos identités et de nos  souverainetés nationales, Angela Merkel  et la Commission européenne, ne cesse de prendre de l’ampleur… fera-t-il s’écrouler cette mauvaise construction ? Un sondage publié par l’institut Sifo le 20 avril indiquait que si le Royaume-Uni quittait l’UE, 36 % des Suédois voudraient à leur tour quitter « l’Europe » et 32 % seulement voudraient y rester, contre 44% actuellement. La crainte de l’effet domino, une émancipation en entraînant une autre, affole la technostructure euromondialiste et ses relais politico-médiatiques. Certes, il se trouve encore des eurosceptiques de gauche pour faire le jeu des oligarques bruxellois en éructant contre les patriotes qui ne dissocient pas eux, en toute cohérence, la défense de la souveraineté ET de l’identité  des peuples et des nations.

    C’est le cas de l’élue travailliste britannique  Gisela Stuart, la coprésidente de la campagne officielle  Vote Leave  en faveur de la sortie de l’UE (Brexit). Dans une lettre envoyée au ministre britannique de l’Intérieur Theresa May, Mme Stuart demande au gouvernement conservateur d'interdire l’entrée du territoire du Royaume-Uni  à la présidente du FN (qui pourrait s’y rendre en mai), du fait de « ses opinions extrémistes » de « (ses) propos clivants et incendiaires, notamment en comparant les musulmans priant dans la rue à l’occupation nazie en France(…). La présence de Madame Le Pen au Royaume-Uni ne contribuerait pas à l’intérêt général »… Contrairement à la poursuite de l’immigration non européenne défendue par Mme Stuart ?

    Fort heureusement, cette forme d’hémiplégie intellectuelle qui frappe la gauche antieuropéenne est assez minoritaire et les peuples soucieux de leurs libertés, de leur prospérité rejettent aussi l’immigration massive.  C’est une des raisons du succès spectaculaire  de l’ ingénieur aéronautique Norbert Höfer, 45 ans, candidat de la droite nationale autrichienne, le  FPÖ,  au premier tour de l’élection présidentielle ce dimanche. Il est  arrivé en tête avec  36,4% des voix, laminant les têtes de gondole des deux  partis, peu ou prou interchangeables, qui se partagent le pouvoir en Autriche depuis 70 ans : le candidat social-démocrate Rudolf Hundstorfer (SPÖ) et le conservateur Andreas Khol (ÖVP). Ces deux derniers n’ont totalisé que 11,2% des voix chacun. Si M. Höfer a apporté  à son parti son meilleur score à une  élection nationale depuis sa création, l’autre surprise de ce scrutin  est la personnalité qu’il devance très fortement dans les urnes mais qu’il affrontera au second tour le 22 mai, un écologiste de 72 ans, l’économiste Alexander Van der Bellen (20,4%).

    En Autriche comme ailleurs, les médias, les figures de l’Europe de Bruxelles ont gémi, parlé de coup de tonnerre, de tsunami, de catastrophe populiste, de danger d’extrême droite. Les Autrichiens ont tenu tout simplement à siffler la fin de la partie pour les vieilles formations politiques aux mains molles dont ils sont lassés, leur ras-le-bol de cette impuissance affichée face à la montée  du chômage, leur refus de l’invasion migratoire, des diktats européistes. Beaucoup ont rappelé qu’en 2000, l’entrée du FPÖ, alors dirigé par Jorg Haider, au gouvernement comme partenaire de l’ÖVP présidé à l’époque par Wolfgang Schüssel, avait valu à l’Autriche des mesures de rétorsion de la part de L’UE. Mais les commissaires politiques du soviet bruxellois oseraient-ils aujourd’hui réitérer la manœuvre ?  Bruno Gollnisch n’est pas seul à penser que cela s’avérerait difficile dans le climat actuel… 

    Selon Jean-Yves Camus, spécialiste es extrême droite, cité sur le site de  France info, « ce vote massif pro-FPÖ »,  notamment  « le vote des jeunes autrichiens, très nombreux à avoir choisi le candidat du FPÖ,  « répond à une volonté des électeurs de choisir leur président en dehors du système politique, quelque chose qui émerge partout en Europe. En France c’est sans doute moins facile qu’ailleurs par ce que la désignation est encore très prisonnière du système des partis. La charge d’ostracisation qui frappe encore le FN est moins forte en Autriche. Et le vote autrichien n’est pas prioritairement anti-européen, c’est un vote de contestation globale d’un système politique dont l’immobilisme est absolument terrible ». En cela, et M. Camus le sait parfaitement, ce vote autrichien s’assimile au vote FN, dont le moteur premier n’est pas, lui non plus, la problématique européenne même si elle est une thématique importante, structurante.

    La journaliste Christelle Bertrand, sur le site Atlantico, affirme que cette présidentielle autrichienne, « résonne comme l’avant-première d’une pièce qui pourrait se jouer en France en mai 2017 »,  même si les Autrichiens devaient « choisir un président qui a peu de pouvoir par rapport au Chef de l’Etat Français, d’où des choix peut-être plus hasardeux, en tout cas plus originaux » (sic). Pour autant, « les élus français » « observent, sondage après sondage, le maintien de Marine Le Pen en tête du premier tour de 2017 » et « constatent, au fil des mêmes enquêtes d’opinion, que leurs électeurs ne veulent plus des candidats issus des partis traditionnels et refusent un duel Hollande/Sarkozy. Mais jusqu’à présent, les responsables politiques se rassuraient en imaginant qu’au dernier moment, seuls dans l’isoloir, les Français opteraient finalement pour la sécurité, le déjà vu. L’exemple autrichien prouve aujourd’hui le contraire et laisse entrevoir l’esquisse d’un grand chamboulement dont les sondages donnent une petite idée. »

    Un grand chamboulement nécessaire auquel chacun peut contribuer en luttant, auprès de son entourage, contre la désinformation, la propagande anxiogène véhiculée par les « grands médias »; les  relais d’une  pensée unique responsable de l’affaissement de la France et de notre Europe des patries libres. 

    http://gollnisch.com/2016/04/26/le-grand-reveil/

  • Au secours, Macron veut kidnapper Jeanne d’Arc !

    Le 8 mai prochain, c’est Emmanuel Macron qui présidera à Orléans les fêtes johanniques. Il y a été invité par le maire LR de la ville, selon lequel Macron incarne « le changement de génération dans les affaires politiques ». La presse souligne que, depuis dix ans, aucun ministre en exercice n’y avait joué ce rôle.

    Sollicité, le cabinet d’Emmanuel Macron répond à son tour : « Si Emmanuel Macron est convié à cette fête, c’est pour redonner du sens à notre histoire. Il ne faut pas laisser Jeanne d’Arc au Front national. Il pourra, lors de ces fêtes, s’exprimer sur notre histoire et ses racines. »

    Emmanuel Macron est comme ça. Il ne recule devant rien. « Dieu avec nous », signifie déjà son prénom ambitieux. Mais cela ne lui suffit pas, il veut encore la pucelle d’Orléans. Peut-être parce qu’il entend aussi des voix. Se sent appelé à un grand destin national. Parce que surtout, plus finaud que ses comparses, il réfléchit. C’est sans doute à cette qualité-là que le maire d’Orléans fait allusion quand il parle de« changement de génération ». Si les imprécations, les excommunications, les gousses d’ail et les exorcismes en rafale ne suffisent pas à chasser le Front national du grand corps malade qu’est la France, c’est que ce parti possède un philtre, une potion, une formule magique. Qu’il suffit de lui piquer, n’est-ce pas ? Et qui a nom « Jeanne d’Arc ».

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  • Au secours, Macron veut kidnapper Jeanne d’Arc !

    Le 8 mai prochain, c’est Emmanuel Macron qui présidera à Orléans les fêtes johanniques. Il y a été invité par le maire LR de la ville, selon lequel Macron incarne « le changement de génération dans les affaires politiques ». La presse souligne que, depuis dix ans, aucun ministre en exercice n’y avait joué ce rôle.

    Sollicité, le cabinet d’Emmanuel Macron répond à son tour : « Si Emmanuel Macron est convié à cette fête, c’est pour redonner du sens à notre histoire. Il ne faut pas laisser Jeanne d’Arc au Front national. Il pourra, lors de ces fêtes, s’exprimer sur notre histoire et ses racines. »

    Emmanuel Macron est comme ça. Il ne recule devant rien. « Dieu avec nous », signifie déjà son prénom ambitieux. Mais cela ne lui suffit pas, il veut encore la pucelle d’Orléans. Peut-être parce qu’il entend aussi des voix. Se sent appelé à un grand destin national. Parce que surtout, plus finaud que ses comparses, il réfléchit. C’est sans doute à cette qualité-là que le maire d’Orléans fait allusion quand il parle de« changement de génération ». Si les imprécations, les excommunications, les gousses d’ail et les exorcismes en rafale ne suffisent pas à chasser le Front national du grand corps malade qu’est la France, c’est que ce parti possède un philtre, une potion, une formule magique. Qu’il suffit de lui piquer, n’est-ce pas ? Et qui a nom « Jeanne d’Arc ».

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