Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Massacre de Nice : jusqu’à quand le déni de réalité ?

    Le communiqué de l'Agrif sur le carnage de Nice :

    72d349c0f7698e826b25f54cec53f9de_L

    "L’abomination de l’attentat islamiste de Nice appelle d’abord l’expression de l’unité française dans le deuil et la prière à la pensée des morts et des immenses souffrances des blessés et de celles des proches des victimes.

    Mais elle suscite aussi indignation et colère devant l’incurie gouvernementale et aussi devant la continuation du déni de réalité sur les causes et l’extension de la barbarie. Car c’est depuis bien longtemps que le fanatisme islamiste ou islamo-gauchiste massacre ; dans l’indifférence hélas trop générale de notre peuple tant qu’il ne ciblait jadis que nos compatriotes d’Afrique du nord et ne se propageait qu’au Liban et au Proche-Orient.

    Après Al-Qaïda, et les immenses attentats du 11 septembre 2001 à New York, l’État islamique et ses filiales frappent désormais sur tous les continents. Mais surtout ils préparent, on le sait bien, d’autres moyens de terreur, chimiques, bactériologiques voire l’utilisation de produits nucléaires.

    La classe politico-médiatique fournit en abondance à chaque attentat son lot de communiqués pré-programmés d’une insigne indigence et répétitivité, ne trouvant souvent pas autre chose à dire que « les attentats sont lâches et abjects ».

    Un quidam de France-Info a même atteint un sommet d’une stupéfiante imbécilité en osant proférer l’interrogation : « Comment un Niçois a-t-il pu tuer d’autres Niçois ? ». On reste accablé devant pareille ineptie.

    Rares sont ceux voyant clairement que la tuerie de Nice, relevant certes du crime contre l’humanité, s’inscrit dans une stratégie puisant très loin dans l’histoire ses modèles de terreur, par exemple dans le jihâdisme des « hashishins ».   

    Trop peu s’avisent de rappeler :

    1. Que l’État islamique a initialement bénéficié de l’appui de l’Arabie Saoudite, du Qatar et de la Turquie.
    2. Et d’exiger que vienne enfin de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) regroupant les 57 pays « d’islam », une unanime et solennelle Charte de condamnation du terrorisme. Ceci ne serait-il pas le plus sûr moyen d’éradication de l’islamophobie ? Or, on est stupéfait de constater qu’alors même qu’on est devant l’horreur et devant les immenses souffrances causées par un fou d’Allah c’est tout de suite la crainte de l’islamophobie qui semble prioritairement en émouvoir certains !

    La guerre que l’islam jihâdiste fait aux nations ne sera pas gagnée en France et ailleurs avec de dérisoires opérations « sentinelles » où l’on fixe en vain et épuise des milliers de nos soldats. La guerre à mener doit être simultanément celle de la lutte idéologique, de l’action psychologique et celle de la traque et de l’élimination des terroristes et de leurs réseaux de connivence et de soutien qui pullulent dans certains quartiers."

    Marie Bethanie

  • Au lendemain du sommet de l'Otan à Varsovie

    Il était un peu plus de minuit. La réunion du sommet de Varsovie était terminée depuis plusieurs heures. Ce 10 juillet s'annonçait déjà comme une belle journée estivale. Pourquoi ne pas écouter ce qu'on appelle "les nouvelles", celles du journal télévisé du "service public" Soir 3. Pourquoi ne pas espérer un minimum d'informations autres que celles du sport spectacle ? Pascal Verdeau, spécialiste des sujets euro-diplomatique devait évoquer brièvement les débats entre alliés.

    Qu'en a-t-il retenu ? à l'entendre, un message d'apaisement car il considère, et il conclut son analyse, en disant que, sur la Crimée, dont les Européens ont condamné en 2014 la conquête militaire, suivie de l'annexion unilatérale par la "fédération" de Russie, désormais, "la page est tournée".

    Page tournée ? Certainement pas. Désinformation totale.

    Au contraire : les textes adoptés par l'alliance atlantique méritent d'être lus. Ils développent exactement le contraire : ils entendent tirer toutes les leçons du comportement de Poutine et de son régime. Sans doute M. Verdeau, en dépit de sa jolie diction de technocrate et de son accent de bon élève n'a-t-il pas disposé du temps de les découvrir.

    La grande crainte que semblait afficher, de son côté, le presse française portait sur les retombées supposées du Brexit. Du point de vue de l'Otan, il ne s'est en fait rien passé. L'Angleterre reste, à l'évidence, un partenaire occidental majeur. Sa préférence pour "le Grand Large" ne signifie d'ailleurs pas autre chose.

    L'Alliance atlantique, ce 9 juillet a diffusé, en réalité, plusieurs décisions qui feront date : sur l'Ukraine (1), sur la doctrine de protection des civils, sur la sécurité transatlantique, sur l'Afghanistan, et surtout un communiqué central en 139 points fixant une très riche doctrine stratégique pour l'avenir. Le secrétaire général de l'organisation Jens Stoltenberg a très officiellement mis en garde contre la menace moscovite. Des décisions immédiates ont été prises pour consolider la sécurité européenne à l'est, comme au sud.

    Certes si on se cantonne dans l'idée fort attirante de défense européenne, à laquelle j'ai toujours été prêt à applaudir, les choses n'ont pas avancé depuis un demi-siècle, les embryons successifs ont tourné court.

    Le prétendu standard européen de dépenses militaires fixé à 2 % du produit intérieur brut n'est atteint à ce jour que par 3 États-Membres de l'union européenne sur 28. Il s'agit de la France, de la Grande-Bretagne, qui aux dernières nouvelles quitte le navire, et de la Grèce que l'on ne cite que rarement en exemple.

    L'UEO, cette identité européenne de défense douloureusement accouchée lors de la négociation de Maastricht en 1991, et ratifiée par le traité, a été liquidée officiellement en 2011.

    La réalité demeure que la bataille concrète pour la sécurité européenne se situe, aujourd'hui, dans le cadre de l'Otan.

    Le 8 juillet, au terme de la première journée de leurs travaux, les chefs d'États et de gouvernements de l'Alliance atlantique avaient déjà diffusé d'importants communiqués tendant à affirmer le rapprochement de l'Union européenne et de l'Otan.

    Également les quatre pays membres de l'Alliance et de l'UE les plus proches de la Russie, soit la Pologne et les trois républiques baltes allaient recevoir une garantie au titre de l'article 5 du traité de l'Atlantique nord, etc.

    Ces informations auraient pu être intériorisées par nos journalistes.

    À Moscou, en tout cas, on en a pris conscience. Ainsi "Moscou demande à l’Alliance atlantique d'expliquer son renforcement "tous azimuts" lors de la réunion du Conseil Russie-Otan prévue pour le 13 juillet prochain, a indiqué la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova, se référant aux documents du sommet du bloc à Varsovie." - peut-on lire sur Sputniknews. (2)

    Un autre aspect de la même réalité était souligné par Jean-Sylvestre Mongrenier dans un entretien publié par Libération : "On se retrouve, dit-il, bel et bien dans une forme de guerre froide". (3)

    Un point très important a été arrêté : si le déploiement dans les États baltes et en Pologne a vocation à impliquer la Grande Bretagne, les États-Unis et le Canada, et l'Allemagne.

    Cette présence dont l’Alliance affirme qu'elle n'affectera pas les accords OTAN-Russie"n’aura pas de durée limitée. Elle durera autant que nécessaire" aux dires mêmes de Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’Otan présentant l'accord le 8 juillet.

    Rappelons aussi, par exemple, que les Lituaniens ont remis en vigueur le service militaire obligatoire en 2015 du fait des craintes résultant de la crise ukrainienne.

    Certains détails parlent : est-ce par hasard si le lieu de la réunion coïncide avec celui, à l'est de la Vistule, où l'armée rouge s'est fixée en 1944, appelant la résistance polonaise à l'insurrection, et, sur ordre de Staline, laissant massacrer l'armée secrète du général Bor-Komorowski, avant de s'emparer de Varsovie en ruines. La plupart des Français l'ignorent. Les Polonais ne l'ont pas oublié.

    D'autres évolutions se dessinent par ailleurs, tendant à renforcer l'Otan, ce qui est clairement dénoncé comme insupportable par l'État moscovite. L'heure reste à l'élargissement. Il a été acté le 9 juillet de l'adhésion du Monténégro en tant que 29e membre de l'alliance. On parle clairement d'un processus d'adhésion de la Géorgie, mais également à terme, de l'Ukraine. Bien plus, la Suède et la Finlande, traditionnellement neutres renonceraient à ce statut en raison des agissements russes en Baltique et de la menace sur l'île suédoise de Gotland au centre de cet espace à nouveau menacé.(4)

    L’attention s’est surtout portée sur la garantie de la sécurité des pays baltes, de la Pologne mais aussi sur celle des pays de la région de la mer Noire. À noter à e tire que la Bulgarie s'est prononcée par la voix de son président Rosen Plevneliev en faveur d'une présence de l'Otan en mer Noire, vite approuvée par les alliés, cependant que le premier ministre à Sofia déclare pencher pour une, "démilitarisation" (5) qui supposerait le retrait de la marine russe de Sébastopol.

    Ceci semble prouver la fausseté de l'idée que l'annexion de la Crimée serait passée par profits et pertes : elle montre au contraire que se renforce dans les pays autrefois soumis au joug soviétique, un très fort sentiment d'hostilité à la menace qu'elle représente.

    Face au terrorisme, la question ne peut pas être esquivée de l'équilibre entre les missions définies par l'article 5 et les missions hors de cet article. L'article 5 de défense collective définit la mission de l'Otan. La lutte contre le terrorisme pour l'Otan en découle d'autant plus que c'est bien la combinaison de deux menaces potentielles, à l'est et au sud, qui aggrave le défi à la fois stratégique, militaire et politique de l'Otan dans son ensemble.

    Certes on peut trouver deux ou trois fausses notes dans cette réunion de 28 alliés. La déclaration hypocrito-ramollo de Hollande, ou la prise de position de Tsipras allant dans le même sens, ne sauraient être tenues pour "décevantes" que pour ceux qu'un Hollande ou un Tsipras peuvent encore "décevoir".

    Nous ne sommes pas du nombre.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. "Une Ukraine indépendante, souveraine et stable, fermement attachée à la démocratie et à l'état de droit, est essentielle à la sécurité euro‑atlantique. Nous restons unis dans notre soutien à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de l'Ukraine à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues, ainsi qu'à son droit inhérent de décider librement, sans ingérence extérieure, de son avenir et de l'orientation de sa politique étrangère, principe inscrit dans l'Acte final d’Helsinki." (in Déclaration commune dans le cadre de la commission OTAN-Ukraine au niveau des chefs d’État et de gouvernement en date du 9 juillet).
    2. "L'Otan se renforce tous azimuts" in Sputnik News.
    3. in Libé du 7 juillet, entretien réalisé par Estelle Pattée.
    4. cf. "Trois mots sur l’île de Gotland" chronique de Charles Hægen in L'Ami Hebdo édition du 19 juin.
    5. cf. le 7 juillet "Bulgaria to Call for Enhanced NATO Presence in Black Sea at Warsaw Summit".

    150704"La Faucille et le Croissant"
    Islamisme et Bolchevisme au congrès de Bakou

    présenté par Jean-Gilles Malliarakis
    ••• ce livre de 225 pages au prix de 20 euros port gratuit est disponible aux Éditions du Trident
    vente par correspondance 39 rue du Cherche Midi 75006 Paris tel 06 72 87 31 59

    •••On peut le commander  :
    - en ligne sur la page catalogue des Éditions du Trident en réglant par carte bancaire
    - ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

    http://www.insolent.fr/

  • Selon un sondage, les Européens sont hostiles au multiculturalisme

    Le centre de recherche américain Pew Research Center a publié lundi les résultats d’un nouveau sondage conduit dans dix pays européens (Allemagne, Espagne, France, Grèce, Hongrie, Italie, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni, Suède). Cette étude montre que le tsunami migratoire de 2015 et les attentats terroristes de Paris et de Bruxelles ont accru l’hostilité des Européens à la politique d’immigration massive conduite par leurs élites. Ainsi, la moyenne des résultats obtenus dans ces dix pays montre que 50 % des personnes interrogées considèrent que les « réfugiés » sont un fardeau pour leur pays car ils prennent les emplois et avantages sociaux et 59 % considèrent que leur accueil accroît la probabilité d’attentats terroristes.

    Cette étude fait toutefois ressortir de fortes disparités en fonction des préférences politiques. En France, 51 % des électeurs du FN considèrent la diversité culturelle comme quelque chose de négatif pour le pays contre 34 % des électeurs LR et 11 % des électeurs socialistes. Malgré la participation prouvée de « réfugiés » arrivés en 2015 par la Grèce dans les attentats terroristes de Paris et de Bruxelles, seuls 31 % des électeurs socialistes français considèrent que cette immigration clandestine massive accroît le risque de terrorisme, contre 58 % des électeurs LR et 85 % des électeurs du FN. Il n’y a pas qu’en France que les électeurs de gauche semblent refuser la réalité. Au Royaume-Uni, par exemple, seuls 39 % des électeurs du Labour font le lien entre « réfugiés » et terrorisme, contre 60 % des électeurs « conservateurs » et 87 % des partisans du UKIP. Pourtant, même Angela Merkel, citée par l’agence Reuters, l’a reconnu lundi devant un rassemblement de son parti CDU : « Le flux de réfugiés a été en partie utilisé pour faire passer des terroristes. »

    Paradoxalement, outre les Grecs, les Italiens et les Espagnols qui sont en première ligne, ce sont les Polonais et les Hongrois qui semblent le plus hostiles à l’islam, alors que ces pays abritent peu de musulmans. Ils sont 72 % à avoir une opinion négative des musulmans en Hongrie, 66 % en Pologne, 50 % en Espagne, 69 % en Italie et 65 % en Grèce. Dans ces deux derniers pays, cette proportion a augmenté respectivement de huit et douze points en un an. Au Royaume-Uni, l’augmentation est de neuf points avec 28 % d’opinions défavorables sur les musulmans et en France, l’augmentation est de cinq points avec 29 % d’opinions défavorables, la même proportion qu’en Allemagne.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 15 juillet 2016

    Sondage musulmans Europe

    http://fr.novopress.info/202501/selon-sondage-europeens-hostiles-multiculturalisme/
  • Le n°43 (été 2016) de Synthèse nationale sortira la semaine prochaine

    SN 43 Couv.jpg

    Au sommaire :

    P 2 : EDITORIAL - Roland Hélie

    P 6 : BREXIT - Le peuple contre les élites Patrick Parment

    P 12 : BREXIT - Cauchemar ou bénéfice pour les vrais FrançaisDr Bernard Plouvier

    P 17 : BEZIERS - Et alors ? Georges Feltin-Tracol

    P 24 : HALAL - Le Business tourne à plein régime Arnaud Raffard de Brienne

    P 32 : AUTRICHE - Le vent du boulet Pierre Vial

    P 34 : AUTRICHE - Un entretien avec Roland Hélie avecPhilippe Randa

    P 35 : MEDIA - EuroLibertés, Radio Libertés... le groupe Libertés étend son audience...

    P 36 : ITALIE - Comment la Droite nationale fût assassinée ?Massimo Magliaro

    P 43 : ITALIE - Etat des décombre du MSI Guirec Sèvres

    P 47 : BOUSQUET SUR FOUCAULT - Quand on déglingue une idole de la gauche Patrick Parment

    P 51 : 1966 - 1968 Approche historique de la chienlit occidentale Dr Bernard Plouvier

    P 60 : SOCIETE Emasculation de la société française Charles-Henri d'Elloy

    P 65 : ECONOMIE N'était-ce pas mieux avant ? Pieter Kerstens

    P 69 : Le GRAND REMBARQUEMENT Entretien avecEmmanuel Albach

    P 73 : LES PAGES DU MARQUIS la chronique de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

    P 82 : LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol

    P 102 : SPORT FOOT ET MOI LA PAIX Charles-Henri d'Elloy

    P 108 : SYNTHESE NATIONALE PRESENT PARTOUT

    Ainsi que de nombreuses autres rubriques...

    118 pages - 12 €

    COMMANDEZ-LE, ABONNEZ-VOUS !

    Le commander en ligne cliquez ici

    S'abonner en ligne cliquez là

    Bulletin d'abonnement et de commande cliquez ici

    Sortie prévue le 22 juillet.

    SN 43 flyer 2.jpg

     
  • La France va-t-elle rejoindre l’Organisation de la Coopération islamique ?

    Minute-Couv-Islam-Imam-600x837.jpg« La France, qui fut la “fille aînée de l’Eglise“, sera-t-elle le premier pays d’Europe à adhérer à l’Organisation de la Coopération islamique (OCI) ? », demande cette semaine l’hebdomadaire Minute, qui consacre sa une au rapport sénatorial d’information présenté le 7 juillet 2016 sous le titre : « De l’Islam en France à un Islam de France, établir la transparence et lever les ambiguïtés ».

    L’Organisation de la Coopération islamique est cette structure qui a son siège à Djeddah, en Arabie saoudite, et qui réunit 57 pays dont le point commun est d’être des pays musulmans ou à très forte communauté musulmane, comme l’Afghanistan, le Turkménistan, la Turquie, le Qatar, le Sénégal ou le Liban, afin d’organiser leur étroite coopération dans les domaines économique et culturel – et de pouvoir mieux les mobiliser pour assurer la sécurité des lieux saints… de l’islam.

    « On n’en est pas encore là mais on en prend le chemin » écrit « Minute », car, parmi les préconisations de ce rapport, « figure celle, dont on dira qu’elle a au moins les mérites de l’originalité et de la cohérence, de voir la France instaurer “une coopération plus suivie avec l’Organisation de la coopération islamique“ ! »

    Ce souhait est justifié ainsi : « “Avec un nombre aussi considérable de musulmans sur son territoire, la France gagnerait à mieux faire valoir ses positions auprès“ de l’OCI ! Elle pourrait ainsi, suggèrent les rapporteurs, demander à y participer avec le titre d’“observateur“, étape intermédiaire entre son statut actuel – elle y est seulement “invitée“ pour assister à certains travaux… – et celui de membre à part entière. La Russie et la Serbie y sont déjà “Etats observateurs“, comme la Bosnie-Herzégovine ou la République centrafricaine, alors pourquoi pas la France… »

    Précisons que la mission sénatoriale qui fait cette proposition était présidée par Corinne Féret, sénateur socialiste du Calvados, et que le rapport est cosigné par Nathalie Goulet, sénateur centriste de l’Orne, et André Reichardt, sénateur (LR) du Bas-Rhin, tendance juppéiste.

    http://fr.novopress.info/202452/france-va-t-rejoindre-organisation-de-cooperation-islamique/

  • Coup d'Etat en Turquie

    qui semble être couronné de succès à l'heure où nous écrivons, et dont le motif est le suivant.

    "Les Forces armées turques ont pris le pouvoir dans le pays pour rétablir l'ordre constitutionnel, la démocratie, les droits et les libertés de l'homme et la suprématie du droit dans le pays. Tous les accords et engagements internationaux de la Turquie restent en vigueur. Nous sommes persuadé que nous aurons des relations amicales avec tous les pays", est-il indiqué dans le communiqué du commandement".

    Paula Corbulon