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  • Paris dégage un fort parfum coréen du nord…

    Quelle conception incongrue de l’autorité a ce pouvoir, cet univers socialistes dans toutes ses facettes !

    Aujourd’hui, c’était la piétonnisation des voies sur berges. Le maire de Paris, seul contre tous, notamment l’instance consultative qui a émis un avis négatif, l’a décidée et la préfecture, toujours courageuse, l’a admise mais constatera ce que l’expérience a donné. Les Parisiens sont des cobayes.

    Anne Hidalgo ne reculera pas mais on n’avancera plus.

    Dimanche, si on voulait avoir le droit de circuler en voiture, il fallait le faire avant 11 heures et après 18 heures.

    Commode pour tous ceux qui avaient, par exemple, prévu de quitter Paris dans la matinée et de revenir tôt dans l’après-midi !
    La détestation des voitures pour lutter contre la pollution a beau apparaître comme une cause à la mode et en partie légitime, elle est dénaturée, dévoyée, dégradée quand elle tombe, pour être respectée, dans un totalitarisme qui, pour être parisien et prétendument progressiste, dégage cependant un fort parfum coréen du nord. Les moyens pervers altèrent les plus nobles finalités, à supposer qu’en l’occurrence elle soit telle.

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  • Le genre : ça n'existe pas mais ça a besoin d'argent

    Mercredi 28 septembre à 16h30, dans le cadre des travaux menés sur les études de genre, la Délégation aux droits des femmes organise une table ronde sur la budgétisation sensible au genre, avec :

    Cette audition sera retransmise en direct sur le portail vidéo de l'Assemblée.

    Le rapport d'information sur les études de genre sera présenté par Maud Olivier, lors de la réunion de la Délégation du mercredi 12 octobre à 16h15. 

    Michel Janva

  • Marseille : « La conférence d'Eric Zemmour a bien eu lieu malgré la polémique » (France 3)

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    Après avoir demandé en début d'année, par lettre au Ministre de l'Intérieur,  rien moins que l'interdiction de l'Action Française, les élus socialistes des Bouches du Rhône, s'étaient mis en tête ce mois-ci de solliciter auprès du Maire de Marseille, l'annulation de la réunion d'Eric Zemmour, prévue jeudi dernier 22 septembre, au château de La Buzine, le Château de ma mère de Marcel Pagnol. Il s'agissait pour Eric Zemmour d'y présenter son nouvel ouvrage « Un quinquennat pour rien ».

    C'est une sorte de manie ou d'addiction qu'ont contractée ces élus socialistes - eux-mêmes chargés de toutes sortes de suspicions, mises en examen, sanctions pénales, etc. Manie ou addiction qui consiste à tenter de faire interdire, priver de parole ou même d'existence, leurs opposants. Leurs déroutes électorales passées et sans-doute futures, leur discrédit quasi général dans la population, leurs permanences vides, la fonte massive de leurs effectifs, leurs militants évanouis, ne semblent pas éroder leurs peu démocratiques velléités d'interdictions.

    La Provence avait relayé leur campagne, avec ses propres manies et addictions. Comme dans le cas de Maurras et de quelques autres, on y parlera, sans vergogne, du « sulfureux » Zemmour ... C'est inévitable ! Sulfureux est un adjectif obligé.

    La gauche et l'extrême-gauche plus ou moins radicale avaient, comme de juste, menacé de contre-manifestations. Elles ne se sont pas produites ... 

    La conférence d'Eric Zemmour a bien eu lieu. La Provence a du titrer le lendemain qu'il avait fait recette : salle comble. Ce qui, pour une fois, était vrai. La Provence s'est mesquinement vengée en signalant à sa manière - tendancieuse - la présence des militants d'Action française : ils n'ont pas eu droit à « sulfureux ». Mais le journaliste chargé de couvrir l'événement a cru devoir noter - détail de substitution - qu'ils étaient « vêtus de sombre » ! On fait ce qu'on peut !

    Une vingtaine de militants d'A.F. ont, en effet, vendu l'Action Française 2000 à la fin de la réunion et ont amplement discuté avec les participants pour les convaincre que leur patriotisme, « aussi sincère soit-il », serait vain s'il demeurait républicain. Car « la volonté de conserver notre patrie française une fois posée comme postulat, tout s'enchaîne, tout se déduit d'un mouvement inéluctable. La fantaisie, le choix lui-même n'y ont plus de part : si vous avez résolu d'être patriote, vous serez obligatoirement royaliste. […] La raison le veut. »

    Cette affirmation politique est de Charles Maurras. Elle est rappelée sur la page Facebook d'Action Française Provence*.  LFAR  

    Page Facebook d'Action Française Provence

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Harkis , Pieds Noirs, mémoire et vérités…

    gollnisch-collage-harkis-384x200.jpgLes périodes électorales sont propices aux repentirs, aux demandes d’excuse et de pardon de la part de ceux qui quémandent les votes de telle ou telle communauté.  Samedi, tout à sa campagne visant à se calquer sur les positions du FN, Nicolas Sarkozy, en meeting à Perpignan (Pyrénées-Orientales), a rendu un hommage « aux Harkis » qui eux aussi, avaient « pour ancêtres les Gaulois »  et dont « le drame  est celui de toute la France (…). Une tâche de sang indélébile reste sur notre drapeau ». « A travers les Harkis, c’est tout notre roman national qui s’écrit : celui des femmes et des hommes du monde entier qui ont adopté la France, ses valeurs, sa Nation. Parmi eux, une place privilégiée est faite aux Français musulmans morts pour notre liberté et notre drapeau ». Un discours précédant  celui de François Hollande qui, hier aux Invalides, au cours  de la Journée nationale d’hommage aux Harkis, a reconnu officiellement et solennellement pour la première fois « les responsabilités » de la France dans « l’abandon » des Harkis  (qui) ne fut jamais pleinement reconnu par la République », « les massacres de ceux restés en Algérie et les conditions d’accueil inhumaines de ceux transférés en France ». Il faut rappeler que cette  reconnaissance de cette  « vérité implacable » et  » cruelle »   était une des promesses de campagne du président de la République.

    Ce n’est pas si lointain,  lors de sa visite à Alger en décembre 2010, le candidat Hollande  avait laissé entendre que la France  devrait faire des excuses à l’Algérie pour les 132 ans de présence française. Il avait condamné l’infâme colonisation…mais était resté muet sur les crimes dont furent victimes des dizaines de milliers de Harkis et Pieds Noirs. Alors il faut relever cette (timide) évolution même si  il faudrait être naïf pour ne pas voir ce que ce mea culpa cache comme  cynique calcul clientéliste, là ou le FN, a toujours  défendu depuis 1972 la mémoire, l’honneur,  les revendications morales et matérielles des Harkis. Et ce,  à une époque où au mieux tout le monde s ‘en foutait, au pire ou ils étaient insultés et méprisés,  parqués en France  dans des camps, incarnation de la mauvaise conscience des gaullistes, des socialistes, des communistes

     Hacène Arfi, à la tête  de l’association Coordination harka,  qui s’occupe notamment  des vieux Harkis,  a fait part de sa  déception au micro d‘Europe 1 à la suite de l’intervention de M Hollande: « Je suis déçu. On s’attendait à un geste plus fort que ça », « si le président veut vraiment porter une reconnaissance envers les Harkis, c’est à travers une loi. Cette loi serait la reconnaissance de la nation, et il y aurait une réparation matérielle. »  Jean-Marie Le Pen, alors tout jeune  député,    quitta son siège à l’Assemblée pour venir au secours de nos compatriotes d’Algérie et le FN n’a pas varié dans sa demande d’une juste réparation.  Lors de la précédente présidentielle,  Marine fut la seule candidate – avec Jean-Marc Governatori, le candidat de l’Alliance écologiste indépendante -  à signer la convention Candidat-Rapatriés, reconnaissant le « crime d’Etat »  commis contre les Pieds Noirs et les Harkis.

    En novembre 2013 Hacène Arfi avait renvoyé sa médaille de l’Ordre national du Mérite à François Hollande pour dénoncer, comme le firent de nouveau  le Front National, les associations Harkis et  de Pieds Noirs,  le texte de loi adopté par le Parlement, faisant des Accords d’Evian  du 19 mars 1962 une Journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie.

    C’est pourtant à cette date,  que débutèrent  les massacres de masse, tortures, enlèvements et viols perpétrés par le FLN. Une date célébrée toute honte bue par  la très grande majorité des municipalités  socialo-communistes et  de droite, du moins dans les communes ou  les rapatriés d’Algérie, leurs enfants et petits-enfants ne pèsent pas électoralement parlant…  Hacène Arfi en a témoigné dans l’Express en mai 1997;   il se souvenait  alors, tout jeune enfant  en Algérie,   de ce terrible  été 62, « l’odeur des cadavres de harkis en putréfaction, exposés dans des cages de bois sur la place du village, supplétifs de l’armée française désarmés par leurs frères d’armes et livrés aux ennemis d’hier, torturés, égorgés, émasculés, brûlés vifs, massacrés après les accords d’Evian », ce 19 mars », de cet enfant égorgé sur une table par les bouchers du FLN  que sa mère essayait de lui cacher…

    Bruno Gollnisch n’a eu cesse de le répéter  également, « loin de réconcilier les mémoires, le 19 mars est une date qui les divise et ravive les plaies profondes d’une page douloureuse de l’histoire récente de la France. Par respect pour ces victimes et leurs familles encore en vie aujourd’hui, la Nation ne peut et ne doit se rassembler en ce jour anniversaire ».

    Dans L’Action Française  il y a quinze jours, Bernard Coll, Secrétaire général de Jeune Pied Noir, a affirmé que les accords d’Evian  « n’avaient pour seul objectif que de permettre au général De Gaulle de disposer d’un cadre politique et juridique lui permettant de se débarrasser au plus vite du boulet algérien. Et cela, quelles qu’en soient les conséquences humaines pour les Français d’Algérie de toutes origines. Le  mensonge français  dénoncé en 2003 par Georges-Marc Benamou dans son ouvrage n’est, semble-t-il, pas prêt de cesser tant que l’Etat français est tenu par le FLN par le pacte du 19 mars 1962 scellé par le sang de 100.000 Harkis et de milliers de Pieds Noirs et soldats français sacrifiés à la décision du général De Gaulle (…).  G-M Benamou a pu déclarer dans Paris-Match :  La France a jeté les Harkis dans les basses-fosses de l’Histoire. Il y a eu 80.000 harkis morts. Paris a systématiquement entravé leur sauvetage. De Gaulle est bel est bien le complice d’un crime contre l’Humanité ». La Ligue des Droits de l’Homme vient même d’organiser un colloque international à Paris sur le thème :  La tragédie des Harkis : un crime contre l’Humanité ?. Il est donc possible, comme le fait Jeune Pied Noir depuis 1990, d’accuser publiquement le général De Gaulle du pire des crimes, celui de  crime contre l’Humanité, sans être poursuivi en justice par sa famille, ses proches ou les défenseurs de sa mémoire. C’est parce que, tout simplement, cela est désormais incontestable ».

    M. Coll rappelle  également les articles du professeur Maurice Allais, prix Nobel d’économie, puis, en juillet 1962, de son ouvrage L’Algérie d’Evian », qui « fut la première des grandes personnalités françaises à avoir compris que les « Accords d’Evian » étaient des accords fictifs conduisant au génocide le mot est de lui, programmé des Français d’Algérie. Ce qui rend encore plus forte la démonstration scientifique et juridique du professeur Allais c’est qu’il n’était pas partisan de l’Algérie française. Mais simplement un homme juste, horrifié par les conséquences prévisibles des accords d’Evian. Des conséquences d’ailleurs annoncées par le général De Gaulle lui-même dans sa conférence de presse du 23 octobre 1958 :  Quelle hécatombe connaîtrait l’Algérie si nous étions assez stupides et assez lâches pour l’abandonner.  C’est pourtant ce qu’il fit. Les preuves ressortent aussi lors des procès des généraux qui se révoltèrent contre le parjure du Chef de l’Etat, notamment ceux des généraux Salan, Challe, Zeller et Jouhaud, comme lors du procès du colonel Bastien-Thiry et des autres officiers fidèles à leurs engagements. D’autre part, les écrits de Georges Bidault ou de Jacques Soustelle comme les déclarations du Bachaga Boualam à l’Assemblée nationale, ou celles du maréchal Juin à la presse avaient largement informés l’opinion française dès 1962. Car, ce qui peut paraître paradoxal, malgré la censure de l’époque, la grande presse était alors plus libre qu’aujourd’hui. Ou, peut-être, certains journalistes étaient-ils plus courageux ? »

    Les raisons de cette baisse de la  liberté et du courage sont connues… nous aurons certainement l’occasion d’en reparler, et de  la vérifier de nouveau  au cours de la campagne présidentielle…

    http://gollnisch.com/2016/09/26/harkis-pieds-noirs-memoire-verites/

  • Chronique de livre : Laurent Obertone "Guerilla"

    1034219532.jpgObertone connait la France. Ses rouages, ses ressorts secrets. Il sait que tout cela est potentiellement déjà mort, que la structure est branchée sur respirateur artificiel et que « l’incident » qui tranchera les câbles peut survenir à tout instant.

    Obertone imagine et montre.

    Il imagine le scénario du pire et le pousse à son paroxysme. Ainsi, l’effondrement de la structure France qu’il dépeint se fait en trois jours. Trois jours entre notre situation actuelle et l’univers de Mad Max. Et oui, Laurent Obertone n’y va pas avec le dos de la cuillère!

    Certains verront là une forme d’outrance et une dimension « irréaliste ». Mais là n’est pas le fond de l’ouvrage. Ce livre est le récit du « collapse » du système, de sa faillite à tous niveaux. Certes. Mais là n’est pas l’essentiel.

    Car Guerilla, plus que l’histoire de l’effondrement, est plutôt le récit de la dépression occidentale, de la xénophilie à outrance, de l’ethnomasochisme total. Guerilla est un constat froid et résolument implacable sur l’état de notre société. Et surtout sur l’état de la psyché de « l’homme blanc » contemporain. De ses manies, de ses tares.

    Obertone, par ce texte fort et acéré, prononce une accusation. Une accusation lourde et remuante. Pour formuler son réquisitoire, l’auteur se contente de montrer. Le livre bien qu’œuvre de fiction, et offrant au lecteur des revirements parfois surprenants, parle surtout du réel… Et le constat qu’il en tire est terrifiant.

    Dans ce livre vous ne trouverez pas de héros, ou peut-être quelques rares figures attachantes mais résolument désenchantées, lucides. Trop lucides... Les personnages que l’auteur décrit avec une grande acuité sont, pour la plupart, atteints d’une forme de peste intérieure. Cette peste est incurable et nombre des protagonistes que vous rencontrerez à travers les quelques 400 pages du texte en crèveront… Et de manières peu réjouissantes.

    Dépressifs s’abstenir… Ce texte vous collera au cerveau pendant plusieurs semaines. Et les lueurs d’espérance n'y sont guère nombreuses.

    Guerilla est aussi le récit de l’ultra-violence, du déchaînement absolu. Du ré-ensauvagement brutal des villes et des campagnes de l’Hexagone. De la livraison des cités de France aux barbares. D’ailleurs, l’auteur brille par ses descriptions. Il dévoile la violence totale. Pas de fard ni d’entourloupe. Toutefois, à aucun moment nous ne tombons dans le gore et l’outrance. Cela est un beau tour de force.

    Vous trouverez aussi quelques passages truculents, car le chaos absolu que décrit ce livre peut être le prétexte à une forme d’humour. Un humour sombre : le meilleur.

    Le récit est aisé à lire. Le style est clair, net. Les paragraphes sont courts et accompagnent les respirations du lecteur. Les amateurs de « punchlines » seront satisfaits.

    Guerilla est à mettre dans toutes les mains. Certains se diront mal à l’aise en le lisant. D’autres y verront une prophétie. Parfois on vous hurlera dessus, on vous accusera de faire de la sinistrose et d’être un fasciste primaire. Il s’agit incontestablement de très bonnes raisons de l’acquérir et de le lire. Et surtout de l’offrir sur un ton narquois en affirmant : « Tiens, voici la France qui vient. Tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas ».

    Jacques Thomas / C.N.C.

     

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • « Le mal que la gauche fait aux femmes »

    C'était l'un des sujets abordée lors du forum sur l'union des droites à Orange, ce week end, avec Gabrielle Cluzel et Cécile Edel :

    6a00d83451619c69e201b8d2210558970c-200wi.jpg" « Le mal que la gauche fait aux femmes » : un sujet d’actualité, à l’heure où Laurence Rossignol, ministre de la Famille, s’emploie à clore tous les sites apportant une vision alternative sur l’avortement. « Le gouvernement continue à cibler l’enfant à naître », indique Cécile Edel. La Présidente de Choisir la Vie côtoie chaque jour cette problématique : car l’enfant à naître, c’est pour la gauche « l’ennemi public numéro un », affirme-t-elle courageusementRésolues, ses combattantes pour la préservation de la vie le savent : l’affrontement est devenu incontournable. Car en s’attaquant aux familles, à cet écrin de l’intimité de chacun, c’est à la nature de la Civilisation que s’en prend la gauche. Et désormais, « personne ne peut faire l’économie de cette question : jusqu’où je suis prêt à aller pour défendre ce en quoi je crois? », souligne hardiment Béatrice Bourges. Acquiescement, du côté de l’élue de la Ligue du Sud Marie-Claude Bompard, qui fait les frais de la cohérence de son combat pour la préservation du mariage naturel : on salue, dans la salle, la désobéissance civile du Maire de Bollène qui, refusant de célébrer l’union de deux personnes du même sexe, se voit désormais l’objet des attaques des groupes de pression homosexuels

    Michel Janva

  • Un responsable FN du Var voudrait l’interdiction du parti Civitas

    L’arrivée de Civitas sur l’échiquier politique suscite bien des remous parmi les milieux laïcistes, gauchistes et LGBT. Rien de surprenant.

    Mais au milieu des tweets hostiles à Civitas, l’un d’eux attire l’attention : il émane d’un responsable du Front National qui ne voudrait rien moins que l’interdiction du parti Civitas. 

    Sébastien Ausserre aurait-il peur de l’arrivée d’un potentiel concurrent politique ? Celui qui se présente sur Twitter comme « 1er Vice-Président de La Seyne Dynamique. Candidat aux élections régionales en 2015 sur la liste de   » ne doit pas être un ami des catholiques. Pas le genre à œuvrer à l’unité des patriotes. Sébastien Ausserre militait jusqu’en 2015 à l’UMP et est l’ancien responsable des Jeunes de la Droite Populaire du Var.

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