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  • FOCUS - JT TV Libertés "Uber connait un ralentissement de son activité...en cause le Ramadan"

  • Ils veulent moraliser ? Chiche ! Qu'ils démissionnent !

    Un proverbe des pays chauds dit que, quand le singe veut monter au cocotier, il faut qu'il ait les fesses propres...

    Qu'est-ce qu'il lui a pris, à Macron, de vouloir, d'un coup, comme ça, mettre « du blanc », de la morale, de la pureté partout ? Certes, on sortait du désastreux quinquennium horribile du non moins désastreux Hollande ; certes il y avait eu Thévenoud et Cahuzac ; certes il y avait eu tout le reste... Alors, oui, on pouvait, et il fallait, promettre qu'on ferait tout pour faire moins pire (ce qui, là, n'était vraiment pas difficile, et n'aurait pas demandé beaucoup d'efforts). Mais, de là à promettre la lune ! De là à se lier soi-même les mains en faisant une promesse par nature impossible à tenir - tous, toujours et partout irréprochables - il y a un pas ! Comment Macron, qui est tout sauf stupide, n'a-t-il pas vu que la démagogie de sa promesse insensée ne pourrait que lui revenir en pleine figure, tôt ou tard ? Ce fut tôt, plus que tard, et beaucoup plus tôt que prévu. Et cela fait d'autant plus mal que la promesse avait fait son petit effet.

    Résumons-nous, du moins pour l'instant, parce que, comme on dit familièrement, « ça pleut ! », et il faut suivre ! A chaque jour, son lot de révélation(s)...

    1. Véronique Avril aime-t-elle les poissons du même nom ? Si oui, ce qu'on hésite à appeler le sien est de très mauvais goût... Candidate de La République en marche pour les élections législatives à Saint-Denis (2ème circonscription), elle a mis en location un appartement dans un immeuble insalubre, durant cinq ans. Et qu'on ne dise pas qu'il s'agit d'un oubli de l'instant : l'immeuble, de 23 m², dans le centre de Saint-Denis, a été acheté en 2011, alors même que, insalubre, il était déjà classé en état de « péril imminent » à la suite d'arrêtés pris en 2004 et 2008 ! Largement le temps pour une dame, même distraite, de se rendre compte de la situation ! Ah, on allait oublier : Véronique Avril osait louer ce taudis à une famille de 5 personnes, pour 650 euros par mois !

    C'est beau, le respect de l'autre, l'amour du genre humain ! Enfin, ne tombons pas dans la simplification, toute la gauche n'est pas comme ça...

    Le parti d'Emmanuel Macron a précisé lundi soir avoir saisi le « comité d’éthique » pour examiner l'affaire concernant Véronique Avril. Mais l'annonce de la composition du gouvernement n'avait-elle pas été reportée d'un jour pour, précisément, « tout vérifier » ? Quand le grotesque le dispute à l'amateurisme, à ce point, c'en devient inquiétant... 

    2. Et Richard Ferrand ? C'est fou comme il ressemble de plus en plus, et de plus en plus vite, à François Fillon : mêmes mots, même défense (?), même crispation dérisoire et arrogante, même appel au « peuple souverain » qui, lui, décidera par son vote ! Finalement, pour lui aussi - qui avait pourtant été l'un des promoteurs les plus ardents du « laver plus blanc » - la Justice, c'est pour les autres !... On revit le proche passé, pénible pour tous, du candidat LR, et on se dit que, finalement, l'expérience des uns ne sert pas aux autres.

    L'enrichissement personnel, pas évoqué au début de « l’affaire », l'est maintenant ouvertement. Soyons clair : Ferrand, l'enferré dans sa sale affaire, n'a qu'une chose à faire : démissionner ! 

    3. Et Sarnez, la comparse de Bayrou, le dernier des Caïmans ? On sait que, Macron étant d'accord - démagogie pré-électorale oblige ! - c'est Bayrou qui a formulé le premier ce projet de « moralisation de la vie publique ». Lui qui a contribué à faire élire Hollande, d'abord, Macron, ensuite, mais qui s'est fait élire, entre les deux, maire de Pau par ce qu'on appelle « la droite » ! Et qui ira bientôt au Tribunal pour avoir insulté une association, mais, là, c'est une autre affaire, dont nous parlerons une autre fois...

    Bayrou se pourléchait les babines du cas Ferrand parce qu'il le déteste : Ferrand avait osé conseiller à Macron de refuser de céder aux exigences exorbitantes de Bayrou en matière de circonscriptions gagnables pour le Modem. Du coup, Bayrou se gardait bien de dire quoi que ce soit : il a « perdu sa langue », écrivions-nous récemment. Oui, mais le voilà rattrapé par l'affaire de sa comparse Sarnez, qui - d'ailleurs - n'a rien fait d'autre que de faire comme tout le monde. Mais voilà, comme nous le disions plus haut, à partir du moment où l'on a promis qu'on allait tout changer, et qu'on allait voir ce qu'on allait voir... eh ! bien, on voit ! Sarnez ne fait pas pire que les autres, pire, elle fait comme les autres; et pas mieux...

    Là aussi, une seule solution : la démission, pour la donneuse de leçon !

    Ne restent plus que Bayrou et Macron, dans ce qui ressemble à la comptine des Dix petits nègres d'Agatha Christie, mais divisée par deux. 

    Pour ce qui est de Bayrou, rien ne le pousse à démissionner, certes, mais on le voit très mal, maintenant, présenter bientôt, sans éclater de rire, ou sans que quelqu'un (ou quelques-uns) le fasse dans le public, son projet de moralisation de la vie politique...

    Quant à Macron, il est maintenant protégé pour cinq ans par l'immunité attachée à sa fonction. Mais Jean-Philippe Delsol a expliqué, avec beaucoup de clarté et de pédagogie (de concision aussi : en 8'13") que Macron était passible d'une sanction d'interdiction d'exercer une fonction publique∗.

    Pourquoi ?

    Parce que, ayant gagné beaucoup d'argent lorsqu'il était à la Banque Rothschild, il a déclaré avoir employé une grosse part de cet argent pour réaliser des travaux dans l'appartement de sa femme : on vous laisse découvrir l'affaire avec Jean-Philippe Delsol... 

    En somme, à côté du dernier des caïmans se cache un gros lézard. Et ce quinquennat, qui avait promis en fanfare de tout changer, commence à peine : ça promet ! 

    Lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Vers un « impeachment » à la française ?  [20.05.2017]

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Vladimir Poutine répond à un journaliste sur sa relation avec Marine Le Pen.

  • En direct du Bastion social à Lyon

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    Ce vendredi soir, pendant que l'extrême gauche, montrant son vrai visage de supplétive du capital, manifeste sa haine dans le centre de la ville contre le Bastion social, les militants patriotes occupent depuis une semaine l'immeuble où ils vont installer des familles de Français en difficulté...

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    Amis et camarades de la région lyonnaise, sans aucune hésitation, soutenez le Bastion social.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Eléonore Bez (FN) : « En ce moment, Marseille vit à l’heure du ramadan »

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    8874-20170603.jpgEleonore Bez est candidate FN aux élections législatives dans la 6e circonscription des Bouches-du-Rhône, qui comprend le 9e et une partie du 10e arrondissement de Marseille. Oui, l’immigration a transformé le visage de sa ville. « Si ce n’est pas un remplacement, en tout cas, ça y ressemble », confie dans cet entretien au quotidien Présent celle qui est aussi conseiller régional de Paca, alors que Marseille vit à l’heure… du ramadan.

    — Vous avez grandi à Marseille, votre 6e circonscription des Bouches-du-Rhône s’étend de Mazargues aux Calanques en passant par les Baumettes, qu’est-ce que l’âme de Marseille que vous affirmez défendre et vouloir préserver ?

    — Je suis née à Paris et arrivée à Marseille à l’âge de sept mois. Marseille est ma ville et celle de ma famille maternelle depuis des générations. Une partie de ma famille est enterrée au cimetière de Mazargues. Pratiquement, chaque quartier, que l’on appelle ici « noyaux villageois », porte le nom d’un saint et a son église. Marseille est une ville avec une histoire des plus riches : grecque, romaine, ligure, provençale et profondément française. C’est aussi le premier port où sont arrivés nos compatriotes pieds-noirs et harkis qui ont été si indignement et ignoblement accueillis par Gaston Deferre après l’infâme trahison des Accords d’Evian.

    La vraie richesse c’est sa terre et ma terre c’est Marseille. Je me battrai pour préserver cet extraordinaire patrimoine des politiques mondialistes qui ont tant abîmé notre pays et notre ville, véritable laboratoire des politiques d’immigration massive depuis 40 ans.

    Eleonore-Bez-Affiches-300x225.jpg— Quelles sont les problématiques sur lesquelles vous avez axé votre campagne ?

    — Depuis près d’un an, j’arpente la circonscription et j’assiste aux Comités d’intérêt de quartiers à l’écoute des habitantes et des habitants : les commerces qui ferment les uns après les autres au profit des grands supermarchés sans âme, les villages qui deviennent de simples voies de passage vers les différentes autoroutes, l’insécurité et le communautarisme.

    Je vais prendre l’exemple qui est le plus frappant : le quartier de la Capelette que j’ai connu enfant et qui était un quartier populaire, tranquille. Aujourd’hui ce quartier vit au rythme de la mosquée qui est une des plus grandes de la ville et qui risque d’être encore agrandie au vu de l’affluence. Chaque vendredi les rues sont bloquées par des « vigiles » de la mosquée qui empêchent le stationnement des riverains.

    Tous les commerces traditionnels ont été remplacés par des commerces communautaristes, des alimentations de nuit et des bars à « chichas » dont chacun sait que la plupart sont des « blanchisseries » pour laver l’argent des trafics des cités de la ville.

    Les habitants que j’ai rencontrés m’ont tous confié leur exaspération devant cette situation. La pratique de l’islam lorsqu’elle est respectueuse des lois de la République et de la laïcité est bien évidemment possible mais aujourd’hui elle apparaît trop souvent utilisée à des fins idéologiques, politiques à l’encontre de la laïcité républicaine.

    J’ai essentiellement axé ma campagne sur la lutte contre l’insécurité qui détruit la vie de nos quartiers, nous proposons de réarmer physiquement et moralement les effectifs de police. Nous avons dans la circonscription une cité où les forces de l’ordre ne rentrent pas, c’est La Cayolle dans le IXe arrondissement et le commissariat de cet arrondissement est fermé le soir et le week-end ! Je me bats aussi pour la protection des artisans, des commerçants, des TPE-PME contre la fiscalité confiscatoire de Macron. Pour la défense de nos retraités, nombreux dans les IXe et Xe arrondissements, pour lesquels il faut revaloriser le minimum vieillesse et supprimer la CSG. La lutte contre le communautarisme est fondamentale parce que la seule communauté qui assimile et qui est garante de l’unité de la France, c’est la communauté nationale.

    Pour cela, il est essentiel de réapprendre à nos compatriotes l’amour de la France et le respect de son histoire. Et cela passe, par exemple, par ne plus jamais permettre que l’on insulte comme l’a fait Emmanuel Macron les harkis et les pieds-noirs qui ont tout donné pour leur pays. Je les rencontre régulièrement. Ma directrice de campagne qui habite dans cette circonscription est pied-noir.

    — Vous avez vu changer et même remplacer la population de cette ville et de sa périphérie, vous avez suivi les étapes de son islamisation. Que peut faire un député de plus contre les homicides, le trafic de drogue, le communautarisme, les mosquées salafistes ?

    — Oui, la population a changé comme dans beaucoup de grandes villes de France et si je ne suis pas une adepte des grandes théories, je vis ma ville chaque jour : si ce n’est pas un remplacement, en tout cas, cela y ressemble beaucoup.

    L’islamisation de la ville est un fait. En ce moment, Marseille vit à l’heure du ramadan.

    Le désespoir est une sottise en politique, il n’est jamais trop tard pour proposer à tous les Marseillais qui aiment la France de la défendre. 240 morts en France au nom d’une idéologie religieuse meurtrière : déposer des bougies et des fleurs c’est gentil mais ça ne sert à rien. Lutter contre le laxisme judiciaire, faire appliquer la loi tout simplement, c’est ça aussi le travail du député. C’est pour cela que nous devons former un groupe à l’Assemblée. Le Front national avec Marine Le Pen est le seul parti d’opposition crédible face au gouvernement Macron.

    — Qui sera votre plus redoutable adversaire ici ? Le candidat sortant LR Guy Teissier en place depuis 30 ans, l’abstention, le candidat de Mélenchon, ou l’état de grâce de Macron ?

    — Mélenchon, Les Républicains et En marche ne sont pas crédibles. Pris un à un, ils représentent très peu d’électeurs. Quant au candidat Guy Teissier, on le distingue mal désormais de son adversaire d’En Marche : il a soutenu Fillon qui a appelé à voter Macron sans même attendre 20 h 15 le 23 avril. Il distribue le programme de Baroin qui drague Macron, il soutient la majorité Muselier-Estrosi à la Région et c’est de cette majorité qu’est issue Mme Leprettre, qui est candidate En Marche… Guy Teissier meurt de peur de perdre ses dernières prébendes et essaie de sauver son 6e mandat ! Pour un homme qui dans sa jeunesse a été au PFN, il se serait grandi en se positionnant clairement en faveur de Marine Le Pen mais il a définitivement claqué la porte à ses convictions préférant ses dernières ambitions.

    C’est à cause de ces escroqueries politiques et morales que beaucoup d’électeurs sont las d’aller aux urnes, voyant chaque fois leurs espoirs trahis. Mon principal adversaire c’est l’anti-France. C’est pour cela que j’appelle chaque électrice et électeur de cette 6e circonscription à me choisir, à choisir le Front national, à choisir la France.

    propos recueillis par Caroline Parmentier

    Entretien paru dans Présent daté du 3 juin 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Un groupe FN à l’assemblée?

    La République En Marche, le  gouvernement,  le Premier Ministre Edouard Philippe, en plein accord bien évidemment avec le président de la République,  font bloc derrière Richard Ferrand. Le ministre de la cohésion des territoires -voir notre article publié hier-  est empêtré dans l’affaire dite des Mutuelles de Bretagne qui apporte chaque jour comme ce fut le cas dans l’affaire Fillon, son lot de révélations embarrassantes. Même si les agissements de M. Ferrand n’étaient pas, stricto sensu et a priori, répréhensibles sur le plan pénal, ils jettent une tâche, un discrédit sur les promesses de Emmanuel  Macron de privilégier une certaine éthique, d’en finir avec les vieilles combines, les vieilles pratiques de la confusion des genres dont les Français ne veulent plus.

    Cet acharnement d’Emmanuel Macron à ne pas lâcher Richard Ferrand peut peut-être s’expliquer par la volonté de ne pas châtier un soutien de la première heure de sa campagne, par une volonté de ne pas plier devant une campagne médiatique, mais sur un plan plus politique et comptable elle est moins évidente. Tous les observateurs le savent, les révélations du Canard Enchaîné et d’autres organes de presse sur cette affaire Ferrand instillent le doute dans l’esprit de certains électeurs tentés par le vote en faveur de La République en Marche (LREM). Une baisse de seulement un ou deux points dans les urnes  peut priver le 18 juin le parti du président de 30 à 50 députés, de la majorité absolue à l’Assemblée que lui promettent les sondages. Une démission de M. Ferrand aurait le mérite de la clarté…

    Les dernières enquêtes créditent ainsi les candidats de LREM de 29 à 31% des voix ( 320 à 350 députés dans l’hypothèse haute de cette fourchette, soit la majorité absolue), le FN et LR de 17 à 20%, la France Insoumise (FI) de 11 à 14%, le PS de de 6 à 9%. La réalité de ce Système soudé par des intérêts communs et une même volonté de rester dans l’entre-soi, un même rejet des idées nationales dont il faut étouffer l’expression, apparaît clairement à la lecture de la projection établie du nombre de sièges au prorata des pourcentages recueillis.  BFMTV qui fait état du  sondage Kantar Sofres-Onepoint pour RTL, Le Figaro et LCI indique ainsi qu’outre les 320 à 350 députés LREM-MoDem qui, en toute hypothèse,  gagneraient les travées de l’Assemblée en juin avec un score de 31%; l’attelage LR-UDI capterait 140 à 155 sièges avec 18%, FI 20 à 30 parlementaires avec 12% d’intentions de votes (avec l’appui des 2% du PC), le PS 40 à 50 députés avec 8% des voix…et le FN seulement 10 à 15 députés s’il rassemblait 17% des suffrages.

    Cet écart constaté entre le pourcentage et le nombre de députés pour le FN par rapport aux autres formations trouve principalement sa source dans les accords  de désistements  réciproques des partis sociaux-libéraux, sociaux-démocrates, euromondialistes pour faire barrage au FN. Le fameux front ripoublicain réactivé officiellement par François Baroin qui a mis fin à la parenthèse du ni-ni (ni FN, ni PS) instituée en leur temps à l’UMP par Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy.

    Cette collusion LR-LREM (et PS) a au moins le mérite de la clarté, note Bruno Gollnisch,  puisque les différences programmatiques entre les deux partis ont  l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette, ce que confirme l’arrivée au gouvernement à des postes clés de transfuges de la droite libérale. Les cadres de LR se réclamant de la droite de conviction, patriote, gaullo-identitaire, sommés une nouvelle fois de manger leur chapeau en tireront-ils (enfin) les conclusions qui s’imposent?

    En attendant ce vœu de front antinational en cas de victoire possible du FN exprimé par François Baroin et une large partie des instances de LR, répondant à la demande formulée officiellement en premier par le juppéiste Gilles Boyer,  a été salué par le premier secrétaire du  PS, Jean-Christophe Cambadélis,  et le porte-parole du gouvernement,  Christophe Castaner.

    Hier, M. Castaner a confirmé sur LCI l’accord LR-LREM-PS: « Partout où le candidat de La République en marche (LREM), en se maintenant (au second tour, NDLR) ferait prendre le risque d’une élection du Front National, partout nous retirerons notre candidat, et partout où le maintien du candidat nous permettra d’empêcher cette élection, nous nous maintiendrons». Ce deal permettrait aussi de comprendre en quoi l’affaire Ferrand n’est pas considérée comme prioritaire par le président de la République, assuré quoi qu’il en soit d’obtenir la majorité qu’il souhaite pour mener sa politique…

    « LR n’est pas un parti d’opposition à Emmanuel Macron, c’est un strapontin à la majorité présidentielle » a justement constaté Marine Le Pen. Autant dire que nos compatriotes ont tout intérêt à ne pas bouder les urnes en juin pour s’assurer d’un indispensable contrepoids à la pensée unique libérale-libertaire, immigrationniste qui selon les projections des instituts de sondages entend régner en maître à l’Assemblée. La création d’un groupe FN est dans cette optique un objectif majeur, groupe que le FN n’a jamais été en mesure de constituer depuis l’élection de 35 députés à la proportionnelle en 1986. La présence frontiste  au scrutin uninominal n’a été assurée depuis ce laps de temps que par les regrettées Yann Piat (d’ailleurs en rupture de ban avec le FN) en 1988, Marie-France Stirbois en 1989 et, dans la dernière législature,  par Marion Maréchal et l’apparenté FN Gilbert Collard. La balle est dans le camp de l’électorat patriote,  à nous tous de ne pas manquer le but.

    https://gollnisch.com/2017/05/31/un-groupe-fn-lassemblee/

  • L'ÉVÉNEMENT ARTISTIQUE NON CONFORMISTE DE LA SEMAINE : LE NOUVEAU CD DES BRIGANDES

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  • La Manif Pour Tous porte plainte contre Act Up

    Une nouvelle fois, des militants extrémistes ont fait preuve de haine et de violence envers la Manif Pour Tous et sa Présidente, qualifiés d’« assassins », de « complices du Sida », d’« homophobes », « lesbophobes », « transphobes »… Ces activistes ont tenté d’empêcher une réunion publique de l’association La Manif pour Tous, portant ainsi une grave atteinte à la liberté d’expression. La Manif Pour Tous porte plainte pour injures publiques.

    Act Up a cherché à impressionner le public pour empêcher la tenue de cette réunion et a saccagé les lieux : pendant plusieurs heures, cris, invectives, dégradations (dégradations des accès et des lieux, jet de faux sang…), affiches et banderoles injurieuses… ont contraint la Manif pour Tous à tenir sa réunion dans un autre lieu. Dans la soirée, l’association Act Up Sud Ouest a revendiqué cette action et diffusé visuels et vidéos sur les réseaux sociaux, suscitant des réactions très négatives des internautes. La haine et la violence qui transpiraient de cette action ont considérablement choqué les témoins, participants et passants.

    La Manif pour Tous rappelle que l’ex-Présidente d’Act Up a déjà été condamnée par la Cour d’Appel de Paris pour « injures publiques » à l’encontre de La Manif Pour Tous.

    Contrairement aux hystériques d'Act Up, les militants pour la famille restent calmes, fermes et sympathiques :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Macron, patron de la presse aux ordres

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    Le Président est descendu dans l’arène pour affirmer, façon Kim Jong-un, que désormais, c’est lui qui décidera qui raconte ou pas des sornettes.

    Le sommet de Versailles fera date dans l’histoire du journalisme. On y a vu un Président tout juste élu devenir président de la commission d’attribution de la carte de presse et décider, souverainement, comme le roi des médias qu’il est devenu, qui pouvait être ou ne pas être journaliste.

    Répondant à la question d’un journaliste de Russia Today France qui s’étonnait que ses journalistes aient été systématiquement refoulés de son quartier général de campagne, François Macron, devant un Poutine impassible, a répondu majestueusement, comme cela va être son habitude :

    « Quand des organes de presse répandent des contre-vérités infamantes, ce ne sont plus des journalistes. Ce sont des organes d’influence. Russia Today et Sputnik ont été des organes d’influence durant cette campagne qui ont, à plusieurs reprises, produit des contre-vérités sur ma personne et ma campagne. »

    (Notez, au passage, qu’il parle de « Sa Personne » comme un Louis XIV aurait pu le faire, se sentant sans doute chez lui dans ce somptueux salon des Batailles.)

    Puis, confirmant qu’il leur avait interdit l’accès à son QG, Emmanuel Macron a poursuivi : « Des contre-vérités graves ont été répandues par RT et Sputnik dans le cadre d’une campagne démocratique, et à cela, je ne céderai rien », a-t-il souligné en fronçant son sourcil droit.

    Ainsi, donc, devant la presse internationale, le Président est descendu dans l’arène pour affirmer, façon Kim Jong-un, que désormais, c’est lui qui décidera qui raconte ou pas des sornettes et qui, en conséquence, pourra ou ne pourra pas recevoir sa carte de presse tricolore.

    Notre jeune Président manque de mémoire ou de reconnaissance, ou des deux, car comment est-il parvenu aussi rapidement à l’Élysée, si ce n’est avec l’aide des organes d’influence que sont l’ensemble des médias et des journalistes « professionnels », comme il les désigne ? Si le candidat d’En Marche ! n’avait pas fait des centaines de couvertures, des titres flatteurs comme jamais, des éditoriaux dithyrambiques, comment aurait-il pu influencer le jugement de millions d’électeurs, convaincus par les arguments de ces « agents d’influence » que nos journalistes sont devenus dans ce monde de l’instantanéité de l’information ?

    Margarita Simonian, rédactrice en chef de RT, a répondu : « Selon la logique du Président Macron, il faut chasser de Russie tous les médias occidentaux qui sont toujours contre Poutine et cherchent ainsi à intervenir dans nos élections. » De son côté, la twittosphère s’est empressée de réagir aux propos de Versailles et la plupart des internautes ont souligné que « c’est l’hôpital qui se fout de la charité », d’autres ont trouvé les propos présidentiels très courageux. Des propos qui montrent, lorsque vous revoyez la séquence, un Président dont le visage n’arrêtait pas de passer d’une expression à une autre, des yeux qui roulaient dans leur orbite, le tout accompagné d’une gestuelle d’affirmation sans complexe. « C’est pas tous les jours qu’on ose dire devant Poutine des choses qui lui déplaisent », tweete le pseudo Emmanuel Foulon, ce à quoi lui répond par tweet Limougin Quentin en affichant la une de Libé : « Que penser de cette une qui nous impose de voter Macron ? » Un autre s’interroge : « Et la propagande médias pro-Macron, qui en parle ? » Kisaishi résume l’esprit de ceux qui, comme moi, pensent que le Président a outrepassé ses droits : « Venant de macron ça a un goût d’hypocrisie nauséabond, on en parle de nos média archi corrompus qui lui ont permis d’être élu ? »

    Voilà qui nous donne l’impression que sa politique va être basée sur le « deux poids deux mesures ». Une raison suffisante pour ne surtout pas lui donner la majorité à l’Assemblée. Seul moyen que nous ayons, nous, le petit peuple, de contrebalancer ce petit air de pouvoir absolu.

    http://www.bvoltaire.fr/macron-patron-de-presse-aux-ordres/