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  • Un entretien avec Jean-Claude Rolinat publié par EuroLibertés

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    Vous venez de publier un ouvrage consacré à la Hongrie… Pourquoi qualifiez-vous ce pays de « sentinelle de l’Europe » ?

    J’avais déjà publié aux éditions Dualpha un livre intitulé Frères d’Europe qui passait en revue toutes les curiosités politiques de notre continent si divers, avec l’esquisse d’une perspective politique pragmatique, réaliste, des institutions communautaires. C’est dire l’intérêt que je porte à l’avenir de nos patries : ni fédéralisme castrateur, ni souverainisme béat. Et la Hongrie est l’une de celles-ci, un pays à la longue mémoire, injustement traité par l’histoire, une terre matrice d’un peuple courageux : on l’a vu dans ses révoltes contre l’Autriche avant qu’il ne devienne un sage partenaire de l’Empire, face à la mainmise du bolchevique Bela Kun, dans son engagement – risqué – sur le front de l’Est contre les Soviétiques, et par son héroïque résistance à l’occupation russe. Justement, l’année dernière, nous célébrions le 60e anniversaire de la révolte de Budapest qui, en 1956, fit l’admiration du monde libre.

    Votre livre ne parle que de politique ?

    Non, bien sûr. Si j’évoque évidemment sa longue histoire, l’évolution de son statut politique, l’Empire Austro-Hongrois, le « règne » du Régent, l’amiral Horthy, les Croix fléchées, Viktor Orban et son parti, la curieuse doctrine « pantouranienne » du Jobbik, la sanglante répression de l’héroïque soulèvement de 1956, l’aventure maléfique de Bela Kun, les problèmes des minorités magyares hors frontières – héritage du Traité de Trianon –, je n’en oublie pas moins que c’est un agréable pays à visiter, avec de magnifiques monuments, un folklore sympathique et coloré – ses « csikos », les cow-boys de la plaine –, de bonnes tables, des bières et du vin bien frais ! Budapest, comme le lac Balaton, est des cartes postales séduisantes, à visiter sans modération… À noter que notre éminent confrère Georges Feltin-Tracol a bien voulu m’honorer d’un chapitre justement consacré à la question un peu mythique du « pantouranisme » du Jobbik, sujet brièvement évoqué ci-dessus.

    Cette collection « notre belle identité européenne », est-elle appelée à s’enrichir ?

    Je l’espère. Il y a dans les terres de nos pères tant et tant de merveilles artistiques, touristiques, tant et tant de légendes et d’actes héroïques à vulgariser du Cap Nord à Gibraltar, de Brest à l’Oural, qu’une vie n’y suffirait pas. La France mise à part, je pense à des États comme la Grèce, le Portugal, l’Espagne ou l’Italie qui constituent le cœur de notre civilisation occidentale au sens noble du terme, sans oublier l’Allemagne ou le Royaume-Uni bien sûr. Des amis spécialistes de ces questions pourraient contribuer à les faire mieux connaître pour, au fil des ans, construire une collection qui serait une sorte « d’arsenal historico-politico-touristique », si vous me passez cette expression un peu « barbare », destiné à lutter contre la désinformation qui gangrène nos chères petites têtes, de moins en moins blondes d’ailleurs, et pas seulement elles…

    La Hongrie sentinelle de l’Europe, 190 pages, 20 euros, Les bouquins de Synthèse nationale. Pour commander ce livre, cliquez ici 

    *Chaque jeudi matin à 8 h 30 sur la web Radio Libertés, Jean-Claude Rolinat répond aux questions d’Arnaud Menu dans le cadre de son émission « Et pourtant elle tourne. »

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  • Constance : il mitraille dans une discothèque. Encore un musulman demandeur d’asile !

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    La population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans.

    Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel durant l’été 2015, la population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans. Ce dimanche 30 juillet 2017, la ville de Constance, située au bord du lac du même nom dans le sud du Bade-Wurtemberg, près de la frontière suisse, fait la une de l’actualité. Un demandeur d’asile irakien de 34 ans y a ouvert le feu dans une discothèque. Deux personnes, dont l’auteur des faits abattu par la police, sont décédées et plusieurs sont blessées, dont trois lourdement.

    Le tueur était connu de la police pour divers délits et vivait depuis longtemps à Constance. Il a pénétré dans la discothèque et, quelques minutes plus tard, vers 4 h 30, a ouvert le feu avec une arme à canon long. Lorsqu’il a quitté la discothèque, un échange de coups de feu a eu lieu avec la police et l’individu a été blessé mortellement. Il est décédé de ses blessures à l’hôpital. Un policier a été également blessé lors de l’échange de coups de feu, mais n’est pas en danger de mort.

    Un témoin raconte à l’agence de presse DPA (Deutsche Presse-Agentur) que l’auteur a tiré avec une mitraillette au hasard, dans la discothèque Grey, sur les personnes présentes dans ce lieu qui était bondé. Des centaines de personnes y dansaient. Lors des faits, la panique s’est emparée des noctambules qui se sont enfuis et se sont cachés. La police a déployé des forces spéciales et a demandé un hélicoptère de la police pour d’éventuelles recherches.

    L’Allemagne était autrefois un pays au sein duquel une femme pouvait sans problème se promener seule dans la rue la nuit, même dans une grande ville. L’afflux de migrants a changé complètement la donne. Faire ses courses, se rendre dans une discothèque, se promener dans la rue n’est plus désormais un acte anodin, mais peut conduire aux pires conséquences. Les Allemandes et Allemands ne sont plus en sécurité à leur domicile. Des migrants pénètrent chez les habitants du cru et les tuent pour les voler ou violent les femmes. À Auerbach dans le sud de la Bavière, un Roumain a été arrêté ce 28 juillet après avoir violé une Allemande à son domicile. 

    Face à toutes ces atrocités, la justice ne daigne pas condamner lourdement les auteurs des faits, leur trouvant des circonstances atténuantes au vu de leurs origines. Cinq jeunes individus dénommés Murat C., Hasrit S., Madonna R., Meto K. et Amir R., qui avaient tué un pensionné de 81 ans à son domicile à Tönisvorst en Rhénanie-du-Nord-Westphalie en le battant à mort lors d’un vol organisé, écopent, alors qu’ils étaient déjà connus des forces de l’ordre pour d’autres faits, de peines allant de 6 ans et 7 mois à 7 ans et 9 mois de prison.

    À Hanovre, en Basse-Saxe, le Marocain Nori Najia été condamné à seulement 7 ans et 3 mois de prison pour avoir violé durant deux heures et agressé violemment une Allemande de 27 ans enceinte de sept mois de jumeaux à son domicile alors qu’elle rentrait chez elle.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Tu es blanc et tu détestes l'Occident ? Ben, t'es un con. - Daniel Conversano

  • Des chrétiens emprisonnés dans des containeurs en Erythrée

    Il n'y a pas que l'islamisme qui vise les chrétiens. Il y a même un simple régime sunnite d'un pays qui compte 50% de chrétiens et 50% de musulmans : 

    "Ils sont nombreux à croupir en prison où ils subissent des actes de torture. Les chrétiens d’Erythrée sont considérés comme une menace pour l’Etat. Ils sont traqués par les services de sécurité qui n’hésitent pas à abattre ceux qui tentent de s’enfuir. Quinze ans de répression impitoyable que raconte à Géopolis Clémence Martin, chargée de communication à l’ONG Portes Ouvertes.

    L’ONG Portes Ouvertes ne dispose pas de chiffres précis. Ils sont très difficile à obtenir en Erythrée. Mais selon différentes sources, plusieurs milliers de chrétiens croupiraient aujourd’hui dans les maisons d’arrêt du pays où ils subissent des traitements inhumains. Objectif, leur faire renier leur foi chrétienne. Les personnes suspectées d’être des «chrétiens souterrains» sont épiées sur leur lieu de travail. Leurs mouvements et activités sont passés au crible, rapporte Portes Ouvertes (...)

    Elle raconte à Géopolis le calvaire vécu par Helen Berhane, une chanteuse de Gospel érythréenne qui a passé 30 mois avec 17 autres prisonniers dans un conteneur maritime métallique. Un espace infesté de poux et de puces. Elle a résisté à ses bourreaux en improvisant des chants, malgré la torture. Elle a survécu miraculeusement à sa détention dont elle a tiré son livre-témoignage Le chant du rossignol.
     
    «Tel un rossignol, on ne pouvait pas l’arrêter de chanter dans son conteneur, glacial la nuit, et bouillant le jour. Elle était menottée, battue par ses bourreaux. Parce qu’elle refusait de renier sa foi», précise Clémence Martin (...)

    Faute de pouvoir se rassembler dans leurs églises, les chrétiens d’Erythrée tiennent des réunions clandestines pour contourner le manque de liberté religieuse. Avec le risque d’être arrêtés ou de devoir fuir le pays. «Il n’y a pas le moindre signe qui attesterait que la persécution s’arrêterait en Erythrée», constate Clémence Martin. Elle redoute la poursuite des flux migratoires de ceux qui arrivent à tromper la vigilance de leurs bourreaux.
     
    Portes Ouvertes appelle à la mobilisation internationale en faveur des chrétiens persécutés d’Erythrée. L’ONG appelle à des sanctions concrètes contre le régime d’Asmara pour qu’il accorde enfin la liberté de religion à tous ses citoyens".

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html