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  • Trois anciens ministres demandent l’abandon des poursuites à l’encontre des militants de Génération Identitaire ayant occupé les locaux de « SOS Méditerranée »

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    Vendredi 5 octobre, Génération Identitaire a occupé les locaux de l’association « SOS Méditerranée » à Marseille. Les 22 militants présents ont passé 48h en garde à vue. Le contrôle judiciaire qui est leur imposé est particulièrement strict.
    Diverses personnalités, dont trois anciens ministres, de nombreux parlementaires (députés français, européens ou sénateur), des maires et des figures de la société civile réclament dans une tribune publiée dans Valeurs Actuelles l’abandon des charges à l’encontre des militants de Génération Identitaire pour leur occupation pacifique et dénoncent les agissement de SOS Méditerranée.


    Pourquoi nous soutenons l’action de Génération Identitaire dans les locaux de SOS Méditerranée

    Parce que l’occupation des locaux de SOS Méditerranée le 5 octobre 2018 a été menée de façon pacifique. Il n’y a pas eu d’effraction, la porte du siège a été ouverte par les membres de l’association. Il n’y a pas eu de « séquestration », les activistes pro-clandestins ont pu sortir librement. Aucun coup n’a été porté ni reçu. Ni le mobilier, ni la façade de l’immeuble n’ont été endommagés.

    Parce que cette non-violence a été confirmée par le porte-parole de la Direction départementale de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône en ces termes : « aucune personne n’a été blessée et les interpellations se sont déroulées sans incident ». La porte-parole de SOS Méditerranée a, elle aussi, reconnu l’absence de violence.

    Parce que la répression contre les militants identitaires relève de l’acharnement politique et non du droit. Pour cette occupation symbolique d’une heure, les 22 militants de Génération Identitaire ont été placés en garde à vue durant 2 jours et deux nuits. La longueur de cette garde à vue ne se justifiait pas. Il s’agit d’une décision politique venue du Ministère de l’Intérieur. Libérés le dimanche 7 octobre en fin d’après-midi, les 22 militants devront se soumettre à un contrôle judiciaire. Ils sont mis en examen notamment pour « violence en réunion » et « séquestration », deux charges imaginaires qui visent uniquement à criminaliser une simple occupation temporaire de locaux.

    Parce que l’action de Génération Identitaire est justifiée par les agissements délétères de SOS Méditerranée. 30 000 clandestins transportés en trois ans depuis les côtes libyennes alors même que, selon un rapport d’Interpol, 90 % des passages de migrants vers l’Europe ont été organisés par des réseaux criminels.

    Parce que SOS Méditerranée est incapable de dire la vérité sur les conséquences de son action. Combien parmi les 30 000 migrants débarqués par l’Aquarius venaient vraiment de pays en guerre ? Combien se sont ensuite rendus coupables en Europe de délits et de crimes ?
    SOS Méditerranée prétend « sauver des vies » mais combien, par son action, en a-t-elle gâchées et détruites en Europe ?

    Parce que la grande majorité des Français refuse cette immigration massive imposée. A contrario, les 60 rassemblements organisés samedi 6 octobre par SOS Méditerranée ont été un échec avec moins de 8 000 personnes au total.

    Pour toutes ces raisons :
    Nous soutenons les 22 de Marseille. Nous appelons à l’abandon des charges à leur encontre. Nous demandons une enquête parlementaire sur SOS Méditerranée et la mise sous séquestre de son navire l’Aquarius.

    Cette tribune est notamment signée par : Marie-Christine Arnautu, Députée Européen du RN ; Wilfried Baron, Responsable départemental des Jeunes LR de la Nièvre ; Charles Beigbeder, Entrepreneur et élu de Paris, Président de la fondation « Le Pont Neuf » ; Stéphanie Bignon, Présidente de Terre et Famille ; Jacques Bompard, Maire d’Orange (Ligue du Sud) ; Marie-Claude Bompard, Maire de Bollène (Ligue du Sud) ; Yann Bompard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Christine Boutin, Ancienne ministre, membre honoraire du Parlement ; Claude Chollet, Président de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique ; Thibaud Collin, Philosophe et essayiste ; Quentin de Lacoste, Porte Parole de Racines d’Avenir (LR) ; Cédric Dudieuzère, Adjoint à la mairie du 7ème secteur de Marseille, RN ; Xavier Fruleux, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Marie-Thérèse Galmard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Charles Gave, Economiste, financier, écrivain et entrepreneur français ; Patrick Jardin, Père de Nathalie Jardin, tuée par des terroristes islamistes au Bataclan ; Baptiste Laroche, Porte-parole des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Christelle Lechevalier, Députée Européen du RN ; Rémi Ledoux, Délégué Jeunes LR 8e circonscription du Pas-de-Calais ; Marie-France Lorho, Députée (Ligue du sud) ; Thierry Mariani, Ancien ministre, Membre honoraire du Parlement (LR) ; Emmanuelle Ménard, Députée de l’Hérault ; Robert Ménard, Maire de Béziers ; Jean Messiha, Haut-fonctionnaire ; Charles Millon, Ancien ministre de la Défense, Président de « L’Avant-Garde » ; Paul Nafilyan, Avocat au Barreau de Paris ; Frédéric Pichon, Avocat au Barreau de Paris ; Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti Chrétien-Démocrate ; Stéphane Ravier, Sénateur RN ; Julien Rochedy, Ancien président du FNJ, entrepreneur ; Erik Tegner, Président de Racine D’avenir (LR) ; Mylène Troszczynski, Députée Européen (RN) ; Christian Vanneste, Député honoraire du Nord, Président du RPF et de La Droite Libre.

    https://www.medias-presse.info/trois-anciens-ministres-demandent-labandon-des-poursuites-a-lencontre-des-militants-de-generation-identitaire-ayant-occupe-les-locaux-de-sos-mediterranee/99621/

  • Résister au grand effacement de l’histoire de France, par Guillaume de Thieulloy

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    Comme je l’avais évoqué récemment, je reviens sur le dernier livre d’Éric Zemmour : « Destin français ».

    Disons-le tout net : c’est un excellent cru !

    D’abord, parce qu’il a été écrit comme un livre et non comme un recueil de chroniques et qu’il se lit donc avec plaisir.

    Ensuite, parce que ce livre signe une intéressante évolution d’Éric Zemmour.

    On sait que le journaliste était très attaché à la figure du général De Gaulle. Ce qui peut naturellement se comprendre quand on voit les successeurs du général, mais ce qui ne peut occulter la responsabilité de ce dernier dans l’actuelle décadence de la France. En particulier, comment oublier les guerres civiles auxquelles le général présida ?

    Bien sûr, il ne s’agit pas de faire porter à l’intéressé toutes les turpitudes des communistes en 1944 ou des politicards de la IVe République en 1958.

    Il n’empêche que le Général ne sut pas tendre la main aux soutiens du Maréchal – dont l’écrasante majorité n’avait rien à voir avec la collaboration – pour rebâtir la France.

    Pour sa propre légitimité, il choisit de se mettre dans la main des communistes, les laissant maîtres de la sordide épuration et les laissant prendre, entre autres, le contrôle de l’Éducation nationale, ce dont nous subissons encore les conséquences.

    Quant à l’abandon sanglant de l’Algérie et des populations qui avaient cru en la France, il restera une tache indélébile.

    Ce qui n’empêche pas d’admirer l’œuvre de restauration de l’État, la politique d’indépendance, le scepticisme devant les différents « machins » multinationaux.

    Mais, ici, Zemmour plonge aux sources de la France et, sans rien renier de son admiration pour De Gaulle, la nuance nettement – notamment par un éloge de Pétain comme « bouclier ».

    À l’exact rebours de l’histoire telle qu’elle est enseignée par l’Éducation nationale, il assume sa fierté d’être Français ; j’oserais presque dire, sa piété filiale – vertu qui apparaît si désuète à nos oligarques, mais sans laquelle aucune civilisation ne peut tenir.

    Il met en scène des grands hommes, les héros de notre longue histoire, alors même que l’histoire biographique et l’histoire chronologique semblent si « ringardes » pour nos dirigeants.

    Et c’est là que se trouve la troisième raison d’apprécier ce livre. C’est en effet un ouvrage de résistance à la dissolution de la France.

    Comme le fait remarquer Zemmour lui-même, « le grand effacement de notre histoire accompagne le grand remplacement des populations ».

    C’est pourquoi s’attacher à notre histoire n’est pas seulement un acte culturel louable, c’est aussi, c’est surtout un acte de résistance politique.

    Si nous ne voulons pas que la France disparaisse, la première des choses à faire est de l’aimer, dans son histoire, ses paysages, son identité charnelle.

    Je sais bien que ces expressions donnent de l’urticaire à ceux qui prétendent nous gouverner et qui, pour la plupart, croient, comme Emmanuel Macron, qu’il n’existe pas de culture française. Mais c’est la réalité et c’est pourquoi le livre de Zemmour est si important : il nous rappelle la grandeur de la France, que nos pseudo « élites » ignorent. Et il rend ainsi possible la renaissance de la France que nos pseudo « élites » veulent à tout prix empêcher.

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/212361/resister-au-grand-effacement-de-lhistoire-de-france-par-guillaume-de-thieulloy/

  • Aujourd’hui, en France, c’est Clovis ou le Coran!

    Aujourd’hui, en France, c’est Clovis ou le Coran!

    Les Français doivent choisir tant qu’ils le peuvent :

  • Le cirque médiatique s’attaquerait à la sécurité publique

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    Bernard Plouvier

    La Macronie a ceci de bien qu’on ne cesse de rire devant la succession d’idioties perpétrées par notre jeune prince et ses petits amis. Le canular de cette fin d’octobre, probablement pour fêter le carnaval moche d’Halloween qui s’annonce, a pour but de ridiculiser la gendarmerie.

    Un baladin nommé Lalanne aurait fait savoir (le conditionnel est de rigueur pour une telle ineptie) que, bien qu’ayant été objecteur de conscience dans ses (lointaines) jeunes années et bien qu’ayant refusé alors le service militaire, il allait se faire admettre dans « la réserve de la gendarmerie » avec le grade de chef d’escadron !

    Avant la Seconde Guerre mondiale, un autre baladin chantait : « Quand les andouilles voleront, tu seras chef d’escadrille ; quand elles auront des éperons, tu seras chef d’escadrons ».

    Est-ce qu’en Macronie de plus en plus délirante, une telle absurdité serait possible ? En principe, non ! Pour devenir officier de gendarmerie, il faut une solide formation et faire preuve d’un dévouement indéniable à la chose publique ; on a fêté, il y a peu, un authentique héros de cette corporation.

    Du moins, fallait-il jusqu’à présent cette formation et ce sens du bien public. Il est possible que Génial Grand Timonier ait décidé qu’il s’agit désormais de toute autre chose que d’assurer l’ordre public, la sécurité des personnes et des biens, publics et privés.  

    Chantonner et avoir de curieux « états de non-service », c’est cela que l’on envisagerait pour ramener l’ordre dans les deux mille cités de non-droit de notre malheureux pays. Cela frise l’absurdité à un point tel qu’on pense immédiatement à une (très mauvaise) plaisanterie. Qu’on puisse se moquer ainsi de la notion de maintien de l’ordre et des sujets qui en ont fait leur métier témoigne néanmoins de l’impression générale de laisser-aller.

    De notre République agonisante, il se dégage indéniablement des relents de pourriture à l’instar du mythique royaume de Danemark du prince Hamlet.  On sent confusément que l’expérience macronienne tourne au « très bizarre ». L’absurdité, le grotesque, le délire, ça se paie souvent très cher. Louis XVI et Marie-Antoinette ont mal fini ! Le passage en Haute-Cour est une mesure inscrite dans la Constitution, mais une révolution est toujours une triste possibilité, lorsque l’on fait dans la décadence.      

    Plutôt que d’en courir le risque, certains individus « haut placés » feraient bien de se mettre à administrer le Bien commun en dignes gestionnaires. Sinon, ils peuvent partir. On ne les regrettera pas.