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  • Les chiffres inquiétants de la criminalité en France

    gyrophare-de-police.jpgSelon les informations du Figaro, les crimes ont connu une très forte augmentation au printemps 2019. La guerre des clans explique en partie cette tendance.
    La chronique des faits divers n’en finit plus d’exposer des crimes et assassinats en tout genre. Une tendance confirmée par les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur.
    Comme le révèle Le Figaro ce mercredi 7 août, le nombre d’homicides, qui comprend également les coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort, a explosé de 16 % lors du dernier trimestre. 248 crimes ont ainsi été commis entre le 1er mai et le 31 juillet 2019. « Quelque 101 faits d’homicides ont été enregistrés en juillet 2019, après 75 en juin et 72 en mai », indiquent au Figaro les statisticiens de Beauvau.
  • SOLIDARITÉ AVEC CASAPOUND ! NOS CAMARADES ITALIENS DANS LE COLLIMATEUR DE LA MAIRIE DE ROME

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    Matteo Petrachi Terre et peuple cliquez ici

    Rome, le 25 Juillet 2019

    C'est en fin de matinée qu'a pointé le bout de son nez le Maire de Rome, Virginia Raggi, accompagnée de policiers au siège de nos camarades de la Casapound, située « via Napoleone III ». En effet, les lettres de marbre ornant la façade de l'immeuble sont jugées « abusives »... Il est vrai que dans le quartier « populaire » de l'Esquilino, cela ferait presque « brutta figura1 »... ! D'autant plus que nos chers camarades à la Tortue Fléchée, toujours aussi clairvoyants et prompts à systématiquement se remettre en question, ont suspendu une longue bannière plus haut sur la façade sur laquelle est écrit : « Questo è il problema di Roma », littéralement « Ceci est le problème de Rome ». Pour Virginia Raggi, peut-être la provocation de trop, ou peut-être une occasion de pouvoir faire évacuer une bonne fois pour toutes les militants.

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    Casapound Italia a donc été mise en demeure de retirer la bannière ainsi que les lettres de marbre, sous peine d'amende et d'évacuation forcée. Cependant, au gouvernement, l’évacuation du bâtiment ne semble pas être considérée comme une priorité, bien qu'il eut été soi-disant estimé depuis 2003 un « dommage public » supérieur à 4 millions d’euros pour les « pertes de recettes » du fait de « l'occupation » des lieux.

    Début juillet, l’Agenzia Del Demanio2 avait déjà déposé une plainte pour demander l’évacuation : une plainte qui, selon ladite agence publique, « promet de faire bondir au sommet de la liste des expulsions le siège de CasaPound » mais jusqu’à présent, il ne semble pas y avoir eu de mesures allant dans ce sens. Alors que la Raggi essayait de notifier sa mise en demeure, la Lega et le M5S ont rejeté à la Chambre un ordre du jour proposé par le Parti Démocrate qui engagerait le gouvernement à faire évacuer le bâtiment.

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    Rome, le 06 Août 2019

    Nouvelle venue de Virginia Raggi et ses sbires en fin d'après-midi, sommant nos camarades de retirer immédiatement leurs lettres de marbre. C'est après de longues discutions visant à apaiser les tensions et surtout pour faire entendre raison à Madame le Maire que les militants ont finalement décidé de s'exécuter.

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    « Virginia Raggi marque un point. Dans une ville devenue latrine et blague de l’Italie, la beauté d’une écriture de marbre parfaitement en ligne avec le style rationaliste d’un palais des années 1930 dénote trop. Nous l’enlevons momentanément en attendant la renaissance de Rome qui aura lieu le jour – désormais proche – dans lequel le fléau taliban de Madame Raggi sera définitivement vaincu et chassé de Notre ville ». C’est ainsi que CasaPound a motivé sa décision de supprimer la célèbre inscription en marbre de la façade de l’édifice de via Napoléon III.

    Casapound, le problème de Rome. Vraisemblablement, faire partie d'un mouvement nommé « 5 Étoiles » ne fait pas briller de par son bon sens Madame le Maire, qui semble oublier ou ne pas voir ce qui se passe dans les rues de sa ville : Ordures non ramassées et accumulées, végétation non entretenue, routes et ouvrage d'art dégradés, migrants parfois drogués et/ou alcoolisés, violents ou parfois nus, faisant leur besoins en pleine rue à la vue de tous, sans oublier les « oubliés » : ces familles Italiennes sans ressources, dont certaines d'entre elles sont justement hébergées par « le problème de Rome ».

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    Nous faisons naturellement part de tout notre soutien à nos camarades Italiens, en leur souhaitant de savoir rester les derniers debout dans l'Arène. Et comme le chante notre camarade et ami Gianluca Iannone, à notre tour nous leur disons : « Tenete duro, non mollare, ne vedrete delle belle ! Arremba Sempre ! »3

    Notes

    1 Trad : « Mauvaise Image »

    2 Organisme public gérant les propriétés appartenant à l'état.

    3 « Tenez-bon, ne lâchez rien, vous en verrez de belles ! Toujours à l'abordage ! » ZetazeroalfaDisperato Amore, RTP / Perimetro 2010.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Faut-il les appeler "antifascistes" ?

    6a00d8341c715453ef0240a4c1ad61200b-320wi.jpgL'essor prodigieux de l'illettrisme, conséquence des carences de l'éducation monopoliste étatique confère une importance grandissante aux batailles de mots et aux maquillages des faits. Nous pouvons le constater tous les jours et dans tous les domaines.

    Organe officiel de Boboland, le quotidien Le Monde joue, certes, un rôle central dans cette manipulation verbale et dialectique.

    Or, ce 6 août il mettait en ligne, bien en évidence sur son site, un étrange papier intitulé : "Le parquet de Paris s’oppose à la libération du militant antifasciste Antonin Bernanos." L'article précise que celui-ci, depuis le 18 avril : "a été mis en examen pour 'violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité' et 'vol avec violences ayant entraîné une incapacité supérieure à 8 jours' puis incarcéré.[1] Comme souvent dans les colonnes de ce journal, cela partait d'une dépêche de l'AFP. Provenance réelle de l'information : anonyme, comme trop souvent.

    On ne cherchera pas ici à démêler le vrai du faux. Il s'agit en effet d'une affaire judiciaire actuellement couverte par ce que l'on ose encore appeler, défense de rire, "secret de l'instruction" [2]. On s'emploiera encore moins à accabler un garçon qui doit pour l'instant avoir suffisamment d'ennuis. Il est question de "vol et violences". On verra bien à l'audience, si l'affaire vient un jour devant un tribunal. On notera qu'il s'agit d'une bagarre avec des adversaires relevant de ce que la novlanque médiatique désigne désormais sous le vocable d'ultradroite.

    Dans le texte, assez cafouilleux pour donner la certitude, pas seulement l'impression, d'une hypocrisie totale, on découvre une nouvelle affaire révélatrice d'un réseau international de violence.

    Malgré certaines similitudes d'apparence, il convient d'abord de ne pas trop vite confondre les "antifas" et les "black blocs".

    Sous cette dernière appellation, qui, faut-il le préciser n'inspire à votre serviteur aucune sympathie particulière, s'avancent en fait des partisans de l'anarchie. Sans doute une structure discrète les ramifie-t-elle. Ils se définissent cependant eux-mêmes sans référence à aucune organisation. Mais ils agissent en fonction d'un modus operandi assez précis : la constitution d'un "bloc noir", faussement spontané sans doute, bien huilé et savamment programmé, mais qui ne se revendique d'aucune direction. Ils cassent tout, c'est vrai. En revanche, gare à la CGT quand elle marche sur leurs plates-bandes. Le camarade Martinez a failli en faire les frais, personnellement et physiquement le 1er mai dernier à Paris[3] lorsqu’il a cherché à les devancer dans le noyautage des "gilets jaunes", leurs homologues [originellement plus ou moins ressentis comme] "de droite" (?).

    Avec les "antifas", il s'agit d'une autre extrême gauche. Se réclamant, en apparence, d'une lutte impitoyable contre les groupuscules racistes ou néo-nazis, ils n'ont fait, à partir de 1985, que ressusciter une invention du Komintern, un produit d'appel lancé par Dimitrov en 1935, lors du 7e congrès à Moscou de l'Internationale communiste, sous l'appellation "d'antifascisme"[4].

    Une historiographie complaisante fait remonter les "antifas" à l'Angleterre décadente des années 1970. L'épicentre en réalité se situait alors en Allemagne de l'Est, d'où partaient encore les consignes soviétiques[5] en direction de plusieurs pays d'Europe occidentale, dont la France.

    L'antifascisme à Berlin était tellement à l'ordre du jour que c'est sous ce prétexte que fut érigé en 1961 un certain "mur de protection antifasciste", heureusement tombé en 1989.

    Sans doute le fascisme italien, dès son apparition en 1919 et sa marche sur Rome de 1922 a connu, jusqu'en 1943, ses admirateurs et ses adversaires, ses succès et ses excès, ses obligés et ses ennemis mortels, etc. Mais on doit rappeler que son chef est mort en 1945 et que tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à la reconstitution de son parti tombe sous le coup du Code pénal italien.

    Les prétendus "antifas" se révèlent en réalité, par leurs méthodes, des imitateurs zélés du "squadrisme" des chemises noires. Nos technocrates de la communication ne devraient pas hésiter à les appeler tout simplement des "fascistes de gauche". Ils se bagarrent avec des garçons, certainement sincères, et dont j'avoue ici qu'ils me sont infiniment moins antipathiques, mais dont on se demande parfois, d'ailleurs, s'ils ne pourraient pas être qualifiés de "communistes de droite". Les uns et les autres fréquentent les mêmes costumiers. L'affaire Méric l'a tragiquement prouvé.

    Les appeler antifascistes ne relève pas seulement de l'erreur sémantique. Il s'agit d'une manœuvre caractéristique du manichéisme politiquement correct. Pas étonnant, estimera-t-on, de la part du Monde et de l'AFP. Les gens qui acceptent de leur reconnaître cette appellation les soutiennent en tant que bras armé du camp des bons et désignent leurs ennemis comme les méchants du film. Ça suffit. Basta.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] cf. article "Le parquet de Paris s’oppose à la libération du militant antifasciste Antonin Bernanos"
    [2] L'article 11 du Code de procédure pénale dispose toujours [version juin 2000] : "Sauf dans le cas où la loi en dispose autrement et sans préjudice des droits de la défense, la procédure au cours de l'enquête et de l'instruction est secrète. Toute personne qui concourt à cette procédure est tenue au secret professionnel dans les conditions et sous les peines des articles 226-13 et 226-14 du code pénal."
    [3] cf. "1er-Mai : Philippe Martinez contraint de quitter momentanément la manifestation parisienne à cause des black blocs"
    [4] Imposture qui se révélera pendant la guerre d'Espagne. Lire Orwell "Hommage à la Catalogne".
    [5] Rappelons que c'est à Berlin-Est qu'un certain Vladimir Vladimirovitch Poutine fit ses premières armes d'agent du KGB.

    https://www.insolent.fr/2019/08/faut-il-les-appeler-antifascistes-.html

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (19)

    Aujourd'hui : 22. Belgique : le dernier cadeau de la monarchie...

    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre XIX, La Monarchie de juillet :

    "...Déjà, une grave question était posée. Avant les journées de Juillet, les Belges s'étaient soulevés contre la domination hollandaise. Les événements de Paris les avaient encouragés à se délivrer de leurs maîtres et ils étaient portés à chercher aide et protection du côté de la France. Le moment n'était-il pas venu de terminer, dans les meilleures conditions, une des plus grandes affaires de notre histoire, celle qui n'avait jamais pu être résolue, celle des Flandres ? N'était-ce pas l'heure de réunir la Belgique, puisqu'elle semblait le demander ?

    Mais pas plus alors qu'en 1792 ou à n'importe quelle autre date, l'Angleterre n'eût permis cette annexion, et si la foule méconnaissait cette loi, comme la Révolution l'avait méconnue, Louis-Philippe ne l'ignorait pas. Il avait tout de suite envoyé comme ambassadeur à Londres l'homme que Louis XVIII avait choisi pour le Congrès de Vienne : Talleyrand devait encore trouver la solution, concilier la paix avec la sécurité et la dignité de la France. Tâche rendue difficile par le « parti ardent » qui agitait Paris. On a comparé avec raison la diplomatie de Louis-Philippe et de Talleyrand à celle de Fleury qui, un siècle plus tôt, malgré les cabales, l'indignation, les mépris, avait sauvegardé la paix.

    Louis-Philippe et Talleyrand ont réglé l'antique problème belge, cette « pierre d'achoppement de l'Europe », de la manière la plus satisfaisante pour tous. Malgré la Belgique elle-même, oubliant alors, par haine et crainte de la Hollande, qu'elle n'avait jamais tenu à devenir province française, ils lui donnèrent d'être une nation. Le Congrès national belge voulait un prince français, le duc de Nemours, ou, à son défaut, le fils d'Eugène de Beauharnais.

    Le duc de Nemours fut élu roi le 3 février 1831 et Louis-Philippe refusa cette couronne pour son fils. L'acceptation eût été une réunion déguisée, la guerre certaine avec les puissances. Déjà il était assez difficile de retoucher sur ce point les traités de 1815, de soustraire la Belgique à la domination hollandaise. Si une insurrection des Polonais n'eût éclaté à ce moment-là, paralysant la Russie et, avec elle la Prusse, il n'est même pas sûr que les Belges eussent été affranchis; la Pologne fut écrasée, mais sa diversion avait sauvé la Belgique comme elle avait, sous la Révolution, sauvé la France - La Belgique indépendante était fondée. Elle l'était, parce que la monarchie de Juillet, à la Conférence de Londres, avait joué le même rôle, suivi la même politique que la Restauration au Congrès de Vienne.

    Les puissances avaient voulu que la Belgique libre fût neutre, et sa neutralité garantie par l'Europe pour interdire à jamais aux Français de l'annexer. Cette neutralité était dirigée contre la France; elle devait, dans l'esprit du traité d'Utrecht, servir de « barrière » à nos ambitions. Louis-Philippe l'accepta, la signa, la respecta. Et, quatre-vingts ans plus tard, c'est la Prusse, signataire et garante aussi, qui l'a violée. Alors la précaution prise contre la France s'est retournée contre l'Allemagne, elle a déterminé l'Angleterre hésitante à intervenir et, en fin de compte, nous a profité. Il a fallu près d'un siècle pour que le service rendu par Louis-Philippe fût compris et apprécié...."

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6167820.html

  • Le racisme sauverait-il l’Europe ?

    naturalisationFaudrait-il en arriver à cette déplorable extrémité, pour sauvegarder les origines ethniques, culturelles et civilisatrice du « Vieux continent » ?
    Puisque ce régime comme les précédents, non seulement ne fait rien pour nous protéger d’une disparition programmée, mais au contraire la favorise de son mieux.
    Ceci dit, dans la suite de la vidéo sur le « Génocide planifié des européens » Avec un Macron qui se pose en accélérateur du « progressisme », dans un mondialisme tueur de souveraineté. 
    Et sur le rôle autrefois pervers et malfaisant de ce personnage méconnu, mais actif, nommé Kalergi.
    Comme le précise la vidéo, c’est lui le principal idéologue de cette idée démoniaque qui consiste à transposer des population d’Afrique et d’ Asie (Moyen Orient surtout) vers nos pays, afin de les déstabiliser d’abord et de les dissoudre dans un melting-pot de consommateurs dociles et malléables, sans passé, sans terroirs ni traditions, gouvernés par une élite  dominatrice bancaire , et  de technocrates , qui elle prendra soin de rester bien blanche.
    Ce plan, qui depuis plus de quarante ans, fonctionne à merveille montre maintenant, à qui veut bien voir, son vrai visage.
    Immigration de masse, avec des ONG agressives et parties prenantes dans ce plan machiavélique. Prétendant agir au nom du Droit international, qui poussent même l’excès de zèle jusqu’à faire du forcing sur des pays, comme l’Italie, qui pourtant, refusent ces arrivées non désirées. 
    Vous n’en voulez pas, vous en aurez quand même !
    Cette volonté de passer outre à des décisions gouvernementales, sous couvert de bons sentiments d’aide à des « réfugiés » ; donc de transgresser les lois nationales est pourtant visible. 
    Elle l’est d’ailleurs tellement, que les français, dans leur majorité ne veulent pas y croire.  
    Plus c’est gros, moins ça passe, contrairement là, au dicton.
    Pourtant, Sarkosy, ce grand « patriote » était, pour une fois sincère, quand il déclarait: » On ira ensemble vers le Nouvel Ordre Mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer…et si le métissage ne ce fait pas, il faudra le provoquer de force » 
    Ce qui d’ailleurs ce constate parfaitement dans les rues de nos villes.
    Cette idée d’uniformité mondiale qui se concrétise à présent, part certainement des Jacobins, au moment de la Révolution, avec cette volonté de République universelle, pour en arriver à la Société des Nations, en 1918, suivie de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, qui justifie l’immigration, pour en arriver dernièrement au fameux Pacte de Marrakech, qui place les nations signataires en position d’accueillir tous les candidats à l’immigration. 
    Soit: « Organiser le regroupement familial, avec les mêmes droits qu’avec les natifs » 
    Ainsi, n’importe quel clandestin sera considéré comme réfugié. 
    Avec ce pacte, ce n’est plus, vous devez, mais vous êtes obligés! (Si les GJ connaissaient le coût de cette immigration, ils seraient des millions à manifester).
    Ce que confirme un financier américain, Peter Sutherland : « L’Europe nourrit encore un sens de son homogénéité et de la différence des autres. 
    C’est précisément, ce que l’UE, doit détruire.
    Ce qui reste, en effet, le projet de Bruxelles, dans sa volonté de Fédération, ouverte sur le monde. 
    Pas d’enracinement, pas de frontières, mais citoyens du monde. 
    Pour Attali, la France est un hôtel. 
    Elle sera bientôt un hôtel de passe, avec le transfert de peuples exogènes, que nous sommes obligés d’accepter avec le sourire, sinon la sanction tombera.
    Et pourtant un chercheur à l’IFRI, Matthieu Tardis déclare qu’aucun Traité international ne peut imposer à des Nations d’accueillir des immigrés. 
    Ce que n’empêche pas le Système de n’en tenir aucun compte et nos gouvernants de nous présenter ce phénomène anti démocratique, comme une fatalité, faite de ruse et de mauvaise foi.
    On envoie d’abord, des hommes seuls, des ados et des enfants, le reste suivra, au nom des grands principes.
    Junker, toujours égal à lui même: « Nous prenons une décision, nous la mettons sur la table et nous attendons pour voir ce qui se passe, si elle ne provoque pas de rejet, parce que la plupart des gens ne comprennent rien à ce qui a été décidé, nous poursuivons, pas à pas, jusqu’au point de non retour ».
    Saint Augustin disait: « A force de tout voir, on finit par tout supporter, à force de tout supporter on finit par tout tolérer, à force de tout tolérer, on finit par tout accepter ».
    En espérant quand même, que les français démentiront un jour cet aphorisme, pour sortir à temps de leur avachissement, pour refuser ce qu’on leur impose, dans le silence des médias. 
    Avant que la société tombe dans le réflexe d’un racisme aveugle.
    Car rien n’est plus explosif, qu’une réalité cachée qui apparait soudainement, comme à la sortie d’un rêve.
    Onyx

  • Oui, Bercoff a raison : "Il faut quand même un tout petit peu aterrir dans le réel..."

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • « L’hôpital qui se moque de la charité »: Macron ose interpeller Moscou sur l’usage excessif de la force !

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    Depuis sa forteresse de Brégançon, Emmanuel Macron a eu le culot de demander au Quai d’Orsay de manifester son fort mécontentement auprès du Kremlin après les manifestations d’opposition qui, depuis plusieurs samedis, perturbent la capitale russe.
    Dimanche, en effet, un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a adressé à Moscou un communiqué dans lequel « la France rappelle son attachement à la liberté d’expression dans toutes ses composantes, y compris celle de manifester pacifiquement et de participer à des élections libres et transparentes ». Dans un tweet émanant de France Diplomatie, la langue s’est faite plus virulente encore : « La France condamne ces interpellations et l’usage excessif de la force qui les a entourées ».
    La police moscovite, en effet, venait d’interpeller 600 manifestants, mais si elle ressemble comme à un frère à sa collègue parisienne, dans son uniforme de Ninjas, on l’a vue employer des méthodes bien plus orthodoxes que celles que M. Castaner a adoptées pour calmer les Gilets jaunes.
    À Moscou, pas de LBD bien que la manifestation n’eût pas été autorisée, qui réclamait l’ouverture aux candidats de l’opposition des élections locales prévues le 8 septembre prochain.
    Le communiqué français a du faire sourire Vladimir Poutine. En 36 samedis jaunes, la police française n’a-t-elle pas interpellé plus de 15.000 gilets jaunes, procédé à 8.700 gardes à vue, blessé 4.190 manifestants, dont 24 ont perdu un œil ou une main ? N’y a-t-il pas eu douze morts sur les fameux ronds-points de la liberté ? Un bilan qui aurait dû faire tomber un gouvernement dans un pays où règne la démocratie.
    Alors, n’est-ce pas un peu osé de critiquer Moscou pour ces interpellations ? N’est ce-pas l’hôpital qui se moque de la charité, qui oublie un peu vite ces mois jaunes pendant lesquels gendarmes et policiers ont réprimé comme jamais un mouvement social d’une ampleur inégalée ?
    J’ignore si Vladimir Poutine a tancé Emmanuel Macron sur la manière dont il a voulu mater la rébellion jaune, lors de leur déjeuner à Brégançon. Mais j’ose espérer que notre Président est resté très modeste sur le sujet.
    De dures batailles l’attendent à la rentrée. Demandera-t-il à son ami Castaner de lancer des milliers de grenades de désencerclement et autres lacrymo contre ceux qui vont descendre dans la rue contre les lois à venir : retraite, PMA et autres inventions laremiennes qui ne plairont pas forcément à la majorité des Français ?
    Oui, septembre et octobre seront chauds. L’Élysée recevra-t-il quelques injonctions du Kremlin ?Floris de Bonneville pour bvoltaire.fr
    Sur le même thème lire aussi: 
    ➜ «L'hôpital se fiche de la charité» : Moscou ironise sur les condamnations des arrestations en Russie

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/macron-ose-interpeller-moscou-usage-excessif-force.html

  • Immigration, violence, insécurité à Nantes et partout en France. « Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve » [L’Agora]

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    Des mômes se font frapper, taillader à la sortie des bars.
    Les petites racailles se flinguent pour contrôler le marché de la drogue, les migrants déferlent, squattent, errent, rodent, agressent, et déferlent encore, les roms cambriolent à tout va.
    La société multiculturelle, à Nantes et ailleurs, tient toutes les promesses des Cassandre et pourtant, personne ne semble prendre la mesure de la chute.
    La chute, certains attendent qu’elle advienne, comme un grand soir, avec un black-out électrique et l’arrêt des trains et des avions.
    Pourtant la chute a déjà eu lieu, et ce qui subsiste, ce sont des mouvements du corps, des réflexes nerveux, tels ceux du chat que la voiture a percuté.
    Ce policier qui demande les papiers de la dame parce qu’elle a mis deux roues dans la voie de bus, mais qui n’est pas en bas du lycée squatté par des centaines de clandestins.
    Ce jeune qui s’engage dans l’armée par tradition et instinct et qu’on envoie combattre les islamistes payés pas le chômage en France.
    Ces impôts payés de toutes parts, sur la moindre activité, collectés mécaniquement et aussitôt déversés à une foule d’improductifs, haineux parfois, comme des fauves indomptables, venus eux-mêmes s’enfermer dans la cage dorée.
    Ces ministres et ces élus, qui n’ont à la bouche que la République, quand le champagne finit de rincer les mets les plus fins.
    La chute est en cours. 
    D’autres pans de l’édifice s’amoindriront et s’effondreront.
    C’est une étrange expérience de vivre cela autrement que de regarder la carte et les récits lointains de la chute de Rome.
    Dans la chute nous ne sommes pas moins que nous-mêmes.
    Nous avons appris que le pantin étatique, s’il reste fort en apparence quand il déploie ses zombies, est faible de ce qui seul justifie son existence, la sécurité commune.
    Déjà les gens qui ont compris s’organisent en solidarité.
    Bientôt les espaces de relâchement de l’ancien ordre nous mettrons face à notre nécessaire réorganisation, locale dans un premier temps.
    Déjà les temps durs forgent une jeunesse qui ne veut plus subir.
    Une jeunesse qui ne se laisse pas faire et qui se bat, un peu pour rien, mais au moins pour montrer qu’elle n’est pas dégénérée et faible.
    Tous les dogmes qui ont mené à cette situation sont battus en brèche.
    La société multiculturelle ne pouvait exister que sur un ordre policier très dur assisté d’une justice non moins sévère.
    C’est le modèle américain, et certains de nos amis semblent encore en rêver, comme un moindre mal, en adulant les chefs étrangers réputés couillus et brutaux.
    La justice et la police forment un duo solide pour combattre ceux qui se lèvent en parallèle de ses manquements, en aucun cas pour faire tenir l’édifice hasardeux du vivre ensemble.
    “Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve” .
    Wilfried Van Liempd
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  • François Bousquet : « Au cœur du Quartier latin, nous sommes la librairie de la France périphérique ! »

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    François Bousquet fait le bilan d’une année riche pour La Nouvelle Librairie avec les polémiques (Zemmour, gilets jaunes, etc.), mais replace aussi l’événement dans le cadre plus large du combat culturel et annonce aussi des surprises et des « scandales » pour la deuxième année !

    https://www.bvoltaire.fr/francois-bousquet-au-coeur-du-quartier-latin-nous-sommes-la-librairie-de-la-france-peripherique/