La chronique de Philippe Randa
Rachida Dati ne mâche pas ses mots. Et quels mots ! Que ce soit à l’encontre d’Angela Merkel qui « paie aujourd’hui au prix fort cette ouverture massive des frontières, (dont elle) « n’a pas mesuré les conséquences » (et qu’elle a décidé) « sans anticipation » (déclarations à FranceInfo) ou d’Anne Hidalgo dont elle rappelle les propres déclarations (« Je m’inspire de Mme Merkel en disant moi aussi je veux accueillir massivement, bienvenue aux migrants et aux réfugiés à Paris »), elle en conclue, lapidaire :« Ça a abouti à quoi ? À la dépossession de l’espace public et privé des Parisiens du nord et de l’est de Paris (et à) une explosion de la délinquance… »