Résultat de la folle politique de « diversité » : l’armée a peur sur son propre sol.
Quel sera le prochain épisode ?
Voici un communiqué (authentifié par nos sources dans l’armée) qui a circulé dans certaines unités, les faits relatés sont graves.
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Résultat de la folle politique de « diversité » : l’armée a peur sur son propre sol.
Quel sera le prochain épisode ?
Voici un communiqué (authentifié par nos sources dans l’armée) qui a circulé dans certaines unités, les faits relatés sont graves.
Après les « sauvageons » de Jean-Pierre Chevènement, voilà maintenant qu’on évoque, en haut lieu, l’« ensauvagement de la société ». Le fait que ce terme, employé par Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ait été emprunté au vocabulaire du Rassemblement national vous paraît-il significatif ?
Comme Chevènement, Darmanin a visiblement voulu frapper les esprits. Mais il n’est pas exact de dire qu’il s’est inspiré du Rassemblement national. Marine Le Pen, à partir de 2013, a effectivement employé ce terme à plusieurs reprises, sans doute à la suite de Laurent Obertone qui avait publié, la même année, un livre intitulé Enquête sur un sujet tabou : l’ensauvagement d’une nation. Mais Obertone ne l’avait lui-même pas inventé. En 2005, la politologue Thérèse Delpech avait publié, chez Grasset, L’Ensauvagement : le retour de la barbarie au XXIe siècle. Beaucoup plus tôt encore, on retrouve le mot sous la plume de l’écrivain et poète martiniquais Aimé Césaire, selon qui la colonisation a « instillé dans les veines de l’Europe » le « progrès lent, mais sûr, de l’ensauvagement du continent » (Discours sur le colonialisme, 1950). De son côté, l’historien George Mosse, évoquant la « culture de la guerre » née dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, a employé le mot de « brutalization », que l’on a traduit en français par « ensauvagement ». Nous sommes donc devant un terme auquel on peut donner des significations bien différentes.
Cette semaine dans C’est Cash, Estelle Farge et Olivier Delamarche s’intéressent aux entreprises à qui la crise semble clairement profiter : les GAFAM.
Le deuxième confinement, en vigueur depuis le 30 octobre dernier, a contraint les commerces et les rayons vendant des produits dits «non essentiels» à fermer. Face à ces restrictions, les consommateurs se tournent vers internet pour consommer ce qu’ils ne peuvent plus acheter ailleurs. Amazon, qui a vu son chiffre d’affaires grimper de 37% au troisième trimestre de 2020, prévoit des ventes comprises entre 112 et 114 milliards de dollars d’ici la fin de l’année. Ces chiffres montrent que la tendance est à la digitalisation de l’économie, mais peut-on envisager que cette crise sanitaire bouleverse définitivement nos modes de consommation ?
Il semble acquis aujourd’hui que les GAFAM sont les grands gagnants de la crise liée au Covid-19.
https://fr.novopress.info/219640/video-gafam-les-grands-gagnants-du-confinement/
Delphine Ernotte, dirigeante de France Télévisions, déclare au Monde :
Nos publics revendiquent d’être mieux représentés, en matière de parité, de couleur de peau, de handicap, d’origine géographique et sociale. La distorsion entre la réalité et sa représentation à la télévision est trop grande. Nous allons donc évaluer la représentation à l’antenne afin de nous fixer des objectifs pour 2021. D’après le CSA, les personnes « perçues comme non blanches » représenteraient environ 25 % de la société française, contre 15 % à la télévision. On a un énorme rattrapage à faire. Ce sera le fil rouge de mon nouveau mandat.
https://www.lesalonbeige.fr/le-grand-remplacement-nexiste-pas-mais-le-csa-lestime-a-25/
Près d'une centaine de personnes ont assisté le 5 décembre dernier à la conférence organisée à Montpellier à l'occasion de la sortie de La gauche du capital de Charles Robin. Sans surprise, le NPA a dénoncé une « bouillie confusionniste »
L'auteur de La gauche du capital a grandi dans un quartier populaire de Béziers, où les garçons ont généralement le choix entre le rugby et le rugby Frondeur, il a choisi la philosophie et la boxe ! Tant mieux la philosophie y a gagné un cogneur, qui sait viser juste et droit.
Lecteur attentif et curieux, toujours un œil qui traîne sur les dernières nouveautés d'éditeurs dissidents, webradios improbables, fanzines et webmagazines mauvais genre, l'ami David L'Épée a, le premier, dans ces colonnes (Éléments n°146, janvier-mars 2013), entrevu chez Charles Robin un jeune penseur en rupture de ban idéologique. À 26 ans, l'élève de Jean-Claude Michéa, qui a milité pendant quelques années au Nouveau parti anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot, venait de publier à compte d'auteur son mémoire universitaire sous le titre Le Libéralisme comme volonté et comme représentation. Enthousiaste, le collaborateur d'Eléments avançait alors à propos de ce jeune Biterrois inconnu : « S'il est vrai que la valeur des idées se reconnaît à l'engouement qu'elles suscitent chez les plus jeunes, tout laisse à croire que les thèses de Michéa ont de l'avenir. Non content d'être souvent lu ces dernières années par la jeune génération, il a trouvé en la personne de Charles Robin, doctorant de 26 ans à Montpellier, un successeur enthousiaste. » Deux ans plus tard, à l'heure où le même Charles Robin fait paraître aux éditions Krisis La gauche du capital, sans doute l'essai le plus percutant qu'on ait pu lire depuis bien longtemps, l'intuition de David L'Épée prend des airs de prémonition.
17/11/2020 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Sorti mercredi 11 novembre, le documentaire intitulé « Hold-up – retour sur un chaos » produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, a connu un succès massif. Il traite de la gestion de la crise par le Gouvernement, en pointant du doigt les incohérences et contradictions faites concernant le port du masque, le confinement, les traitements ou encore l’hydroxychloroquine. La quasi-totalité des intervenants sont des personnels de santé connus, de différents pays, ce qui donne une certaine crédibilité aux propos tenus. Parmi eux Astrid Stuckelberger, professeur de médecine, accusé de complotisme a rapidement enflammé les médias.
La proposition de loi « sécurité globale » (et non projet comme présenté par France Info) n’en finit plus de faire polémique. Débattu mardi à l’Assemblée Nationale, il vient compléter l’attirail sécuritaire sur lequel le pouvoir en place entend s’appuyer.
Le texte est issu d’un rapport parlementaire de septembre 2018 des députés LREM Alice Thourot et Jean-Michel Fauvergue. Une avocate et un ancien patron du Raid, ce qui permet au moins de faire sérieux auréolant le texte du glaive et de la balance. Il vise à contrer la montée de l’insécurité dans le pays.