
Le président de tous les toupets, élu grâce à un coup d’Etat médiatico-judiciaire, est en marche sur les pas de son prédécesseur, le second Bonaparte qui après avoir instauré un Empire, s’appuyait sur les candidats “officiels”, ceux du pouvoir, avantagés lors des élections. M. Macron veut faire de lui-même “le” candidat officiel, menant campagne en visite présidentielle et avec les moyens de la Présidence, ajoutant à ce privilège celui de “présider” le Conseil de l’Union Européenne, possibilité que l’Allemagne, confrontée à une période électorale, avait écartée en ajournant son tour au profit de la Finlande en 2006 .






