
La démocratie française se laisse maltraiter. Il est devenu périlleux de défendre la liberté quand elle déplaît aux autorités ou aux faux curés. La crise sanitaire a institué une pensée unique avalisée par des médias aux ordres. La directrice de la rédaction de BFMTV a ainsi déclaré : « Il ne faut pas trop troubler les gens, (…) pas trop aller à rebours du discours officiel, car ça serait fragiliser un consensus social. » Libération a pareillement lancé, mardi, un observatoire pour surveiller les propos « alternatifs », « dans un contexte de remise en cause de la parole officielle ».





