
Une jeune femme de 18 ans a été violemment agressée ce samedi 5 février, avenue Camus, à Nantes. À 8 h 10, elle a reçu un coup de couteau au niveau de la gorge. Elle est hospitalisée. Son agresseur est recherché.
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Une jeune femme de 18 ans a été violemment agressée ce samedi 5 février, avenue Camus, à Nantes. À 8 h 10, elle a reçu un coup de couteau au niveau de la gorge. Elle est hospitalisée. Son agresseur est recherché.
Tous les candidats, Emmanuel Macron en tête, ne parlent que de juguler l’immigration, mais son implantation se poursuit partout en France, aidée et soutenue par moult associations subventionnées, dans l’indifférence et la non-intervention de nos dirigeants.
Meher n’a pas su profiter de sa liberté retrouvée. Ou plutôt si : il a peut-être trop tiré sur la corde après ses quinze mois à l’ombre. Condamné le 18 janvier avec son frère pour trafic de drogue (cannabis, héroïne, cocaïne, ecstasy), le trentenaire n’avait pas prolongé son séjour en prison. Contrairement à son cadet, big boss du trafic, Meher avait recouvré la liberté à l’issue du jugement. Et pour cause : ses deux ans de prison (dont un ferme) prononcés par le tribunal couvraient ses 14 mois passés en détention provisoire. Le ressortissant tunisien, domicilié officiellement au Grand-Duché, était en prime frappé d’une interdiction du territoire français durant cinq ans.
Autrefois, l’actualité politique se faisait ou se défaisait sur le service télévisuel public, à « L’Heure de vérité », émission présentée par le défunt marquis François-Henri de Virieu. Aujourd’hui, c’est chez Cyril Hanouna. Les temps changent. Hier, dans son rendez-vous quotidien, « Touche pas à mon poste ! » – le nom est déjà tout un programme –, Jordan Bardella, président par intérim du Rassemblement national, affrontait Ali Rabeh, maire de Trappes.
Alors que même parmi les médias alternatifs, certains honorent Voltaire jusque dans leur intitulé, l’historienne Marion Sigaut rappelle que ce personnage est un sombre imposteur et un personnage infâme.
Deux études menées par Harris Interactive révèlent un désintérêt des jeunes pour les structures politiques traditionnelles, traduite par une méfiance plus grande vis-à-vis des institutions dites « démocratiques ». Ainsi, selon l’institut de sondage, seulement 51% des jeunes jugent important l’attachement au principe d’un gouvernement démocratique, contre 71% pour les « baby-boomers ».