par Timofey Bordachev
Washington et ses alliés de Londres jouent selon leurs propres règles.
Au cours des dernières semaines, les médias se sont concentrés sur le spectacle de la campagne électorale présidentielle américaine. Le débat désastreux du président sortant Joe Biden avec son adversaire du parti républicain, Donald Trump, puis la survie miraculeuse de ce dernier à une tentative d’assassinat, le choix du colistier de Trump et, enfin, le changement de candidat des démocrates au pouvoir. Finalement, la vice-présidente Kamala Harris – qui n’a pas encore fait ses preuves – est entrée en lice.