Le 7 août dernier, les deux communes corses de Lecci et Zonza-Santa-Lucia ont publié un arrêté interdisant l’accès aux plages aux personnes « n’ayant pas une tenue correcte, respectueuse des bonnes mœurs et de la laïcité ». Cet arrêté, valable jusqu’au 30 septembre, visait particulièrement les femmes portant un burkini. La préfecture de Corse a alors déposé un recours gracieux pour demander l’annulation de cet arrêté. Si le maire de Zonza-Santa-Lucia s’est exécuté, celui de Lecci a maintenu le cap, contre le port de ce vêtement religieux sur les plages publiques de sa commune. Dix jours plus tard, le 19 août, le tribunal administratif de Bastia a donc tranché. Et suspendu l’arrêté. Marine Le Pen a très vite exprimé son soutien au maire de Lecci, sur X : « Plein et entier soutien au maire de Lecci. Le burkini qui est un marqueur de la propagation de l’idéologie islamiste doit être interdit dans les piscine municipales comme sur les plages. »
Sur les plages corses, la Justice interdit d’interdire… le burkini !
Lien permanent
Catégories : actualité, France et politique française, immigration, islamisme, lobby
0 commentaire