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  • Il y a 70 ans… Ðiện Biên Phủ, perdu avec les honneurs

    © ECPAD
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    Ce 7 mai, la France continue de se souvenir du siège historique mené au cœur de l’Indochine et qui sonna le glas d’une guerre de sept ans, sept mois et trois jours. « Ils attendaient dans la cuvette/le tout dernier assaut des Viets/dans la boue, ils creusaient leurs trous, Ðiện Biên Phủ », chante toujours Jean-Pax Méfret. « Aujourd'hui tout l'monde s'en fout, de Ðiện Biên Phủ, mais nous, nous restons fiers de vous, Ðiện Biên Phủ. ». Montrons au chanteur de l’Occident que non, tout l’monde ne s’en fout pas, de Ðiện Biên Phủ, et rendons hommage, par le récit de cette triste bataille, aux milliers de courageux héros tombés pour la France voilà 70 ans.

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  • Les chefs d’entreprises ont mis tous les investissements sur “pause”.

    François Asselin est le président de la Confédération des Petites et Moyennes entreprises, organisation patronale qui représente les patrons de PME. Samedi 30 août, la CPME a décidé d’envoyer une lettre ouverte au futur Premier ministre, l’appelant “à prendre à bras-le-corps les questions cruciales pour le pays.”

    Que dit-il le président des PME ?

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  • 73 ans : le bon et le mauvais « dinosaure »

    Mélenchon Barnier
    73 ans. L’âge du nouveau Premier ministre français a déjà beaucoup fait parler. Nombreux sont ceux qui s’amusent à souligner que le Premier ministre le plus âgé de la Ve République succède au plus jeune. D’autres ne manquent pas de rappeler la litanie des postes occupés par Michel Barnier au cours d'une longue carrière politique débutée en 1973. Certains, enfin, notent le décalage entre le jeunisme prôné par Emmanuel Macron, qui promettait en 2017 une révolution du monde politique, et la nomination de l’ancien ministre savoyard, politicien de métier qui a vu se succéder tous les présidents de la Ve République. Mais la gauche, agacée sans doute de ne pas avoir réussi à imposer Lucie Castets à Matignon, préfère utiliser l’âge du nouveau locataire de la rue de Varenne comme une arme politique.

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  • Barnier… l’extra-balle

    Eurêka, Macron s’est enfin décidé à nommer un Premier ministre, soi-disant consensuel. L’heureux élu est Michel Barnier, Européiste convaincu, ancien commissaire européen, qui s’est illustré en faisant les pires misères aux Britanniques, suite au Brexit, car ils devaient payer le suprême affront de quitter l’UE. Il a été aussi l’artisan actif du vol du référendum de 2005, favorable à la vaccination obligatoire pendant la crise COVID, membre du conseil stratégique du Forum de Davos, on peut dire qu’il coche toute les cases d’un parfait macroniste, convaincu que la dissolution de la France est le seul remède à mettre en place. Il n’est jamais élu que depuis 1978, il avait 27 ans, autant dire qu’il ne sait pas ce qu’est un vrai travail, autre que la représentation du peuple sur lequel il s’est assis à maintes reprises. Au passage on notera qu’est terminée la prime à la jeunesse qui devait apporter ce vent salutaire de fraîcheur, cette nouvelle vision innovante de la politique et de ses arcanes. À la niche les jeunes loups aux dents trop longues. Les mêmes qui encensaient ce jeunisme décomplexé vont cette fois nous vanter les mérites de la maturité et de l’expérience… voir d’une certaine désuétude… Macron était dans le mur, mais il ne veut pas lâcher et comme un joueur qui décroche une extra-balle au dernier moment, il prend Barnier, histoire de retarder de quelques semaines la question de sa destitution ou de sa démission.

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  • Dans la région de Dnepropetrovsk, un train transportant des munitions des forces armées ukrainiennes, détruit par une attaque d’Iskander, brûle depuis près de 12 heures

    par Reporter

    Le groupe nationaliste de la partie occidentale de la RPD ne recevra pas de munitions supplémentaires dans un avenir proche en raison de la destruction de l’échelon militaire des forces armées ukrainiennes. Le train, qui transportait des obus destinés aux militants du régime de Kiev, a été retrouvé par les services de renseignement russes à la gare de Vishnevetskoye, au sud de Pavlograd, dans la région de Dnepropetrovsk. La composition de l’OTRK russe «Iskander» fut rapidement achevée.

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