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  • Biden, un président si gentil qui gracie son fils coupable alors que Trump est un méchant.

    C’est tout de même extraordinaire cette inversion de la réalité à laquelle nous sommes tous soumis.

    Comme vous le savez Biden c’est le gentil, c’est le camp du bien, alors que Trump c’est le pire des méchants.

    C’est en tout cas ainsi que nous sont présentés les évènements aux Etats-Unis.

    Et voilà que Biden, le gentil, l’intègre, l’honnête Joe Biden dans un conflit d’intérêt ahurissant vient de gracier son fils coupable et qui a plaidé coupable devant le tribunal.

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  • Zelensky veut retarder le moment de régler l’addition, mais Trump et Poutine décident

    Tant que le Zygomyr pouvait compter sur l’appui inconditionnel d’un vieillard sénile qu’il avait réussi à circonvenir, il bombait le torse, haussait le menton et gonflait ses joues. Hissé sur des talonnettes, il adoptait une posture arrogante de chef de guerre conforme à sa vision d’histrion de télé réalité.

    Mais aujourd’hui, les règles du jeu ont changé. Ce comédien rompu au numéro du pleurnichard de service, joue un nouveau rôle. Celui du pacificateur, humble et conciliant.

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  • Suivre de près cette AFD qui ne veut plus de notre Europe

    Scholz se prépare à affronter les électeurs en février prochain, après que la coalition qui lui permettait de gouverner a volé en éclat. L’enjeu est de taille pour l’Allemagne et aussi pour l’avenir de l’UE. Son parti, le SPD, essaye de reprendre la main mais se trouve pour le moment en mauvaise posture. L’AFD, le parti « dit » d’extrême droite est devant, crédité de 20%, il vient de compléter son programme en intégrant le Gexit. Une victoire de cette formation et un excellent score du parti de Sarah Wagenknecht annonceraient la fin de l’UE. Les mois qui arrivent doivent être scrutés avec attention. Deux cas de figures simplissimes se profilent. Soit cette volonté de quitter l’Europe sonne l’effondrement de l’AFD, les électeurs effrayés par l’idée de retrouver indépendance et souveraineté se réfugient dans la soumission complète à Bruxelles, soit il se produit l’inverse. On sait depuis le début que l’Euro n’était pas une monnaie assez forte pour l’industrie allemande, mais trop forte pour l’industrie française.

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