Avec un sens du timing qui tient du théâtre de Guignol, Emmanuel Macron vient de donner sa bénédiction à un nouveau gouvernement. Il était temps, son avion décollait pour l’Égypte.
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C’est une agression qui restera gravée dans la mémoire des soignants du service de réanimation pédiatrique de la Timone. Jeudi, dans la soirée, ces derniers ont été violemment pris à partie par un père de famille accompagné d’une vingtaine de proches venus en découdre. L’esclandre était tel que de nombreux policiers sont intervenus dans l’hôpital pour rétablir le calme. (…)
Oui, c’est vrai.
Nous importons des bac-5 qui pour la grande majorité ne savent ni lire ni écrire au moins notre langue et nous exportons nos bac+5 et plus vers l’étranger.
Contrairement à ce que nous explique le brillant Zucman en affirmant avec le tout aussi brillant Piketty qu’il n’y a pas d’exil de riches quand on augmente les impôts, il y a au moins un exil d’une partie de plus en plus importante de nos jeunes qui iront devenir riches ailleurs.
Qui iront créer du PIB ailleurs.

par Alfredo Jalife-Rahm
Donald Trump et Vladimir Poutine tentent, contre les réflexes de leurs administrations, de mettre fin à l’affrontement de leurs deux pays depuis le Guerre froide. Le président états-unien balance entre les menaces et les propositions de paix, tandis que son homologue russe fait preuve de patience. Les deux hommes parviendront-ils à sortir leurs pays du piège qu’ils ont construit durant quatre-vingt ans et qui se referme sur eux ?

Sarah Knafo prétend vouloir renverser la table. Elle en porte les accents et nous ne demandons qu’à la croire. On sait qu’on ne changera rien avec ceux qui sont à l’origine des problèmes, la réflexion vaut également pour la structure qui encadre la vie politique. Elle ne pourra rien renverser si elle reste dans les institutions qui verrouillent nos actions et imposent des décisions par le jeu des traités et règlements européens. Elle ne s’est pas encore prononcée sur la nécessité de réformer un système interne qui ne fonctionne plus. Parler de l’immigration, des économies à réaliser pour redresser le pays c’est bien, mais le sujet des institutions l’est tout autant et on ne pourra pas corriger les errances mises en lumière par le passage de la macronie en s’épargnant de traiter de ce sujet. De même qu’elle reste silencieuse sur les méfaits que l’UE apporte à notre économie depuis des années et qui ont été rappelés dans un article que nous avons repris de Thomas Fazi, avec la conclusion qui s’impose : quitter cette machine à broyer les Nations .