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  • « Ça fait peur » : les 2700 agents au ministère de l’Intérieur ne veulent pas déménager dans l’ancien village olympique en Seine-Saint-Denis

    Faut-il s’attendre à une vague de départs au ministère de l’Intérieur d’ici à début 2027 ? L’échéance correspond au déménagement annoncé de 2 700 agents du ministère, principalement sur des postes administratifs dits de « support » des différentes directions (ressources humaines, finances, numérique), depuis le site Lumière, situé dans le 12e arrondissement de Paris, pour « Universeine » à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Ce nouvel écoquartier, sorti de terre en quelques années pour servir de village des athlètes pendant les Jeux olympiques et paralympiques et 2024, et aujourd’hui devenu une zone en développement mêlant logements, bureaux et commerces, dont la halle Maxwell, l’ancienne centrale électrique réhabilitée qui fait partie des futurs nouveaux locaux du ministère de l’Intérieur.

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  • L’escalade de la panique des drones en Europe : quand la peur devient une arme politique

    par Ricardo Martins

    Une poignée de drones bon marché dicte désormais des budgets de plusieurs milliards d’euros et les agendas des sommets. L’hystérie européenne face au ciel en dit moins sur la puissance de Moscou que sur sa propre perte de sang-froid.

    Une étrange hystérie s’est emparée de l’Europe. Il ne s’agit ni de chars à la frontière, ni de missiles sur les villes, mais de drones : petits, non vérifiés, souvent inoffensifs. Ils apparaissent et disparaissent dans le ciel du Danemark, de l’Allemagne ou de la Pologne, et en quelques heures, les titres crient à la «guerre hybride» et aux «incursions dans l’espace aérien».

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  • Les trois poisons de la démocratie

    Par Philippe Germain

    Il fut un temps – disons, celui des Lumières, celui de la révolution fondatrice, celui des grands textes – où la démocratie n’était pas un mot fatigué, mais une promesse faite à l’homme que sa voix compterait, que sa liberté serait sacrée, que le politique resterait le lieu du conflit noble, du choix. Ce temps s’éloigne. Et c’est un fait : aujourd’hui, la démocratie chancelle. Elle n’est pas morte, non. Mais elle vacille. Et si elle vacille, c’est sous l’effet de trois poisons qui, lentement mais sûrement, l’érodent : la mondialisation sans frein, le pouvoir silencieux des juges et l’Europe des technocrates.

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  • La « justice » sur mesure…

    Anne Hidalgo, l’immaculée conception sauvée par la justice administrative. Le Conseil d’État en protecteur des élus corrompus, ou des décisions arbitraires, s’est dressé pour voler au secours de l’élue socialiste, en très mauvaise posture suite à se notes de frais injustifiées et visiblement injustifiables . Voilà ce qu’est devenue cette noble institution, Long, Weil et Braibant doivent se retourner dans leur tombe. Voilà comment une dictature se met en place et contribue à sa survie, en protégeant les faquins, en validant ce qui ne devrait pas l’être en portant le sceau de la légalité à la forfanterie. Il n’y a même pas de procès, de maquillage de l’escroquerie, le CE décide que ce ne serait pas bien de devoir donner des explications, que la transparence est l’ennemi du bien donc de la justice. On ne rêve pas, conscient de la faute de Hidalgo et du sort qui serait le sien si une instruction s’ouvrait, on annule tout simplement la requête. Indéfendable, donc on supprime le conflit ! Bien entendu cette exception ne fonctionne qu’avec les gens de gauche, les autres doivent être hissés sur les bûchers de l’inquisition pour expier une vérité écrite par le camp autoproclamé du bien.

     

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