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anti-national - Page 1004

  • La DGSE espionne tout le monde illégalement

    Pour nos lecteurs habituels, ce n’est pas un scoop, mais l’affaire Snowden et l’énormité de l’espionnage français contraignent les gros médias à en parler.

    Ainsi le Monde qui affirme aujourd’hui que Les services secrets extérieurs français, la DGSE, espionnent les communications en France et à l’étranger, en soulignant que ce système est totalement illégal.

    « La Direction générale de la sécurité extérieure collecte systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l’étranger: la totalité de nos communications sont espionnées », écrit le quotidien.

    « L’ensemble des mails, des SMS, des relevés d’appels téléphoniques, des accès à Facebook, Twitter, sont ensuite stockés pendant des années », poursuit-il.

    Le Monde précise que les sept autres services de renseignement, dont la DCRI, les douanes ou Tracfin y ont accès « en toute discrétion, en marge de la légalité et hors de tout contrôle sérieux ».

    Évidemment les services du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité et la délégation parlementaire au renseignement « contestent tous les conclusions de l’enquête ».

    http://www.contre-info.com/

  • Quand Taubira rêve d’imposer le délit de blasphème…

    Sans surprise, nos vaillants députés européens ont donc levé l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Celle-ci, comme tant d’autres avant elle (Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Éric Zemmour, plus modestement Pascal Hilout et moi-même), bientôt Ivan Rioufol, devra donc s’expliquer devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.

    Sans surprise, nos vaillants députés européens ont donc levé l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Celle-ci, comme tant d’autres avant elle (Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Éric Zemmour, plus modestement Pascal Hilout et moi-même), bientôt Ivan Rioufol, devra donc s’expliquer devant la 17e chambre correctionnelle de Paris.

    Il n’est pas inutile de rappeler le mécanisme qui a permis cette décision partisane, qui fait de plus en plus ressembler le Parlement de Bruxelles au Politburo à l’époque du stalinisme triomphant.

    Ce sont d’abord les cerbères de l’antiracisme, MRAP et LDH en tête, qui ont déposé plainte contre la présidente du Front national, qui avait osé protester contre les prières musulmanes illégales dans les rues, en évoquant une « occupation ».

    Ce fut ensuite le Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF) qui a relayé cette plainte.

    Pierre Cassen - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Vêtements arrachés, coups, viols : pas facile pour une femme de manifester en terre d’islam

     

    Vêtements arrachés, coups, viols : pas facile pour une femme de manifester en terre d’islam

    LE CAIRE (NOVOpress) – L’organisation internationale Human Rights Watch (HRW) vient de révéler qu’en quelques jours, une centaine de femmes ont été agressées sexuellement sur la place Tahrir et ses environs au Caire en marge des manifestations contre le président égyptien Mohamed Morsi, renversé hier par un coup d’Etat. Selon HRW, 91 cas d’agressions, certaines tournant au viol, ont été commises depuis le 28 juin.

     

    Le scénario le plus souvent décrit par les victimes est celui d’un groupe de jeunes Egyptiens « qui repère une femme, l’encercle, la sépare de ses amis », avant de l’agresser, de lui arracher ses vêtements ou de la violer. Dans certains cas, la victime est traînée au sol pour continuer d’être agressée dans un autre endroit. D’autres femmes ont été « battues avec des chaînes métalliques, des bâtons, des chaises, et attaquées avec des couteaux » sur cette terre très fortement islamique.

    En 2011, cette fois, une journaliste américaine, Lara Logan, avait subi également « une agression sexuelle brutale ». En octobre 2012, c’était au tour de la correspondante en Egypte de la chaîne de télévision France 24 d’être agressée sexuellement. A la différence de ce pays musulman, en France, les manifestations massives contre le mariage et l’adoption homosexuels n’ont engendré aucune agression sexuelle.

    Crédit photo : Bora S. Kamel via Flickr (cc). http://fr.novopress.info/

  • Hollande nous prépare l’euthanasie pour tous !

    Réuni lundi à la demande de François Hollande, le Comité consultatif national d’éthique s’est penché sur la question de la « fin de vie », et notamment du « suicide assisté ». À la majorité de ses membres, il a exprimé des « réserves majeures » et recommande « de ne pas modifier la loi actuelle » en matière de suicide assisté, « considérant que le maintien de l’interdiction faite aux médecins de provoquer délibérément la mort protège la personne en fin de vie ». Ce même jour, François Hollande en visite dans un hôpital du Morbihan a annoncé un nouveau projet de loi sur « la fin de vie » avant la fin de l’année, afin de « compléter et améliorer » la loi Leonetti. 

                 « Compléter et améliorer »… On voit ça d’ici. La vérité est qu’en dépit de l’avis circonspect du CCNE et autres éminences grises courtoisement sollicitées — un avis purement « consultatif » —, la machine est déjà en branle. Les propositions de campagne « tenables » par le gouvernement sont trop rares pour qu’il puisse s’offrir le luxe de les laisser de côté. Voici donc venir à pas feutrés l’euthanasie pour tous.

                 La technique est éprouvée : on fait appel à des sages, on fait assaut de prudence, on pose des garde-fous que l’on jure, dur comme fer, inamovibles. Parallèlement, on invente un nouveau champ sémantique aux effets sédatifs (l’euthanasie devient « accélération de la fin de vie » ou « acte létal compassionnel ») et l’on dresse un décor propre à vous tirer les larmes : combien de Vincent Humbert cloués dans leur lit de douleur, de Chantal Sébire au faciès d’Elephant Man va-t-on voir instrumentalisés dans les prochains mois ?

                 Vient ensuite le temps de l’accusation : qui êtes-vous, qui galopez comme des lapins de garenne et ne souffrez d’aucune disgrâce, pour refuser égoïstement à moins chanceux que vous le droit de mourir dans « le respect et la dignité » ? (Qui étiez-vous, il y a quelques mois, féconds hétéros, pour refuser la joie de se marier et d’enfanter à des homos ?) Quand l’émotion aura porté le coup de grâce à la raison, la partie sera gagnée. Ou pas.

                Car il n’est pas impossible que ceux qui se sont, ces dernières semaines, battus comme des braves pour les droits de l’enfant rejoignent ce nouveau front. Mieux organisés. Moins naïfs. Plus « conscientisés ». Pour les droits des vieillards et des malades, cette fois. Pour que personne ne fasse sauter le premier verrou de cette boîte de Pandore que serait le suicide assisté. Pour libérer les mots de « respect » et de « dignité » confisqués par l’hypocrisie. Ne sont-ils donc pas dignes, ces vieillards, ces grands malades qui ont le courage d’aller jusqu’au bout du chemin ? Le premier respect que nous leur devons n’est-il pas de les entourer, et, lorsqu’ils nous demandent « d’abréger leurs souffrances », d’abréger vraiment leurs souffrances — et non leur vie — par des soins palliatifs plus efficaces et développés ?

                Au centre du débat sur l’euthanasie, il y a la valeur de la vie : d’absolue, elle devient relative. Certaines fins de vie mériteraient d’être vécues, d’autres pas. Le problème épineux étant de fixer les critères. Ah ça, foi de Hollande, ils seront drastiques : rien que des Chantal, des Vincent, des vieillards cacochymes et des cancéreux incurables qui en auront fait la demande. Comme en Belgique… enfin, au tout début. Là-bas, l’euthanasie est maintenant en passe d’être étendue aux mineurs « dont la capacité de discernement est attestée ». Parce que la capacité de discernement, c’est vraiment ce qui caractérise le mieux les mineurs !

    http://actionfrancaise.beaune.over-blog.com/

  • La Hongrie dans le collimateur de l'UE

    Le Parlement européen a adopté, par 370 voix contre 249 et 82 abstentions, le rapport du député Vert portugais Rui Tavares, qui s’en prend à la Hongrie. Viktor Orban est venu se défendre sur place, soulignant que ce rapport faisait peser la menace d’une mise sous tutelle de l’UE par un organisme qui n’est pas prévu dans le traité, une commission qui briserait l’équilibre des pouvoirs entre les institutions européennes et les Etats membres.

     

    « Ce rapport est très injuste envers la Hongrie, très injuste envers le peuple de Hongrie. Vous y appliquez le deux poids deux mesures. (…) J'ai vécu le sort de l'Europe centrale, je sais ce que c'est que de ne pas être en mesure de gérer sa propre vie parce que d'autres décident pour vous. Nous savons ce que cela représente quand l'indépendance nationale est foulée aux pieds. »

    « Il faut lutter contre ceux qui veulent transformer l'Union européenne en nouvel empire ».

     

    L'UE ne pardonne pas à Viktor Orban d'être pro-vie et d'avoir modifié la Constitution,  désormais centrée sur l’identité chrétienne.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une loi anticonstitutionnelle, par Manuel GOMEZ

     

    La question se pose : lorsque la loi mémorielle, dite « loi TAUBIRA » a été votée en 2001, où était l’opposition ? Totalement absente ou de connivence ? Robert Badinter, lui-même, affirmait (Marianne 16 octobre 2010) que les lois mémorielles, qu’il appelait « lois compassionnelles », n’avaient pas leur place dans l’arsenal législatif.

     

    Il poursuivait : « Une vérité historique n’a pas besoin d’être protégée, puisqu’il existe les décisions de justice ».

     

    Le parlement, sous l’autorité de Lionel Jospin, a prononcé en 2001 une condamnation alors que l’article 34 de la Constitution limite son rôle en matière pénale uniquement à la fixation des règles concernant la détermination des crimes et délits, et les peines qui leur sont applicables.¢

     

     
    Or, dans cette loi Taubira, on qualifie de « génocide » la traite négrière alors qu’elle n’avait absolument pas pour but, bien au contraire, d’exterminer tout un peuple. À noter que cette loi passe sous silence, volontairement, les traites arabes et intra-africaines, bien plus importantes que la traite transatlantique.

     

    Cette loi, bâclée par Mme TAUBIRA, prend comme point de départ le XVe siècle. Or, à cette époque il est prouvé qu’il n’y avait pas de traite négrière française. La France n’entre dans ce commerce que dans la seconde moitié du XVIIe siècle.

     

     

    À noter également qu’à cette époque non seulement l’esclavage n’est condamné par personne, même pas par les grands philosophes, mais qu’il a été pratiqué depuis l’Antiquité et, qu’avant même que les européens n’arrivent en Afrique, un Africain sur quatre était un esclave.

     

     

    L’Afrique noire n’a pas été seulement une victime de la traite mais elle en a été l’un des principaux acteurs.

     

     

    Traite musulmane : 17 millions de personnes entre le milieu du VIIe siècle et aujourd’hui.

     

     

    Traite intra-africaine : 14 millions de personnes déportées.

     

     

    Traite européenne :  10.550.000 africains déplacés vers l’Amérique.

     

     

    La loi Taubira assimile la traite des noirs par les européens comme un « crime contre l’humanité », incluant ainsi une comparaison avec la Shoah. Cela est totalement faux. Le génocide des juifs était incontestable, les noirs étaient une valeur marchande qu’il fallait préserver le mieux possible.

     

     

    Cette loi ne peut que provoquer la haine entre Français. L’abroger permettrait de redonner à la traite négrière la place qu’elle mérite dans notre histoire.

     

     

    Si cette loi avait été présentée, comme cela aurait dû l’être, devant le Conseil constitutionnel, celui-ci aurait déclaré l’inconstitutionnalité et par voie de conséquence la promulgation aurait été jugée non recevable (doyen Georges Vedel, l’un de nos meilleurs spécialistes en droit constitutionnel).

     

     

    La Constitution n’autorise pas le législateur à condamner des faits du passé en les qualifiant de « crime contre l’humanité » ou de « génocide ».

     

     

    Quel parlementaire aura le courage et la volonté de proposer l’abrogation de cette « loi TAUBIRA » qui, pour la première fois dans l’histoire du monde, exige que « L’honneur des descendants des esclaves soit défendu » ce qui légalise le principe du malheur héréditaire.

     

     

    Mme TAUBIRA et les groupes communautaires qui se considèrent comme des descendants directs d’esclaves, souhaitent que nous exprimions notre mea culpa ! Alors il nous faut exiger que le monde entier l’exprime également : les Arabes, les Africains, les Asiatiques ainsi que tous les pays européens.

     

     

    Nous n’assisterons pas ainsi au massacre programmé uniquement de l’histoire de notre pays : la France.
  • Une chanson pour Nicolas et tous les prisonniers politiques

     Une chanson dédiée à Nicolas et aux prisonniers politiques.

    Cette chanson a été mise en ligne par les Hurluberlus sur la plateforme de partage YouTube. Intitulée « Prisonnier politique », elle mêle voix d’homme et de femme (cela devient subversif, par les temps qui courent, mais la parité est respectée...) pour raconter la répression policière qui s’est abattue sur notre beau pays la France qui passe de moins en moins pour une république bananière et de plus en plus pour une république populaire. La condamnation inique du jeune Nicolas est au cœur de la chanson.

    Nul doute que nombre de nos lecteurs, notamment les étudiants, se reconnaitront pleinement dans ces paroles. Un grand bravo au groupe !

    Lois Spalwer   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le flicage des citoyens, plus grave que l'espionnage d'Etat

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    "Je suis assez mal à l’aise avec les discours de plus en plus nombreux, notamment en France, qui font d’Edward Snowden un héros des temps modernes. Ces discours mélangent tout, espionnage, terrorisme et libertés publiques et me donnent la désagréable impression de hordes de gardes rouges beuglant « feu sur le quartier général » ! Disons d’abord que, si un homme ayant eu accès à des données classifiées dans notre pays les avait révélées à l’étranger, je le considérerais comme un traître. Je peux fort bien concevoir que les États-Unis en fassent autant pour ce jeune homme qui a révélé le programme d’écoute Prism de la NSA. Mais l’affaire vient de connaître un rebondissement avec la publication d’informations sur les écoutes au sein d’ambassades, notamment l’ambassade de France à Washington. Aussitôt, le Quai d’Orsay a exigé des explications des Américains qui ont laconiquement déclaré qu’ils ne répondraient pas en public, mais par voie diplomatique. Je serais assez curieux de voir si nos grands défenseurs de la transparence vont publier ces explications. À mon humble avis, après avoir « surfé » sur la vague anti-américaine, nos gouvernants vont sagement faire le silence sur cette affaire. Ils ont, en effet, autant à perdre que les États-Unis dans un déballage public en matière d’écoute et d’espionnage. Je n’ai aucune lumière particulière sur ces questions, mais il me semble assez évident que poser des micros dans une ambassade, fût-elle celle d’un pays allié, doit constituer l’un des passe-temps favoris des services de renseignement. Je serais donc fort surpris que les États-Unis ne disposent pas de preuves que la France en a fait autant ailleurs. Et la publication de ces preuves nuirait sans doute un peu à l’image de vestales des droits de l’homme qu’affectent nos politiciens ! En outre, le pouvoir, en France, n’a jamais hésité à placer illégalement sur écoute les adversaires (ou les amis !) politiques. Bref, je doute fort que le pouvoir socialiste ait des leçons à donner à quiconque en matière de libertés publiques.

    [...] Ce qui me gêne surtout, dans ces révélations, c’est la confusion. L’espionnage d’État à État a toujours existé. On peut éventuellement trouver que ce n’est pas élégant, mais, enfin, comme c’est une question de survie nationale, on voit mal comment un État pourrait y renoncer. Ce qui est considérablement plus grave, c’est le flicage des citoyens. On me dira que surveiller internet est fondamental pour lutter contre le terrorisme. Certes. Mais je ne suis pas prêt à accepter d’être surveillé par Big brother pour être sûr que Mohamed Merah le soit aussi. D’abord, parce que cette surveillance n’empêche pas Merah d’assassiner (et qu’en un sens, cette surveillance lui a même permis d’assassiner, puisqu’il fallait, selon les canons médiatico-politico-policiers du moment, que l’assassin soit « d’extrême droite » et que la surveillance de faux suspects a laissé le champ libre au véritable assassin). Et, surtout, parce que n’étant, justement, pas terroriste, je ne vois aucune bonne raison d’être surveillé comme Merah ! Au nom sans doute de la non-discrimination (ici entre terroristes et honnêtes gens), il faudrait surveiller identiquement honnêtes gens et terroristes. Je conteste, quant à moi, absolument tout droit de l’État à surveiller ma vie privée et, conséquemment, à surveiller internet. Je ne suis pas franchement d’extrême gauche, mais je suis, là-dessus, absolument d’accord avec les pirates d’Anonymous. Seule la justice (à laquelle je persiste à ne faire aucune confiance, mais c’est une autre affaire !) est habilitée à me reconnaître suspect et à me mettre sur écoute. Pas un policier, même anti-terroriste ! Faute de quoi nous ne cesserons de retomber sur la vieille question de Juvénal : quis custodiet ipsos custodes, qui gardera les gardiens ? Ces gardiens ne peuvent manquer d’être tentés d’abuser de leur pouvoir. La seule bonne réponse à Big brother, c’est la liberté totale d’internet. Et la censure ne doit intervenir que sur décision de justice. Pas sur décision d’une « haute autorité » ou d’un chien de garde de l’oligarchie ! Là-dessus, au moins, Snowden a mille fois raison.

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Quand les députés socialistes trichent à l'assemblée - Mariage gay

  • Marine Le Pen poursuivie : le retour du délit d’opinion…

    Étrange pays que le nôtre. Où il est permis de tout faire, mais dans lequel on ne peut plus rien dire.

    Tout faire ? Oui, ou presque. Détrousser les passagers d’un train de banlieue. Vendre de la drogue sous le nez de la maréchaussée. Casser la gueule de ses professeurs. Caillasser des bus emplis de travailleurs. Exposer une effigie du Christ dans un pot de chambre ou un homard gonflable au château de Versailles. Inséminer une femme pour ensuite se partager l’enfant entre oncle et tante. Brûler des voitures dans la rue et même bloquer la circulation de cette dernière par des musulmans priant en masse.

    Tout dire ? C’est une autre affaire. Marine Le Pen en sait quelque chose, dont l’immunité parlementaire vient d’être levée au Parlement européen. Son seul crime, rappelons-le, consiste précisément à avoir dénoncé, en 2010, l’occupation de ces rues du XVIIIe arrondissement parisien. Motif du délit, avoir seulement dit ceci : « Je suis désolée, mais pour ceux qui aiment beaucoup parler de la Seconde Guerre mondiale, s’il s’agit de parler d’Occupation, on pourrait en parler, pour le coup, parce que ça, c’est une occupation du territoire. […] Certes, il n’y a pas de blindés, il n’y a pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même et elle pèse sur les habitants. »

    À lire ici http://www.bvoltaire.fr/nicolasgauthier/marine-le-pen-poursuivie-le-retour-du-delit-dopinion,28898