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anti-national - Page 1001

  • Première victoire des Veilleurs Debout

    Malgré les nombreuses pressions policères et arrestations abusives, les Veilleurs Debout remportent une première victoire : Un élu de la république, Monsieur Dupont-Aignan, découvre le 2 Poids / 2 Mesures. On peut tout de même se demander ce qu'il faisait ces six derniers mois...


    Carole d'Hombelois  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Gay-pride : nos impôts payent leurs folies !

    Communiqué de Bruno Gollnisch, Député européen et Conseiller régional – 24 juin 2013

    Bruno-Gollnisch-ptÀ coup de dizaines de milliers d’euros, la ville de Lyon et le Conseil régional de Rhône-Alpes ont subventionné la quinzaine des cultures lesbiennes, gaies, bi et transsexuelles qui se tenait du 7 au 22 juin 2013, et y ont participé. La plaquette de présentation de l’évènement annonçait la couleur : publicité pour le magazine « Prends-moi » (sic !), revendication de la fierté assumée pour la domination, la soumission et le sado-masochisme juste sous la signature du président de la région, Jean-Jacques Queyranne, etc. On n’a pas été déçu du reste !

    Les rangs de la dernière gay-pride de Lyon, le 15 juin dernier, reprenaient en effet la nouvelle prétention du lobby homosexuel : l’accès à la PMA pour tous (procréation médicalement assistée). Le soutien de toute la gauche régionale à cet évènement prouve que l’idée est plus avancée que ce que le gouvernement veut nous faire croire.

    Ainsi, contrairement à plupart des couples homosexuels qui ne demandent que la discrétion,  ce communautarisme gay revendique, sous prétexte d’« égalité », une véritable supériorité : un prétendu « droit à l’enfant » malgré une sexualité excluant la procréation. Ceci ne peut ni ne doit être légitimé par l’État.

    En tout temps et en tous lieux, le mariage est l’institution qui protège l’union d’un homme et une femme, seule apte à transmettre la vie et éduquer des enfants. Nous dénonçons également la « théorie du genre » qui tend à faire croire que le sexe se choisit. Le Front National défend ce seul modèle viable de société naturelle et « durable », l’UMP n’ayant que trop voté, aggravé ou accepté, toutes les lois destructrices que le système politique impose à la société française.

    http://www.gollnisch.com

  • Des armes pour tous, c'est maintenant

    Grâce à François Hollande et à sa clique la république fromagère dite française a franchi le pas: elle arme dorénavant les terroristes islamistes qui martyrisent, entre autres, les chrétiens en Syrie. Les mêmes égorgeurs rituels que ceux qu'on prétend pourchasser ailleurs: là aussi, deux poids, deux mesures, une marque de fabrique apparemment. C'est du moins ce que révèle JD Merchet sur son blog.

    Que ceux qui trempent de près ou de loin dans cette entreprise abominable, honteuse, qui ajoute à une liste déjà longue de nouvelles taches à nos couleurs, se souviennent que les méfaits dans l'histoire ne restent pas impunis, et qu'il y a des Nüremberg pour les criminels de guerre et les serviteurs trop asservis des états totalitaires, même prétendument démocratiques.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « On va te trancher la gorge, sale Blanche »

    Madame Leterme a été victime en 2010 d’une persécution raciste lorsqu’elle habitait à Savigny-le-Temple (77). Elle raconte son histoire à Minute. Extraits :

    « Du jour au lendemain, elle a été rejetée, insultée, et le conflit a vite pris des proportions énormes, à tel point que j’ai fini par ne plus la laisser sortir dans le jardin clos, commun aux résidents du rez-de-chaussée. Les autres enfants la traitaient de sale fille de Blanche, de sale Française, lui disaient que sa mère était une sale pute, qu’elle n’avait rien à faire là, qu’elle n’était même pas une bâtarde… [...] 

    Au mois de mars, comme mes enfants recommençaient à sortir, nous avons reçu des menaces et des lettres nous incitant à partir, sous pei­ne d’être égorgés. Les agresseurs se sont aperçus que je vivais seule, ce qui les a rendus encore plus hostiles, et le fait que je ne les craignais pas n’a pas non plus joué en ma faveur. Je me suis rendue au commissariat pour déposer deux mains courantes, qui n’ont jamais rien donné. La situation est restée aussi tendue, les enfants d’une dizaine d’années venant jusqu’à mon portillon pour nous insulter, nous traiter de sales putes et de sales Blanches, jusqu’à ce soir du 30 juin, où, après une nouvelle altercation, des adultes sont intervenus pour effrayer ma fille, en lui disant qu’elle n’avait pas à se mélanger avec leurs enfants, qu’ici ils étaient chez eux et qu’ils allaient nous faire la peau.

    Nous sommes des provinciaux et mes enfants n’ont pas l’habitude d’entendre de tels discours de hai­ne. Terrorisée, elle s’est réfugiée chez nous. Mon ex-mari et un autre ami, venus fêter mon anniversaire, sont sor­tis pour discuter et se sont alors fait lyncher par sept individus, à coups de bâtons, de planches de bois et de casque. Mon ex-mari a eu un traumatisme crânien, le cuir chevelu ouvert et de multiples contusions, et notre ami une fracture ouverte à deux doigts. Ma fille et moi assistions à la scène. [...]

    Mes enfants étaient enfermés dans mon appartement et j’étais sortie pour accompagner les pompiers, qui prenaient en charge mon ex-mari et notre ami pour les em­mener au CHU de Melun. C’était la cohue, la jubilation to­tale, tout le monde trouvait normal que nous partions. Nos agresseurs m’insultaient et me menaçaient de mort devant les policiers, sans au­cune gêne ni crainte : ils m’ont dit qu’ils nous trancheraient la gorge, à ma fille et à moi : « Ne t’inquiète pas, on va te retrouver, tu ne seras pas toujours protégée, on va te trancher la gorge, sale Blanche, tu n’avais rien à faire ici… »

    Sur les sept hommes qui avaient lynché mon ex-mari et notre ami, trois seulement ont été interpellés et traduits en justice. [...] En dépit de casiers judiciaires chargés, ils ont été condamnés à des peines avec sursis, ou de moins de deux ans de prison fermes : ils ne seront donc pas emprisonnés. [...] »

    Source  http://www.contre-info.com

  • Une fenêtre de tir s'est ouverte pour au moins une année

    Lu dans L'Action Française 2000 :

    A"Pour contrer la pression exercée par le pays réel sur le Système, le gouvernement a décidé de s'attaquer à nos libertés publiques, malgré la protection constitutionnelle dont jouissent certaines d'entre elles. Pour n'en citer que quelques-unes, relevons les violations de la liberté de réunion (charges des CRS sur les manifestants aux Invalides), du droit à la sûreté (violences policières, arrestations abusives), du droit à un procès équitable, de la présomption d'innocence (condamnation médiatique du jeune Esteban) et de la liberté d'association (procédure de dissolution arbitraire). La liste de libertés attaquées est encore longue, si bien que le seul véritable acquis politique de notre modernité, l'État de droit, a fortement reculé ces dernières semaines, et cela en toute logique : ce n'est que sous la perfusion d'un surcroît de répression que la domination mondialiste se maintiendra à la tête de la France. Ce gouvernement de faux durs - qui ne touche ni aux racailles d'en haut, ni aux racailles d'en bas - paraît être prêt à tout pour enrayer le retour du pays réel. Dès lors, la brutalité d'État déployée ce printemps peut laisser craindre un crescendo répressif. Ce scénario, toutefois, ne se produira vraisemblablement pas avant le printemps 2014. Un solide gardefou est là pour nous le garantir : les élections municipales et européennes.

    [...] Appuyer sur l'accélérateur répressif conduirait à un véritable hara-kiri électoral. D'une part, parce que l'électorat centriste, capté suite aux maladresses de Nicolas Sarkozy, prendrait ses distances avec la bobocratie. D'autre part, parce que la base électorale de la "gogôche" elle-même finirait par être effrayée. Personne ne doit s'illusionner : la diffamation, la calomnie, les insultes, la diabolisation, les arrestations arbitraires, les coups de matraque et le gazage gratuit seront à nouveau employés par le Régime.

    Une fenêtre de tir s'est ouverte pour au moins une année. Le pays réel devra en profiter pour accentuer sa pression sur le Système. Contrairement à ce que certains commentateurs du Régime prêchaient haut et fort, la mobilisation du pays réel n'a pas faibli suite à l'adoption de la loi Taubira. Ceux qui, d'ailleurs, ont cru une seule seconde que le pays réel baisserait les bras après le vote de celle-ci témoignent d'une profonde incompréhension du choc sismique qui balaie la France. Si le pays réel s'est levé, ce n'est pas uniquement pour éviter que la France ne se ridiculise en instituant le mariage gay. Le pays réel s'est levé parce que, pour tout Français enraciné, l'air est proprement irrespirable. Et le vote de la loi, loin de purifier notre air, l'a, au contraire, pollué davantage. Le pays réel ne cessera pas la lutte tant qu'il ne pourra pas mieux respirer. Que les Français l'aient déjà compris ou non, cette bulle d'oxygène que nous attendons tous ne s'offrira pas à nous tant que le Système actuel sera en place. C'est par nos actes quotidiens, même les plus simples, multipliés par plusieurs millions, que la banquise du Régime, qui se craquelle déjà, s'effondrera définitivement. Face à la stratégie de la tension, ultime va-tout du gouvernement, le pays réel ne doit obéir qu'à un seul mot d'ordre : ne pas fléchir."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Conseil de l’Europe : la Russie soutient la Hongrie dans le cadre de la mise sous surveillance et dénonce la répression à l’endroit des opposants du «mariage» homosexuel

    Depuis plusieurs années, la Hongrie dirigée par Viktor Orbán fait l’objet de nombreuses critiques, tantôt pour sa politique économique (qui a notamment consisté à s’attaquer aux déficits en créant des taxes exceptionnelles pour les multinationales étrangères installées en Hongrie), tantôt pour ses réformes politiques, constitutionnelles et sociétales. Cette hostilité est plus ou moins déclarée selon les personnalités (cf. l’article publié lundi sur NDF.fr concernant Viviane Reding).

    En avril, le Conseil de l’Europe – organisme siégeant à Strasbourg et compétent dans le domaine des droits de l’homme, libertés fondamentales – a lancé une procédure de mise sous surveillance de la Hongrie. C’est durant la plénière de cette semaine (24-28 juin 2013) que le cas de la Hongrie va être étudié et qu’il y aura un vote.

    Cette mise sous surveillance est liée à certains points des réformes constitutionnelles mises en œuvre par Orbán depuis 2010. Il est vrai que depuis son retour au pouvoir, avec une majorité absolue des 2/3 pour son parti le Fidesz, Orbán a entrepris de nombreuses réformes de fond en Hongrie car il dispose d’une majorité des 2/3 (nécessaires pour la révision des dispositions constitutionnelles et des lois organiques) jamais vue auparavant et qu’il ne devrait pas retrouver après les élections de 2014 (bien qu’il devrait sans doute remporter de nouveau les élections). [...]

    La suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Dissolutions : c’est parti !

    Il est désormais prouvé qu’Esteban se trouvait en état de légitime défense. Ca n’y changera rien, la République a trouvé le prétexte pour faire un peu de « ménage » à moindres frais.
    Devenue ouvertement tyrannique, et alors que la situation du pays se dégrade à tous niveaux, elle espère contenter certains lobbies et s’assurer le soutien de l’extrême-gauche.

    Lu sur Francetvinfo :

    Le document se présente comme une « procédure de dissolution » en vertu du code de la sécurité intérieure, selon nos confrères du Dauphiné Libéré. Après les déclarations du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui disait vouloir dissoudre certains groupuscules d’extrême droite après la mort de Clément Méric, au moins deux d’entre eux ont confirmé avoir reçu la missive, mardi 25 juin : Troisième Voie et les Jeunesses nationalistes.

    Lire la suite…

    http://www.contre-info.com/

  • Communiqué de Serge Ayoub

    Communiqué de Serge Ayoub
    Suite à la campagne d’incitation à la haine et à la violence contre Troisième Voie lancée par le Premier ministre Ayrault qui parle de nous « tailler en pièces » et du ministre de l’Intérieur Valls qui cautionne et justifie la violence des antifas, « qui luttent d’une manière ou d’une autre » contre les idées considérées d’extrême droite, nous, patriotes, subissons de la part de l’extrême gauche une avalanche de violence contre les nôtres.

    Ce week-end, près d’Agen, nos anciens militants de Troisième Voie, qui dans un dernier baroud d’honneur avant la dissolution effective de notre mouvement, collaient leur restant d’affiches, ont été attaqués par une bande de nervis sortis d’un festival punk, ivres d’alcools et confortés par les provocations d’Ayrault. Ces brutes alcoolisées ont agressé à huit les trois colleurs et leurs deux compagnes.
    ...
    Heureusement le courage et la justice ont eu raison de la haine et du nombre, mais depuis les médias se déchainent contre ceux qui n’ont fait que se défendre d’avoir collé des affiches et de refuser de se laisser battre.

    Malheureusement la campagne de haine et de violence se propage et se généralise sur toute la France : il y a trois jours le local de nos camarades dans la Somme, à Estrées-Mons recevaient plusieurs impacts de balles sur la façade et essuyait dans la nuit un cocktail molotov. Pire à Picquigny, la nuit dernière : un autre local, identifié comme accueillant des patriotes, a subi un incendie criminel, et tout cela dans l’indifférence générale.

    La violence systématique des antifas s’exerce en toute impunité, sur tout le territoire et contre tous. La semaine dernière, le local du Front national à Nantes était mis à sac ; ce dimanche, c’est Paris qui était livré à des bandes armées et masquées qui ont vandalisé le centre de la capitale au vu et au su de tous ; aujourd’hui c’est au tour de la permanence du PS du XXème à Paris d’être mise à sac par les antifas !

    Quand le gouvernement réagira-t-il ? Quand les violences et la haine seront-elles stoppées ? Faudra-t-il un nouveau drame ?

    Serge Ayoub, le 24 juin 2013 http://www.voxnr.com/

  • Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le Dîner du SIècle (ou presque) - Emmanuel Ratier

  • Le fait de participer à une manifestation non déclarée ou interdite ne suffit pas à caractériser l'infraction

    D'après les dispositions de l'article 431-3 du Code pénal relatif à la la participation délictueuse à un attroupement :

    "Constitue un attroupement tout rassemblement de personnes sur la voie publique ou dans un lieu public susceptible de troubler l'ordre public. Un attroupement peut être dissipé par la force publique après deux sommations de se disperser demeurées sans effet, adressées par le préfet, le sous-préfet, le maire ou l'un de ses adjoints, tout officier de police judiciaire responsable de la sécurité publique, ou tout autre officier de police judiciaire, porteurs des insignes de leur fonction. Il est procédé à ces sommations suivant des modalités propres à informer les personnes participant à l'attroupement de l'obligation de se disperser sans délai. Toutefois, les représentants de la force publique appelés en vue de dissiper un attroupement peuvent faire directement usage de la force si des violences ou voies de fait sont exercées contre eux ou s'ils ne peuvent défendre autrement le terrain qu'ils occupent. Les modalités d'application des alinéas précédents sont précisées par décret en Conseil d'Etat, qui détermine également les insignes que doivent porter les personnes mentionnées au deuxième alinéa et les conditions d'usage des armes à feu pour le maintien de l'ordre public."

    Alexia Boyeau-Janecourt auteur d'une thèse de droit sur la DESOBEISSANCE POLITIQUE publiée chez l'Harmattan en 2010 indique que cette "infraction n'est donc consommée que si un trouble suffisant apprécié" en fonction du nombre, de l'équipement, des intentions des participants ou de toutes circonstances de temps et de lieu "est démontré".

    Visant un arrêt déterminant pour les actions des Veilleurs de la chambre criminelle du 24 novembre 1899 de la chambre criminelle de la Cour de cassation, elle indique :

    "Il a pu ainsi être jugé qu'un rassemblement "calme et pacifique" (..) n'était pas constitutif d'un attroupement prohibé, alors même qu'il n'y avait pas eu dispersion après les sommations des forces de l'ordre et qu'une contravention aux règlements de police était patente."

    Madame Boyeau-Janecourt cite un jugement du tribunal correctionnel de Nice en date du 22 février 1973 confirmé par un arrêt de la cour d'appel d'Aix-en-Provence du 6 juillet 1973 pour indiquer que

    "Le juge a déjà considéré que la présence de plus de 250 personnes sur le parvis d'une église, en vue de protester pacifiquement contre la guerre du Vietnam "n'était pas en soi un événement pouvant faire craindre aux forces de police que l'ordre pût être troublé", alors même qu'il n'y avait pas eu ni déclaration préalable ni exécution des sommations de dispersion.

    1Madame Boyeau-Janecourt, spécialiste incontestable de la matière, ajoute :

    "Ainsi le fait de participer à une manifestation non déclarée ou interdite ne suffit pas à caractériser l'infraction"

    Dès lors, et sur la base de la jurisprudence "Veilleurs" qui a montré partout en France et depuis plusieurs mois qu'aucun trouble à l'ordre public n'était commis, on voit mal comment des sommations de dispersion régulières pourraient être faites par les forces de l'ordre contre des veilleurs immobiles, "calmes et pacifiques". Si les sommations étaient jugées illégales, les arrestations qui en résulteraient seraient alors arbitraires, les détentions illégales et les personnes ayant données des ordres illégaux ou ayant procédés à des>arrestations arbitraires (forces de l'ordre) sanctionnables pénalement.

    Pour rappel :

    Article 432-4 du code pénal :

    "Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d'emprisonnement et de 100000 euros d'amende. Lorsque l'acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d'une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d'amende."

    Article 122-4

    "N'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte prescrit ou autorisé par des dispositions législatives ou réglementaires. N'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l'autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/