Pierre Cassen, Riposte laïque, cliquez là
Bien sûr, toute la mafia mondialiste a sauté sur cette phrase de Pierre Hillard, prononcée lors d’une réunion de Civitas, pour exiger la dissolution de Civitas. cliquez ici et cliquez là
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Pierre Cassen, Riposte laïque, cliquez là
Bien sûr, toute la mafia mondialiste a sauté sur cette phrase de Pierre Hillard, prononcée lors d’une réunion de Civitas, pour exiger la dissolution de Civitas. cliquez ici et cliquez là

Après avoir procédé à de multiples interdictions frappant les organisations patriotiques au printemps, l'été venu, Darmanin passe à la vitesse supérieure en annonçant une procédure de dissolution à l'encontre du mouvement catholique Civitas.

Ils s’appelaient Enzo Parissot, Axelle Dorier ou encore Adrien Perez. Leur mort n’a pas fait la une de l’actualité nationale ni suscité de réactions dans la classe politique, à quelques exceptions près. Dans un entretien exclusif accordé au Figaro , la mère du jeune Enzo, un adolescent de 15 ans récemment tué à coups de couteau dans une petite commune de l’Eure, s’interrogeait : «Pourquoi ne parle-t-on pas de mon fils ? Parce qu’il ne vient pas d’une cité mais d’une petite commune de 1400 habitants ? Parce que nous sommes restés dans le respect, le silence et le calme ? Pourquoi notre chef de l’État ne vient pas nous rendre hommage ?». Quelques jours avant cet entretien, la mère du jeune homme avait publié un message de la même teneur sur LinkedIn. «Les politiciens, les footballeurs, les stars, vous êtes où ?», questionnait-elle.
Un ministre noir, "identifié comme un homme de gauche, engagé sur les questions de l'antiracisme, de la lutte contre les discriminations", détesté par l'extrême droite, ne peut pas avoir été un mauvais ministre !
Avec de telles dispositions, il serait même malséant d'oser la moindre critique à l'encontre de cette personnalité. Elle n'était tenue à rien d'autre que demeurer elle-même, accueillir les compliments du progressisme et du wokisme et exploiter à fond le statut de victime offert par les "méchantes" droite et extrême droite comme sur un plateau.

La nomination de M. Gabriel Attal ministre de l’EN fait en ce moment l’objet d’une sorte de consensus droite-gauche. Tout le monde est content ou presque. En gros, on se félicite qu’il remplace M. Pap N’Diaye. Car le même consensus voue désormais ce dernier aux gémonies. Or, quand il fut nommé, un peu avant les élections présidentielles, nombre de commentaires, surtout à gauche, s’extasiaient devant l’arrivée au gouvernement d’un homme neuf. Et puis longtemps avant, dès 2017, la nomination de M. Blanquer émerveillait, cette fois-ci la droite macro-compatible : l’homme d’ordre, soi-disant défenseur de la laïcité, au coup de menton facile.

En 2017, les Français avaient élu un individu totalement inexpérimenté et pathologiquement narcissique parce que les médias les avaient manipulés. En 2022, ils ont été assez stupides pour recommencer : le résultat est désastreux sur tous les plans. “L’ambition dont on a pas les talents est un crime” disait Chateaubriand. Macron est un criminel, et les Français qui ont concouru à son élection ou tolèrent sans broncher la démolition du pays à laquelle il se livre en sont les complices, certes moins coupables que la coterie médiatique en adoration devant celui qui la représente si bien, parisienne, superficielle, sensible aux modes et aux chuchotements de ce microcosme qui se veut mondialiste et ignore tout de la réalité du monde.

Ils vous avaient peut-être échappé. Cet été, nous vous proposons de lire ou relire les meilleurs articles publiés cette année par BV.
Cet article a été publié le 30/10/2022.
En octobre 2022, un politologue néerlandais interrogé dans Le Monde faisait part de sa découverte : qualifier certains partis de « néo-nazis » ou « postfascistes » ne convient plus. La dédiabolisation des partis populistes et conservateurs est-elle en marche ?
Après l'arrivée au pouvoir des post, néo, crypto-fascistes de Giorgia Meloni, Le Monde, voyant qu'il se passait quelque chose, mais pas de marche sur Rome, a eu la bonne idée d'aller interviewer un politologue néerlandais spécialiste des populismes européens, un certain Matthijs Rooduijn, enseignant-chercheur au département de sciences politiques à l’université d’Amsterdam (Pays-Bas). Pour beaucoup d'entre nous, il ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes. Mais quand des évidences émanent d'un intellectuel mainstream dans un quotidien mainstream s'adressant à l'électorat Macron, la performance est à saluer.
Décidément, ça ne cause que de l’Ecole Alsacienne de Paris en ce moment !
On se souvient que Pap Ndiaye a mis ses enfants dans cette école de l’Ultra-élite parisianno-administrativo-show-bizo-merdouilleuse. Et ce, selon ses dires, “pour qu’ils aient une scolarité sereine”, en clair, loin des racailles de la diversité enrichissante.

Lorsque que le Journal du Dimanche (JDD) se comportait, jusqu’à l’indécence, comme le journal officiel de la Macronie, ses journalistes n’y trouvaient rien à redire. Ce dimanche, ils entament leur 6 ème semaine de grève pour protester contre la nomination effective, mardi, de Geoffroy Lejeune (ex-directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles) comme patron de la rédaction : un choix éditorial du groupe Lagardère, qui doit être absorbé prochainement par le groupe Vivendi de Vincent Bolloré. Il est tout à fait légitime que la rédaction exige des garanties d’indépendance, même si cette vertu journalistique ne sautait pas aux yeux dans la « dérive Pravda » de l’hebdomadaire, cautionnée par ses rédacteurs.

En cette période estivale, des vols à la roulotte se produisent régulièrement au centre-ville de Reims, avec pour cible privilégiée les véhicules immatriculés à l’étranger supposés contenir de nombreux bagages, mais des « autochtones » font également les frais de ces rôdeurs. Ainsi, le mardi 25 juillet vers 20 heures, deux individus ont été surpris alors qu’ils venaient de casser la vitre d’une voiture rémoise garée rue Chabaud. L’un des auteurs repéré par la police n’a pas couru assez vite.