Le Premier ministre Elisabeth Borne a déclaré que l'augmentation de l'âge de la retraite de 62 à 64 ans "n'est plus négociable", une mesure nécessaire pour assurer l'équilibre du systême, selon elle. Cette augmentation reste contestée par les syndicats et la plupart de l'opposition.
anti-national - Page 76
-
Réforme des retraites : Elisabeth Borne déclare que l'augmentation de l'âge de la retraite de 62 à 64 ans "n'est plus négociable"
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, social 0 commentaire -
Nîmes : un homme avec une OQTF interpellé pour une agression sexuelle à la sortie du collège sur un enfant de 12 ans
Un homme déjà condamné pour des exhibitions sexuelles au jardin de la Fontaine à Nîmes en 2014, est soupçonné d’avoir abordé deux collégiens à la sortie d’un établissement scolaire du Chemin bas d’Avignon à Nîmes.
-
Un ancien ministre du gouvernement Macron-Castex condamné à de la prison avec sursis pour « déclaration incomplète ou mensongère »
Un ex-ministre macroniste condamné pour déclaration mensongère de patrimoine
La cour d’appel de Paris a condamné ce mercredi 4 janvier Alain Griset à quatre mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis, pour déclaration incomplète de patrimoine. Cet ancien ministre délégué aux PME du gouvernement Castex, a été reconnu coupable d’avoir minoré la valeur de son patrimoine dans sa déclaration à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) en août 2020, notamment en ne signalant pas la détention d’un plan d’épargne en actions (PEA) de 171 000 euros et des « participations directes » dans plusieurs sociétés comme la Française des jeux ou Natixis.
-
Pays-Bas : un modèle pour le meilleur des mondes écomoderniste ?
Colin Todhunter
Le « capitalisme du désastre » [1] et les récits de crise servent actuellement à manipuler l’opinion publique et à faire accepter une série de mesures douloureuses qui, sans cela, ne bénéficieraient pas d’un soutien politique suffisant.
Ces mesures sont promues par de puissants intérêts financiers espérant en tirer des gains atteignant des milliards de dollars. Ils cherchent à obtenir le contrôle total de l’alimentation et de la manière dont elle est produite. Leur vision fait partie d’un programme plus large visant à redéfinir la façon dont l’humanité vit, pense et agit.
-
Pourquoi, en 2023, il faudra mener le procès du néo-libéralisme
-
Au temps des vœux pieux
Naturellement la tradition des vœux sincères que l'on échange entre amis ou en famille doit être ici défendue. Elle mérite mieux que l'usage des vœux officiels, hypocrites, creux et mensongers que formulent nos dirigeants. Portant eux-mêmes une grande part de responsabilités dans les nuisances dont nous souffrons, il leur faut une bonne dose de cynisme pour prétendre nous en souhaiter la guérison.
-
A propos des voeux se Macron...
Bernard Germain
L’époque des vœux vient de commencer. Une vraie purge qui va durer tout le mois de janvier. Ça va être long. Vivement février… !
Hier soir, pour lancer cette sinistre période, nous avons eu droit à ceux de Macron. Et on n’a pas été déçus. Ce furent les plus longs de l’histoire de la V° République.
De plus, on aura rarement entendu un discours exposant une situation à ce point en décalage avec la réalité.
Ce type vit indiscutablement dans un monde parallèle, totalement coupé de celui des français.
-
Deux passeurs de migrants arrêtés au Pays basque : 325 clandestins seraient passés en quatre mois
-
Rockefeller, Rothschild, Morgan : le Deep State sort de l’ombre, par Tsargrad
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, international, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Projet de loi sur l’immigration au parlement : reculer pour mieux sauter
Le 15 novembre, Pierre Brochand, un ancien directeur des services secrets et ambassadeur, a prononcé un discours sur l’immigration à l’amicale gaulliste du Sénat. Il a lancé une sévère mise en garde aux sénateurs présents : « soit on reste benoîtement dans les clous et on se borne à accompagner le phénomène, en votant, tous les 3 ou 4 ans, des lois qui font semblant de traiter de l’immigration, mais qui, en fait, relèvent de sa gestion administrative et technocratique. Ce n’est que reculer pour mieux sauter. Soit on réussit à se dépêtrer de notre camisole et à reprendre, en faisant enfin preuve de volonté politique, le volant du camion fou qui roule tout seul depuis 50 ans » (1).