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avortement et euthanasie - Page 103

  • 95% des enfants diagnostiqués avec la trisomie ont été éliminés

    Françoise Muller, membre correspondant de l'Académie nationale de pharmacie,écrit dans Le Figaro :

    "En 2010, plus de 55. 500 femmes ont accepté de subir une amniocentèse et l'on a dénombré 2 000 diagnostics de trisomie qui ont débouché, dans près de 95 % des cas, sur une demande d'interruption médicale de grossesse.

    Or, le test génomique relance un débat éthique car il permet de faire le diagnostic à un stade précoce. Les avortements pratiqués pour cause de trisomie ne seraient plus des interruptions médicales de grossesse, mais de simples IVG… D'autant que des études sont en cours pour identifier d'autres anomalies du caryotype fœtal. Entre un progrès médical évident et une dérive eugéniste hypothétique, seule une information rigoureuse, scientifiquement pertinente et médicalement utile peut aider les futurs parents à décider librement et en toute connaissance de cause."

    5% cela fait 100 survivants sur 2000. L'eugénisme n'est pas hypothétique, il est bien réel.

    Michel Janva

  • 40 Days for Life : 546 enfants sauvés de l’avortement

    La campagne d’automne des 40 Days for Life s’est achevée hier dimanche 2 novembre sur un bilan, provisoire, particulièrement remarquable : 546 enfants à naître ont déjà été signalés à la coordination de la campagne comme sauvés de l’avortement. Et ce nombre continuera à croître au cours des jours qui viennent, le temps que les informations soient vérifiées sur place par les vigiles et remontent à la coopération.

    De mémoire, c’est le plus grand nombre de bébés à naître sauvés au cours d’une campagne, de toute l’histoire des 40 Days for Life lancés modestement voici exactement dix ans !

    Americatho s’est associé à la campagne qui vient de s’achever en constituant une chaîne de prière avec plus d’un millier de personnes, 89 messes ont été célébrées (ou le seront en action de grâce)…

    La prochaine campagne se déroulera pendant tout le Carême de 2015, du mercredi 18 février (Cendres) au dimanche 5 avril (Rameaux).

    Michel Janva

  • Euthanasie : « une mauvaise réponse à une question qui ne se pose pas »

    Lu sur Gènéthique :

    "Dans une tribune proposée dans le magasine Valeurs actuelles, Damien le Gay, membre du comité scientifique de la SFAP (Société française d’accompagnement et de soins palliatifs) constate que l’accablant rapport Sicard de 2012 sur la fin de vie n’a été suivi d’aucun effet : « Les français redoutent de mourir à l’hôpital, ils craignent l’indignité constatée et sont certains qu’ils n’auront alors plus leur mot à dire. Ils souhaitent plus de confort, plus d’écoute, plus de soins palliatifs. Et comme tout se fait attendre toujours et encore, ils disent vouloir l’euthanasie – de guerre lasse, sans enthousiasme, résignés qu’ils sont. Plutôt que d'entendre les doléances, on ne retient que la mauvaise solution. »"

    Michel Janva

  • Le témoignage d’une ‘top model’ colombienne victime d’un avortement

    Amada Rosa Pérez déclare :

    durant ces moments de grossesse j’aurais tellement aimé trouver l’aide de quelqu’un qui me dise quelque chose de beau et de positif, par exemple que devenir maman n’est pas mal.

    Plus de 40 associations espagnoles se rassembleront sous la devise ‘chaque vie compte’ pour organiser une grande manifestation le 22 novembre, en faveur de la vie, de la femme et de la maternité.

    ADans ce contexte est retransmis le témoignage de la top model Amada Rosa Pérez, victime d’un avortement et par conséquent du syndrome post avortement. Ce syndrome est une réalité par laquelle passent toutes les femmes ayant avorté, que ce soit de manière délibérée ou spontanée. Parmi les manifestations de ce syndrome se retrouvent le sentiment de culpabilité et de tristesse, le désespoir, un pessimisme cauchemardesque, une perte de concentration et de motivation, des sanglots permanents sans motif apparent, de la perte de forces, des nausées. Cela peut déboucher en anorexie, alcoolisme, refus de tout ce qui suppose engagement, froideur affective, et bien d’autres conséquences encore.

    La top model explique qu’elle avorta parce qu’elle ne recevait de son entourage que des mots l’enjoignant à mettre en premier ses objectifs et son avancement professionnel. Elle confesse que cela lui fit peur, qu’elle ne dit rien à ses parents et décida de se séparer de son bébé.

    Dans ce contexte l’organisation ‘chaque vie compte’ défendra, en plus de la vie du non né, la protection de la femme enceinte, qui a besoin d’un entourage et d’un appui social, où soit défendu le droit à la maternité avec des mesures concrètes d’aide à la femme enceinte pour l’aider à trouver des alternatives à l’avortement. 

    Le Salon Beige

  • Euthanasie : François, ne fais pas comme la Hollande

    L'ADMD a lancé sa campagne pour l'euthanasie en appellant François Hollande à faire comme aux Pays-Bas, où l'euthanasie est légalisée. Mais ce pays n'est pas une exception et connait des dérives tout comme la Belgique : plus de 300 euthanasies sont réalisés chaque année. Une note de l'Institut Renaissance indique :

    • "Une interpellation du Comité des Droits de l’homme de l’ONU

    En juillet 2009, le Comité des Droits de l’homme de l’ONU s’est inquiété du nombre élevé de cas d’euthanasies et de suicides assistés. Il a demandé aux Pays Bas de réviser la législation pour se mettre en conformité avec les dispositions du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966. Deux sujets ont été abordés en particulier :

    - Le nombre important d’euthanasies et de suicides assistés, et sa progression chaque année ;

    - Certaines modalités posent question : le fait d’autoriser un médecin à mettre fin à la vie d’un patient sans recourir à l’avis d’un juge, et le fait que le deuxième avis médical requis puisse être obtenu au travers d’une ligne téléphonique d’urgence.

    • Des euthanasies clandestines persistantes

    Courant 2008, des députés français se sont rendus aux Pays-Bas dans le cadre de l’évaluation de la loi fin de vie de 2004. Le Rapport d’information de novembre 2008 relève que le taux de signalement des cas d’euthanasie est en constante augmentation depuis 2002. Cela n’empêche pas un fort tauxd’euthanasies clandestines, estimé par le Ministère de la Santé néerlandais à 20% qui pose donc la question de la transparence de cette législation.

    En 2012 le  journal néerlandais De Volkskrant révèle que près de300 euthanasies avaient été réalisées sans demande explicite de la part du patient ou de ses proches au cours de l’année.

    • Un manque de respect et de contrôle des procédures

    Cette loi présente plusieurs caractéristiques qui interrogent :

    - Les critères d’évaluation du degré de la souffrance du patient sont flous. Le contrôle qui se fait à posteriori vérifie plus le respect de la procédure que la réalité des motifs médicaux justifiant cette euthanasie ;

    - l’appréciation du médecin est subjective et la méconnaissance de la loi n’est pas sanctionnée ;

    • Sédations inappropriées

    Selon une étude du Centre Intégral du Cancer néerlandais (IKNL), les soins apportés aux patients en phase terminale ne sont pas appropriés. Chaque année, 1700 cas de sédations en fin de vie relèveraient d’une pratique inadéquate pouvant cacher des euthanasies.

    • Exil de personnes âgées

    L’Ordre des médecins allemands fait état de l’installation croissante de personnes âgées néerlandaises en Allemagne voisine. S’y sont ouverts des établissements pour personnes âgées accueillant des Néerlandais. Ces personnes craignent en effet que leur entourage ne profite de leur vulnérabilité pour abréger leur vie. Elles n’ont plus confiance dans les praticiens hollandais. Les pratiques médicales hollandaises sont mal vécues par une partie de la population.

    • Des euthanasies sur des personnes ne remplissant pas les conditions

    Le rapport 2009 des commissions régionales de contrôle néerlandaises fait état de 12 cas d’euthanasie pratiquée pour des maladies neurologiques, dont des personnes démarrant la maladie d’Alzheimer.

    • Les soins palliatifs ne sont pas suffisamment utilisés.

    Les pouvoirs publics n’ont pas prêté l’attention nécessaire aux soins palliatifs et à l’accompagnement des mourants.

    L’ADMD semble donc avoir choisi un bien mauvais exemple pour promouvoir sa demande de légalisation de l’euthanasie. Cette loi, loin de ne faire qu’encadrer des euthanasies déjà existantes, les a démultipliées, et n’a pas réussi à toutes les encadrer. Dans ce pays où plus de 300 euthanasies par an sont réalisées sans l’accord du patient  les personnes âgées n’ont plus confiance envers le personnel médical. Tout comme la Belgique les Pays-Bas sont présentés comme un exemple à suivre sur les questions de fin de vie mais commencent à donner un aperçu sérieux de dérives jugées inconcevables dans un premier temps. Et cela se manifeste seulement treize ans après l’entrée en vigueur de cette loi sur l’euthanasie active. La majorité des demandes d’euthanasie seraient liées à une souffrance physique insupportable et donc à de mauvaises pratiques médicales dans le traitement de la douleur. Les Pays-Bas semblent avoir fait le choix de former ses médecins aux maniements des produits létaux plutôt qu’aux soins palliatifs. Dès lors le malade n’a donc le choix qu’entre souffrir ou demander l’euthanasie. Il faut lui offrir un troisième choix : être soulagé de sa douleur. Il est donc primordial, avant toute chose, de poursuivre le programme de développement des soins palliatifs en France et d’empêcher toute loi sur l’euthanasie qui entrainerait automatiquement ces terribles dérives."

    Michel Janva   http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Y a-t-il un futur euthanasié par ici ?

    Le texte qui prévoyait de légaliser l’euthanasie, examiné mardi au sénat, a été supprimé par deux amendements. S’il y avait bien quelque chose à supprimer, c’était ce texte, n’importe comment, n’importe quoi. Et personne d’autre.

    L’opération n’en est pas moins réussie : comme tous les six mois, on reparle de l’euthanasie. Cette fois, le sujet est trop grave pour que l’on prenne au sérieux des arguments comme "nous sommes en retard", ou "d’autres pays le font". On ne peut encore moins prétendre que ce "retard" incombe aux "lobbies de catho extrémistes", comme le fait sans rire Jean-Luc Romero, principal soutien de cette loi. Dans la foulée, il ajoute : "C’est incroyable que la France, qui était en avance auparavant, soit désormais en retard sur ces questions de société". "Les politiques sont tellement conservateurs et tellement soumis à l’Eglise". L’absence de crédibilité de la phrase précédente annihile toute l’argumentation du personnage, vous en conviendrez.

    Comme le dit simplement Jean Leonetti (auteur de la loi de 2005 sur la fin de vie), "Il n’y a pas des pays en avance et la France en retard". Les arguments habituels des progressistes, c’est-à-dire ceux qui n’en sont pas, doivent être rejetés. Avec raison, Leonetti a dénoncé le lobbying exercé par l’association de Romero : "Elle ne peut pas tous les six mois faire une proposition identique en espérant qu’elle passe", ce qui rappellerait furieusement la méthode employée pour faire adopter la constitution européenne et autres avancées sociales bourdonnantes (le mariage gay, par exemple)…

    Ce qui frappe à chaque fois que ce débat est exhumé, c’est l’appel à la dignité. Les partisans de l’euthanasie évoquent même la dignité ultime qu’est le choix de la mort. Comment peut-on affirmer qu’il est digne et même suprêmement digne de permettre à un individu d’en finir ? Dans cette affaire, "Ceux qui prétendent savoir sont soit des ignorants soit des menteurs", a encore affirmé Jean Leonetti, en plaidant pour "Une culture du doute collectif" tout à fait pertinente. Seulement voilà : en face, il y a l’émotion, la souffrance, la dignité… tout ça ne laisse guère de place au doute et aux arguments. Toute bonne émission qui traite du sujet exhibera un malade incurable en phase terminale, convoquera une mère éplorée qui dira qu’on a pas idée de la souffrance qu’a connu son fils, que son agonie a été interminable, indigne du pays des Droits de l’homme. Que ce n’était pas humain de lui faire ça. Que répondre, sereinement, sans devenir un monstre ? Madame, votre fils n’était pas représentatif ? Madame, nous devons cultiver le doute collectif ? Impossible.[...]

    La suite sur Ring

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Y-a-t-il-un-futur-euthanasie-par

  • L'euthanasie, c'est le non-sens comme réponse au non-sens

    Extrait de la réponse de Marie-Sylvie Richard, religieuse xavière et médecin en soins palliatifs, à une consoeur catholique qui se justifie, dans un ouvrage, d'avoir accédé en Belgique à des demandes réitérées d'euthanasie :

    "Quelle est la liberté du médecin dans cette situation ? [L'auteur] considère que dans certaines situations difficiles, on n’a pas d’autres moyens que de répondre à la demande d’euthanasie. Qu’il faut reconnaître son impuissance et suivre le malade dans sa supplique. A la Maison Médicale Jeanne Garnier comme dans d’autres unités de soins palliatifs, nous ne refusons pas les personnes qui réclament l’euthanasie, au contraire nous sommes particulièrement attentifs à leur souffrance et l’on cherche à leur donner les meilleures conditions de soulagement pour que leur souffrance intérieure puisse être apaisée si possible. Nous nous intéressons à la question du sens que posent souvent malades et proches ; dans un très grand nombre de cas, les patients changent d’idée.

    Confrontée au non-sens de la souffrance, [l'auteur] accède dans certains cas à l’euthanasie. Mais pratiquer l’euthanasie, ce n’est pas pour moi donner du sens ! C’est répondre au non-sens par le non-sens. C’est s’octroyer un pouvoir considérable, démesuré sur autrui, que je veux respecter comme personne unique et sacrée, qui ne m’appartient pas."

    Louise Tudy

  • Euthanasie : le prix à payer pour la survie de la majorité ?

    En échange de son soutien au gouvernement, le PRG aurait obtenu de Manuel Valls l’assurance qu’un texte sur la fin de vie serait déposé au parlement. Damien Le Guay s’indigne d’un tel « marchandage » sur une question aussi fondamentale.

    Est-il possible d’imaginer que le sort des 550 000 personnes qui, chaque année, en France, sont en fin de vie, soit suspendu à des tractations politiciennes entre le Premier ministre et « l’illustre » M Baylet -furieux de n’avoir pas retrouvé son siège de sénateur ? Non. Peux-on concevoir que la question de l’euthanasie soit mise dans la balance pour que les radicaux de gauche « daignent » rester au gouvernement ? Non plus. Est-il pensable que certains puissent vouloir forcer le travail de la commission Léonetti-Claeys, mise en place en juin, pour aller au-delà des conclusions qu’elle devait rendre en décembre ? Encore moins. Non. Tout cela est impensable. Mais qui peut le dire ! Sait-on jamais !

    Le Premier ministre, le 16 octobre, à fait parvenir une longue lettre à Jean-Michel Baylet pour lui dire, entre autre, que sur « la fin de vie », « le gouvernement veut avancer sur cette question », qu’il « faudra aller au-delà » de la loi Léonetti, qu’il y « aura une loi » bientôt pour « aboutir à une nouvelle étape ». Pourquoi tant de sous-entendus quand on sait que les radicaux de gauche sont fraternellement favorables à l’euthanasie et proche de l’ADMD ? S’agit-il de les réconforter pour mieux les décevoir, ou de les rassurer sans pour autant le dire ouvertement ? Est-ce à dire que l’euthanasie, qui n’est pas au programme de la commission Léonetti-Clayes, pourrait être réintroduite in fine ? Sommes-nous dans le petit jeu des palinodies politiciennes, des faux-semblants, des arrangements d’état-major politique ? On a du mal à le penser tant le Premier Ministre insiste sur l’idée d’une république exemplaire, d’un sérieux du politique, d’une démocratie à la recherche d’un consensus. Mais sait-on jamais ! [....]

    Damien Le Guay

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Euthanasie-le-prix-a-payer-pour-la

  • Sédation profonde jusqu’au décès : gare à l’euthanasie masquée !

    Alliance VITA prend acte du nouveau rapport du Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE) sur le débat public concernant la fin de vie.

    [...] "Pour Tugdual Derville, Délégué Général d’Alliance VITA : « La focalisation du débat sur la question de l’euthanasie tend à occulter les vraies questions qu’il est temps de régler au sommet de l’Etat. Or, certaines assertions du CCNE nous surprennent : est-ce vraiment sérieux d’affirmer qu’ « une immense majorité des personnes en fin de vie » endurerait « une situation d’abandon »,  et qu’ « une très grande majorité de nos concitoyens » aurait une « fin de vie insupportable » (p.5 du rapport) ? Pareil constat outrancier alimente la peur, voire une panique devant la mort, qui déstabilise profondément notre société.

    Certes, nous demandons depuis des années une politique plus ambitieuse sur la fin de vie, mais il faut aussi reconnaitre les immenses progrès faits dans la lutte contre la douleur et l’accompagnement. Pourquoi noircir à ce point le tableau ? En quoi mourir serait devenu « insupportable » dans les sociétés occidentales ? 

    Le CCNE semble tirer de ce constat la promotion de ce qu’il nomme la « sédation profonde jusqu’au décès ». C’est une grave dérive. Nous sommes favorables à la sédation « en phase terminale » : elle doit être prudente, réévaluée selon les critères déontologiques des personnels de santé. Ils peuvent même prendre le risque que la mort survienne plus vite. Mais nous contestons formellement l’euthanasie masquée que constitue la « sédation terminale »  telle qu’elle est décrite dans le rapport, et promue en complément non seulement des arrêts de traitements (ce qui est légitime) mais aussi d’arrêts délibérés d’alimentation et d’hydratation. 

    D’abord la sédation terminale est une forme d’euthanasie car il s’agit d’un moyen de provoquer délibérément la mort, quel que soit le moyen employé. Les deux critères qui définissent l’euthanasie sont en effet l’intention de provoquer la mort et ce résultat.

    Ensuite les promoteurs de l’injection létale auront beau jeu de dénoncer l’hypocrisie d’une euthanasie qui ne dit pas son nom. C’est déjà leur argument pour obtenir les étapes suivantes : l’euthanasie par injection létale ou le suicide assisté.

    Nous alertons enfin sur l’articulation entre des directives qui deviendraient « contraignantes » et ce prétendu droit à la sédation terminale : cela aboutit à faire injonction au médecin d’administrer la mort. 

    Alliance VITA lancera, à partir du 3 novembre, une grande campagne d’explication dans toute la France pour alerter contre cette menace d’une euthanasie masquée. S’il le faut, nous inviterons avec d’autres mouvements les citoyens de toute sensibilité et de tout métier à descendre dans la rue, unis autour d’une même demande : ni acharnement thérapeutique, ni euthanasie, mais accompagnement des patients dans la dignité jusqu’au terme de leur vie. »"

    Marie Bethanie