Un car sera au départ de Reims pour la marche du dimanche 25 janvier 2015.
Rendez-vous 11h15 place St-Symphorien (derrière la cathédrale).
Contact: 03.26.85.63.34.
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Un car sera au départ de Reims pour la marche du dimanche 25 janvier 2015.
Rendez-vous 11h15 place St-Symphorien (derrière la cathédrale).
Contact: 03.26.85.63.34.
Un bus partira de Troyes (Aube) le 25 janvier 2015. Il y aura des arrêts intermédiaires à Mery/Seine, Romilly/Seine, Nogent/Seine et Provins.
Contact : 06.88.32.04.25
Départ le 25 janvier 2015 à 8h30 pour se rendre à la Marche pour la vie à Paris. Retour vers 22h.
Tarifs aller-retour : 35 €, couples 50 €, ecclésiastiques, étudiants, personnes en difficultés financières: 15 €, familles: 70 €.
Réservations au 06 88 67 43 10 ou marchepourlavie@gmail.com
La Marche pour la Vie recherche toujours des volontaires, pour coller et tracter en amont, mais aussi pour la journée du 25.
Pourquoi ? Jugez un peu en lisant le calendrier établi par Tugdual Derville, surFrance catholique :
"La CEDH se réunira dans sa formation plénière appelée « Grand chambre », composé de 17 juges, pour examiner la requête, déposée le 23 juin 2014 par les parents, la sœur et un demi-frère de Vincent Lambert.
Ces proches, contre l’avis d’autres membres de la famille du patient toujours hospitalisé à Nancy, demandent la suspension de l’exécution de la décision du Conseil d’État français qui, le lendemain 24 juin, autorisait l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert, lourdement handicapé depuis 2008. (...) L’examen se fera en audience publique, mais la décision de la CEDH sera rendue ultérieurement. (...)"
(...) Marisol Touraine a aussi annoncé pour « la mi-janvier [2015], à l’occasion de l’anniversaire de la promulgation de la loi, un plan cohérent pour améliorer l’accès à l’IVG sur l’ensemble du territoire ». Elle menace notamment les médecins qui refusent de pratiquer l’IVG au-delà de l’ancienne limite légale de 10 semaines de grossesse : « il est inadmissible de prendre des libertés avec ce droit ». Pour la ministre de la Santé l’IVG est « un droit fondamental qu’il faut célébrer et réaffirmer ».
A noter que le projet de loi de Santé, retardé pour le mois d’avril, envisage à nouveau la pratique de l’IVG par les sages-femmes, réforme deux fois invalidée par le Conseil constitutionnel.
Ce débat majeur, quoique sans vote, a été annoncé le 12 décembre 2014 par le président de la République lors de la remise du rapport et de la proposition de loi co-signés par les députés Alain Claeys (PS) et Jean Leonetti (UMP). Ce débat viserait à mesurer le degré d’adhésion des groupes politiques à ces textes qui tentent d’éviter « les mots qui fâchent » selon l’expression du Premier ministre, tout en introduisant un « droit à la sédation profonde jusqu’à la mort ».
Le mouvement Soulager mais pas tuer, parrainé par Philippe Pozzo di Borgo, qui a inspiré le film Intouchables, analyse cette expression comme « ouvrant la porte à certaines formes d’euthanasie, d’autant plus graves qu’elles seraient masquées ».
Manuel Valls, qui avait promis un débat consensuel au Parlement, a confirmé depuis son intention de légiférer « par paliers » afin, croit-il, de ne pas provoquer un mouvement social comparable à celui qui s’est opposé à la loi Taubira.
Dans le cadre de la niche parlementaire des députés verts est déjà programmé l’examen de la proposition de loi de Véronique Massoneau (EELV) qui vise à légaliser explicitement « une aide active à mourir [NDLR euthanasie] ou d’un suicide médicalement assisté. »
Son colloque avait reçu, le 27 novembre 2014, le soutien remarqué de Jean-Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale. Un fort courant de l’actuelle majorité parlementaire peut en effet être tenté par le vote d’une loi plus permissive que celle proposée par le duo Leonetti-Claeys."
Autrement dit, quatre bonnes raisons de se rendre à la Marche pour la vie le 25 janvier à Paris, pour dire non à l'avortement, et non à l'euthanasie.
Dans un communiqué, Marche pour la vie : digne jusqu'au bout de la vie, les AFC appellent à participer à la prochaine Marche pour la vie.
"Les AFC réaffirment l'importance du respect de la vie de la conception à la mort naturelle et affirment la dignité intrinsèque de l'Homme. Les AFC sont partie prenante de cette manifestation et invitent tous les responsables d'AFC à se mobiliser pour informer leurs adhérents, organiser des transports jusqu'aux lieux de manifestation et participer aux actions."
Le maire de Neuilly, Jean-Christophe Fromantin est harcelé (voir la vidéo) par un conseiller municipal UMP qui lui reproche d'avoir voté contre la résolution sur l'avortement. Ce conseiller, Franck Keller, ose déclarer :
"Cette loi a permis, à partir de 1974, de sauver de nombreuses vies".
220 000 avortements par an, cela fait combien de vies sauvées ? On retrouve là la désinformation habituelle des partisans de la culture de mort. Le mal devient bien, la mort devient vie.
Voilà une vidéo faite par des étudiants en médecine qui explique en quoi la sédation terminale est une euthanasie. Alix Frenais, porte parole, explique pourquoi les médecins sont opposés à la sédation terminale lors du rassemblement au Trocadéro mercredi :
"Soulager et mettre tout en place pour combattre les souffrances de nos patients, c'est OUI. Donner la mort c'est NON et c'est là tout le sens de notre engagement au sein de Soulager mais pas tuer".
Mgr François Duthel, curé de la paroisse Saint-Claude de Tassin, signe cette lettre sur l'avortement dans La Croix :
"Il ne faut donc pas confondre dépénaliser et légaliser (...) Dépénaliser n’exprime en rien la bonté d’un acte et le considérer comme relevant d’un bien. Si le législateur n’a fait que dépénaliser, c’est parce qu’il a senti qu’il ne lui revenait pas de légaliser un acte qui n’est pas de soi légalisable ; il ne peut pas dire autre chose que le respect de tout être humain, indépendamment du stade de son existence. Il ne revient pas à la loi de décider du moment de l’existence de l’être humain. N’en déplaise à certains, c’est donc un abus de langage de parler de la loi de Simone Veil comme d’une loi qui légalise l’avortement.
C’est anesthésier les consciences de laisser penser que ce qui n’est qu’une dépénalisation devenait un droit au sens strict et que ce qui était prétendument légal serait naturellement moral. C’est laisser penser qu’un tel acte est un acte banal sur le plan moral comme bien d’autres actes chirurgicaux. Nombre de femmes se sont laissé piéger par une telle dérive du vocabulaire qui est aussi une dérive morale, du sens de l’homme comme du sens des relations affectives et sexuelles. Nous savons les séquelles psychologiques que cela peut occasionner après coup chez de nombreuses personnes qui considèrent que l’avortement est un moyen de contraception parmi d’autres, laissant penser qu’un tel acte est banal et n’a aucune conséquence. Les praticiens de la psychologie sont souvent témoins des répercussions négatives du mode de pensée actuel en la matière."
A l'occasion du triste 40ème anniversaire de la loi Veil, tous à la Marche pour la Vie le 25 janvier 2015 !
A la suite de l’annonce par le ministre de la Justice espagnol de la prochaine approbation de plusieurs amendements à la réforme du registre civil, afin de prendre en compte l’enregistrement des naissances par mères porteuses, des experts en éthique accusent le gouvernement espagnol de légaliser de façon dissimulée les « ventres de location » et la vente d’êtres humains.
Répondant à ce projet du ministère de la Justice espagnol d’inscrire au Registre Civil les naissances générées par « gestation par procuration », connue comme maternité de subrogation ou « ventre à louer », les experts en éthique s’expriment : la gestation par procuration est une pratique illégale en Espagne. Ces dernières années s’est développé un commerce fort lucratif par lequel des couples de sexe identique ou différent, ou bien des personnes célibataires, se rendent dans certains pays afin de « se procurer » des enfants portés par des femmes de là-bas.
En toute logique, les enfants portés par des mères à l’étranger ne sont pas coupables de ne pas êtres enregistrés en Espagne. Ce qui est logique et cohérent si l’on suit l’ordonnance juridique, serait d’inscrire les enfants dans leur pays de naissance et comme enfants de leur mère biologique, puis de faire les démarches d’adoption munie de toutes les garanties.
En tous les cas, le gouvernement espagnol ne doit pas légaliser l’enregistrement de ces enfants s’il veut être cohérent avec la législation interdisant la maternité subrogée. Cette pratique doit être universellement abolie parce qu’elle fragilise la dignité de la femme et convertit l’enfant en un produit de commerce. La maternité est un patrimoine de la femme et sa vente ou location est offensive. L’enfant de premier âge, comme l’affirme la Déclaration des Droits de l’Enfant, ne doit pas se séparer de la mère sauf cas exceptionnels.
Le porte parole de Femme, Mère et Professionnelle déclare :
« Il est paradoxal que le Gouvernement espagnol maintienne une loi qui conduise la femme, face à la plus minime des difficultés, à avorter, sans protection ni aide aucune. Et à la fois de légaliser de façon dissimulée l’achat et la vente de bébés en utilisant la femme comme instrument. L’inscription en Espagne d’enfants provenant de grossesses par procuration est une offense à la dignité de la personne parce qu’elle permet la procréation sans famille. »
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
Les personnes intéressées par le tractage peuvent commander le tract de la MPLV2015, ici, ou le télécharger sur internet.
A suivre, l'évènement FB.