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avortement et euthanasie - Page 99

  • Le Grand Orient nous refait le coup de la République en danger

    Pour la rentrée, la franc-maçonnerie a prévu de ne pas perdre un seul instant. D’un côté, le mois de janvier sera l’occasion d’une offensive accélérée visant à légaliser au plus vite l’euthanasie, un projet mortifère porté par toutes les obédiences maçonniques.

    D’autre part, la franc-maçonnerie compte multiplier les initiatives lui permettant d’endosser son costume de victimisée. Car, c’est bien connu, quand la franc-maçonnerie est menacée, c’est la république qui agonise…

    Le Grand Orient de France (GODF) a prévu une petite tournée de conférences qui commence ce 10 janvier à Lyon avec la participation annoncée de plusieurs élus.

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  • L’avortement est la source de toutes les autres dérives

    Jean-Marie Le Méné est interrogé dans L'Action Française 2000 à propos de la prochaine Marche pour la vie, le 25 janvier. Extrait :

    A"La Marche pour la vie du 25 janvier prochain est une initiative très importante, car c’est le seul rendez-vous politique, depuis dix ans maintenant, qui ose aborder de front la question de l’avortement. Et l’avortement est la source de toutes les autres dérives sur le plan sociétal : toutes les transgressions que nous avons connues (dépistage automatique et avortements consécutifs, PMA, recherches sur l’embryon, etc.) ont été justifiées par l’avortement : “on l’a accepté, il faut accepter le reste ”. Le principal argument en faveur de l’euthanasie est de dire que maîtriser le début de la vie implique d’en maîtriser la fin, surtout quand il s’agit de tuer des personnes en fin de vie et non pas de très jeunes humains. Alors, bien sûr, l’avortement est un drame humain, une souffrance pour les femmes, un problème moral difficile, etc., mais il ne faut pas tomber dans le déni de réalité : la réalité de l’acte de tuer ne peut pas être cachée, sauf à vouloir en dissimuler l’horreur pour mentir au peuple français. Ne pas donner mauvaise conscience, comme le disent certains chrétiens, est un très mauvais argument, une faute, au regard des enjeux : la conscience existe, et le fait d’avoir mauvaise conscience n’est-il pas le début de la sagesse ?

    L’avortement n’est d’ailleurs pas qu’un problème moral...

    Il y a, en effet, une deuxième réalité de l’avortement, totalement occultée, c’est que quarante ans d’avortement, c’est dix millions de Français en moins, c’est un trou démographique qui a été creusé. Il est censé être comblé par l’immigration, mais ça ne fonctionne pas. Pierre Chaunu, Jean Foyer, Jean Fourastié et Jérôme Lejeune l’avaient d’ailleurs annoncé à l’époque.L’avortement, c’est la mort de l’enfant à naître, mais aussi de la famille et de la nation. Et jusqu’à une date récente, on a toujours placé l’avortement sur le plan moral, jamais sur le plan politique, on ne voulait pas faire le lien… “X a avorté, faut la comprendre”... Alors que l’Europe est saignée à blanc et ne s’en remettra pas du jour au lendemain. Aujourd’hui, un Philippe de Villers ou un Éric Zemmour en parlent. Pour ceux qui ont une responsabilité politique, c’est un crime d’avoir autorisé l’avortement et de n’avoir pas anticipé ses conséquences morales, sociales et démographiques. Et c’est largement la responsabilité de ce qu’on appelle “la droite” !"

    Michel Janva

  • Questionnaire pour tous

    Quel avenir pour la Manif pour tous ? Quel conseils donneriez-vous à ses organisateurs ? Afin de mieux répondre aux attentes de ses sympathisants (notamment sur l'abrogation ou la réécriture de la loi Taubira), LMPT lance une consultation nationale jusqu'au 10 janvier. N'hésitez pas à diffuser le questionnaire autour de vous, en évitant les réseaux sociaux (merci, par conséquent, de ne pas "liker" ou "retweeter" ce post).

    Louise Tudy

  • Les féministes ont osé : les 40 days for death

    Vous connaissiez les 40 Days for life, qui permettent de sauver des enfants de l'avortement  grâce à une mobilisation plus intense pendant 40 jours, jeûne et prière à la clé. Un collectif d'associations "féministes" a lancé son pendant morbide, à savoir un compte à rebours de 40 jours jusqu'au 17 janvier, où elles fêteront dans la rue les 40 ans de la loi Veil, et ses 220 000 morts annuels. Inutile d'aller sur leur site, qui ne mérite pas qu'on l'aide à grimper dans les résultats des moteurs de recherche. Sachez juste que la ville de Paris, la mairie du 4e arrondissement, la région Ile de France, l'ONU femmes et... les Femen font partie des

    "partenaires dont l’engagement sur cette journée fait sens par rapport à leurs valeurs" (sic)

    MPLV

    Pour que votre engagement sur la bonne journée, à savoir celle du 25 janvier, fasse sens par rapport à vos valeurs, ne soyez pas seulement partenaire, venez marcher nombreux pour la vie à Paris. Pour trouver ou organiser un bus, télécharger des tracts ou donner un coup de main, c'est par ici.

    Louise Tudy

  • Avortement : pourquoi l'Espagne a reculé

    Jeanne Smits a traduit un texte de Mgr Reig Pla, dont voici un extrait :

    "[...] Récemment le président du gouvernement espagnol et du Partido Popular a retiré la réforme de la loi de l’avortement qui prétendait « limiter » quantitativement l’horrifique saignée des« enfants assassinés avant de naître » (pape François, 25-11-2014), certainement un crime abominable (Concile Vatican II, Gaudium et Spes, 51), un holocauste continu de vies humaines innocentes(saint Jean-Paul II, 29-12-1997). Sur tout cela je me suis déjà exprimé dans un message du 24 septembre dernier : « Appeler les choses par leur nom. Une véritable tâche pour les catholiques. » Mais quels sont les véritables motifs de ce retrait ?

    Le plat de lentilles : aujourd’hui un poste au Conseil de Sécurité des Nations unies, mais également l’accès à d’autres sphères de pouvoir et au financement

    Pour bien comprendre cette décision du président du gouvernement il ne suffit pas de recourir à des analyses électoralistes. Avec tout le respect dû à sa personne, il faut dire qu’une décision aussi grave répond à d’autres exigences comme nous le montre le document : « Priorités de l’Espagne aux Nations unies. 69e période de sessions de l’Assemblée plénière », un document que l’on peut trouver sur le site web du ministère des Affaires étrangères. Ces « priorités » font partie de ce que le gouvernement de l’Espagne était disposé à faire (il le faisait déjà en parfaite continuité avec les législatures qui l’ont précédé) pour obtenir un place au Conseil de sécurité des Nations unies. La place a été obtenue, aujourd’hui nous savons pourquoi : ils ont fait ce qu’ils viennent de faire et ce qu’ils vont continuer de faire avec entière diligence, tant au niveau national qu’à celui des gouvernements autonomes. [...]

    Avec le document Priorités de l'Espagne aux Nations Unies, 69ème période de session de l'Assemblée plénière que nous sommes en train de commenter, se confirmer une fois de plus ce que nous savions tous : nous nous sommes convertis en serviteurs des institutions internationales pour la promotion de ce qu'on appelle la gouvernance globale ou Nouvel Ordre mondial au service de l'impérialisme transnational de l'argent, qui a forcément fait pression pour que l'Espagne ne soit jamais un exemple pour l'Amérique latine et pour l'Europe pour ce qu'il considère comme une « régression » inadmissible en matière d'avortement est pour ce qu'on appelle les droits LGBTIQ.

    [...] C'est pour cela que notre combat, comme nous le rappelle l'apôtre Paul, « n’est pas contre la chair et le sang, mais contre les principautés et les puissances, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres » (Eph. 6, 12). C'est pour cela qu'il est nécessaire, comme nous y exhortait le même apôtre, de nous revêtir des armes de Dieu : « Tenez donc ferme, ayant vos reins ceints de la vérité, revêtus de la cuirasse de la justice, les pieds chaussés de zèle pour l’Evangile de la paix, prenant par-dessus tout le bouclier de la foi, au moyen duquel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin » (Eph, 6, 14-16). Nous catholiques, en ce moment nous sommes devant une véritable croisée des chemins, et il est nécessaire de nous demander qui nous sommes disposés à servir : ou bien les dieux et leur messagers de cette nouvelle religion laïque, ou le Dieu véritable. Comme aux temps de Josué notre réponse ne peut-être autre que celle-ci : « Moi-même et ma maison, nous servirons le Seigneur » (Jos. 24,15)."

    Michel Janva

  • 21 janvier : mobilisation contre l'euthanasie

    Le jour même du grand débat sur la fin de vie, à l'Assemblée, le collectif Soulager mais pas tuer organise une mobilisation. Cette journée d’action se traduira par des initiatives multiples, dans toute la France, et un rassemblement dans la capitale, à proximité de l’Assemblée nationale.

    Cette mobilisation est complémentaire à la manifestation nationale qui se déroulera à Paris le dimanche suivant 25 janvier.

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    Michel Janva

  • Marche pour la vie : un bus au départ de Reims

    Un car sera au départ de Reims pour la marche du dimanche 25 janvier 2015.

    Rendez-vous 11h15 place St-Symphorien (derrière la cathédrale).

    Contact: 03.26.85.63.34.

    Michel Janva

  • Marche pour la vie : un bus au départ de Troyes

    Un bus partira de Troyes (Aube) le 25 janvier 2015. Il y aura des arrêts intermédiaires à Mery/Seine, Romilly/Seine, Nogent/Seine et Provins.

    Contact : 06.88.32.04.25

    Michel Janva

  • Marche pour la Vie : un ou deux cars au départ de Saumur (49)

    Départ le 25 janvier 2015 à 8h30 pour se rendre à la Marche pour la vie à Paris. Retour vers 22h.

    Tarifs aller-retour : 35 €, couples 50 €, ecclésiastiques, étudiants, personnes en difficultés financières: 15 €, familles: 70 €.

    Réservations au 06 88 67 43 10 ou marchepourlavie@gmail.com

    La Marche pour la Vie recherche toujours des volontaires, pour coller et tracter en amont, mais aussi pour la journée du 25.

    Louise Tudy

  • Janvier : chaud devant

    Pourquoi ? Jugez un peu en lisant le calendrier établi par Tugdual Derville, surFrance catholique :

    • 7 janvier : la Cour Euro péenne des Droits de l’Homme examine le cas Vincent Lambert

    "La CEDH se réunira dans sa formation plénière appelée «  Grand chambre  », composé de 17 juges, pour examiner la requête, déposée le 23 juin 2014 par les parents, la sœur et un demi-frère de Vincent Lambert.

    Ces proches, contre l’avis d’autres membres de la famille du patient toujours hospitalisé à Nancy, demandent la suspension de l’exécution de la décision du Conseil d’État français qui, le lendemain 24 juin, autorisait l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert, lourdement handicapé depuis 2008. (...) L’examen se fera en audience publique, mais la décision de la CEDH sera rendue ultérieurement. (...)"

    • 17 janvier  : un nouveau plan pour célébrer les 40 ans de la promulgation de la loi [Veil]

    (...) Marisol Touraine a aussi annoncé pour «  la mi-janvier [2015], à l’occasion de l’anniversaire de la promulgation de la loi, un plan cohérent pour améliorer l’accès à l’IVG sur l’ensemble du territoire  ». Elle menace notamment les médecins qui refusent de pratiquer l’IVG au-delà de l’ancienne limite légale de 10 semaines de grossesse  : «  il est inadmissible de prendre des libertés avec ce droit  ». Pour la ministre de la Santé l’IVG est «  un droit fondamental qu’il faut célébrer et réaffirmer  ».

    A noter que le projet de loi de Santé, retardé pour le mois d’avril, envisage à nouveau la pratique de l’IVG par les sages-femmes, réforme deux fois invalidée par le Conseil constitutionnel.

    • 21 janvier  : un grand débat sur la fin de vie à l’Assemblée nationale.

    Ce débat majeur, quoique sans vote, a été annoncé le 12 décembre 2014 par le président de la République lors de la remise du rapport et de la proposition de loi co-signés par les députés Alain Claeys (PS) et Jean Leonetti (UMP). Ce débat viserait à mesurer le degré d’adhésion des groupes politiques à ces textes qui tentent d’éviter «  les mots qui fâchent  » selon l’expression du Premier ministre, tout en introduisant un «  droit à la sédation profonde jusqu’à la mort  ».

    Le mouvement Soulager mais pas tuer, parrainé par Philippe Pozzo di Borgo, qui a inspiré le film Intouchables, analyse cette expression comme «  ouvrant la porte à certaines formes d’euthanasie, d’autant plus graves qu’elles seraient masquées  ».

    Manuel Valls, qui avait promis un débat consensuel au Parlement, a confirmé depuis son intention de légiférer «  par paliers  » afin, croit-il, de ne pas provoquer un mouvement social comparable à celui qui s’est opposé à la loi Taubira.

    • 29 janvier  : la proposition de loi écologiste pour l’euthanasie débattue par les députés

    Dans le cadre de la niche parlementaire des députés verts est déjà programmé l’examen de la proposition de loi de Véronique Massoneau (EELV) qui vise à légaliser explicitement «  une aide active à mourir [NDLR euthanasie] ou d’un suicide médicalement assisté.  »

    Son colloque avait reçu, le 27 novembre 2014, le soutien remarqué de Jean-Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale. Un fort courant de l’actuelle majorité parlementaire peut en effet être tenté par le vote d’une loi plus permissive que celle proposée par le duo Leonetti-Claeys."

    Autrement dit, quatre bonnes raisons de se rendre à la Marche pour la vie le 25 janvier à Paris, pour dire non à l'avortement, et non à l'euthanasie.

    Louise Tudy