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avortement et euthanasie - Page 105

  • Espagne :La moitié des électeurs du PP ne revoteront pas pour le PP

    ... en raison de son refus de restreindre l'avortement :

    "Ainsi, le Parti populaire est parvenu en cédant à toutes les révolutions sociétales socialistes (« mariage gay », avortement…) à descendre presque aussi bas que le PS français alors qu’il fait nettement mieux sur le terrain économique : réduction des déficits publics, légère baisse du chômage (qui reste malgré tout très élevé), retour à une croissance modérée après plusieurs années de récession… Tout ceci après avoir hérité d’une situation catastrophique causée par plusieurs années de gestion socialiste calamiteuse (immigration de masse, bulle immobilière gigantesque…). [...]

    De leur côté, les associations pro-vie appellent les Espagnols à ne plus voter pour le PP et à venir manifester massivement contre l’avortement le 22 novembre prochain. Cet appel a été lancé par une quarantaine d’associations qui représentent plus de 4 millions de familles espagnoles."

    Michel Janva

  • SOS Tout Petits rassemblé devant Notre-Dame de Paris

    L’infatigable Docteur Xavier Dor dirigeait une fois de plus la récitation d’un rosaire pour la Vie. C’était aujourd’hui devant Notre-Dame de Paris.

    http://medias-presse.info/sos-tout-petits-rassemble-devant-notre-dame-de-paris/15975

  • Pour le CSA, les trisomiques n’auraient pas le droit d’être heureux et de le dire ?

    Sept jeunes trisomiques viennent de saisir le Conseil d’État contre le CSA. Pas une association, pas leurs parents. Sept jeunes trisomiques en personne, majeurs et non protégés, agissant comme n’importe quel citoyen. Parce qu’ils se sont sentis blessés et discriminés.

    Souvenez-vous, c’était au printemps. À l’occasion de la Journée mondiale de la trisomie 21, quatre chaînes de télévision avaient diffusé le clip « Dear Future Mom » : s’adressant à une future mère attendant un bébé atteint de trisomie 21, de jeunes trisomiques du monde entier s’employaient à la rassurer, lui énumérant tout ce que son enfant, en dépit de son handicap, parviendrait à faire.

    Mais le CSA n’a pas aimé. Excipant du mécontentement manifesté, selon lui, par quelques téléspectateurs, il s’est fendu, au début de l’été, d’un avis. Un avis, disons-le, bâclé et rendu sans se fouler.

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  • 17 questions sur l'avortement

    Mgr José Gea Escolano, missionnaire au Pérou, pose les questions qui fâchent :

    "Le thème de l’avortement est d’actualité. On parlait beaucoup ces derniers jours de la question de savoir si la loi d’avortement du gouvernement Zapatero allait être modifiée, si on allait la laisser telle quelle, si la promesse du PP allait s’accomplir, si le PP va perdre beaucoup de voix en faisant marche arrière, s’il faut rechercher un consensus… Ce qui est certain, c’est que le Président a dit qu’il retirait le projet de loi, qu’il est parti pour la Chine et qu’immédiatement, le ministre de la Justice a démissionné.

    Les partisans de l’avortement semblaient attendre la réforme de la loi pour pouvoir se jeter comme des hyènes furieuses dans la mêlée pour défendre l’avortement, et d’autres semblaient espérer que la réforme ne soit pas mise de côté parce qu’en ce cas ils cesseraient de voter pour le PP. On allait vers un vrai bazar. Chacun sait à quoi s’attendre et se prépare en conséquence.

    Dans cet article je me propose de poser juste quelques questions pour que chacun y réponde en cherchant la vérité, en laissant de côté ce qui relève de ma vérité et de ta vérité, parce que la vérité est une et qu’elle coïncide avec le bien ; et le bien n’est ni à moi ou à toi, c’est le bien commun.

    Allons-y donc pour les questions :

    1. Qu’est-ce que l’avortement ? L’élimination de la vie d’un être humain pendant qu’il grandit dans le sein maternel. Non ?

    2. Le gouvernement a-t-il la faculté de permettre la destruction d’un être humain conçu mais pas encore né, c’est-à-dire du nasciturus ? Il croit l’avoir depuis 1985 où il a commencé à s’arroger la faculté de supprimer des vies humaines innocentes.

    3. Ce qu’il y a dans le ventre d’une femme enceinte, est-ce ou non un être humain, l’enfant de la femme qui l’engendre ? Et si c’est d’une femme, qu’est-ce ? Certainement pas un petit chevreau !

    4. La femme a-t-elle le droit d’avorter son enfant ? Parce que, une fois avorté et même si on appelle par euphémisme l’avortement « interruption volontaire de la grossesse », ce qui est avorté n’est-il pas définitivement un enfant mort ? [Lire la suite]"

    Michel Janva

  • Procès du Dr Xavier Dor (reportage vidéo)

    L’équipe vidéo de Médias Presse Info accompagnait le Dr Xavier Dor lors de son procès. Reportage à la sortie de l’audience.

    http://medias-presse.info/proces-du-dr-xavier-dor-reportage-video/15609

  • Sur la duplicité de Najat Vallaud-Belkacem

    Marie Philippe, responsable du site www.ivg.net, a publié le 11 septembre une tribune dans Valeurs Actuelles :

    "La loi Vallaud Belkacem sur « l’égalité hommes/femmes » qui vient d’entrer en vigueur le 3 août 2014 veut non seulementbanaliser un peu plus l’avortement mais recèle en son sein unedisposition particulièrement inquiétante pour la liberté d’expression de ceux qui mettent en garde les femmes tentées par l’IVG au sujet de sa gravité tant sur le plan physique que psychologique. Action dont le site www.ivg.net s’est fait la spécialité grâce à sa bonne position sur les moteurs de recherche.

    A l’occasion de la première lecture au Senat de cette loi, un groupe de sénateurs socialistes avait déposé et fait voter avec le soutien du gouvernement un amendement qui vise à étendre le délit d’entrave à l’IVG à ceux qui feraient «  des pressions morales et psychologiques, à l'encontre des  femmes venues y subir ous’informer sur l’IVG ». Ainsi le nouvel article L2223-2 place sous la menace d’une peine correctionnelle (2 ans de prison !) ceux et celles qui feraient une information « non conforme » sur l’ivg.

    Pour motiver son amendement qui a reçu le soutien total  de Mme Belkacem, voici  ce que disait au Sénat le 16 septembre 2013 la sénatrice Rossignol (PS) :

    J'ai recueilli, hier, le témoignage d'une femme de 40 ans ayant eu recours à l'IVG. Elle a dû attendre trois heures dans une clinique pour voir un gynécologue, qui lui a fait subir une échographie avec son et image en s'écriant « Oh ! Le beau bébé ! ». Je vous épargne les détails sordides sur l'IVG médicamenteuse puis le curetage et les remarques désobligeantes d'un autre praticien. Je me suis interrogée. Je ne dispose pas de statistiques, mais suis convaincue qu'un tel cas n'est pas isolé. Nous défendons un amendement relatif au délit d'entrave à l'IVG. Je me suis demandée s'il ne faudrait pas l'étendre aux équipes médicales.

    On pressent dans cette incroyable intervention, que la simple évocation par un médecin ou un tiers auprès d’une femme enceinte d’un « accueil possible de la vie »  risque de devenir de plus en plus problématique …

    Le lendemain Mme Rossignol tentait de rassurer les sénateurs devant l’ambigüité de son texte « Pour qu’il n’y ait pas de confusion, je précise que cet amendement ne concerne pas les actions pouvant être menées sur internet. Mme la ministre aura peut-être l’occasion de revenir sur ce sujet qu’elle a, me semble-t-il, déjà évoqué, hier, dans son intervention. Notre proposition est restreinte aux seules manifestations physiques ayant lieu hors des murs des hôpitaux »

    Cela n’empêche pas Mme Valaud-Belkacem de déclarer triomphalement sur le site l’express.fr du 31 juillet « Et puis, cet autre frein auquel sont confrontés les femmes, ces sites Internet qui, sous couvert de neutralité, font en réalité du prosélytisme anti-IVG et ont pour objectif de dissuader les femmes de faire usage de leur droit dans les premières semaines, alors même que le délai est légalement contraint. La loi que je viens de faire adopter prévoit de sanctionner désormais cette entrave à l'information. La loi de 1975 prévoyait déjà de sanctionner l'entrave physique à la pratique d'une IVG, ces gens qui se postent devant les cliniques ou les hôpitaux pour empêcher les femmes d'y pénétrer. Mais, en 1975, on ne connaissait par Internet. Il est aujourd'hui avéré que la principale pression psychologique faite aux femmes, c'est sur Internet qu'elle a lieu. Le fait d'empêcher une femme d'accéder à une information neutre et fiable sur l'IVG sera désormais poursuivi.

    On peut mesurer maintenant  l’incroyable duplicité de Mme Belkacem et ses amies qui prétendent avant le vote que la loi que l’information sur internet restera libre mais qui après sa promulgation veulent en découdre avec les sites commewww.ivg.net qui tentent de dissuader les femmes de recourir à l’IVG. La mauvaise foi est encore flagrante quand Mme Belkacem prêtant que c’est la loi Veil de 1975 qui a institué le « délit d’entrave », alors qu’il s’agit en fait de la loi Neiertz de 1993 (du nom de la proposition de la députée communiste Neiertz).

    L’extension à « l’information » du délit d’entrave crée donc maintenant dans l’indifférence générale une atteinte caractéristique au niveau des libertés fondamentales et des droits constitutionnels car :

    • la définition de l’incrimination pénale est particulièrement imprécise  avec une lourdeur de peine disproportionnée.
    • la loi porte atteinte à la liberté de toute personne de communiquer des informations sur la grossesse et sur l’avortement en  les « menaçant » ;
    • et elle porte atteinte au droit des femmes à recevoir des informations sur leur grossesse et sur l’avortement fussent-elles dissonantes par rapport au discours officiel."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Non, l'euthanasie n'est pas "catho-compatible" !

    Cyril Douillet, rédacteur-en-chef de la revue Ombres et lumière, s'inquiète de la parution d'un ouvrage au titre racoleur (Médecin catholique, pourquoi je pratique l'euthanasie), qui a donné lieu à quelques recensions bienveillantes dans la presse dite chrétienne. Son article, paru dans les Cahier libres, s'achève ainsi :

    "Si l’on doit éviter de juger la personne, un jugement sévère s’impose sur cet ouvrage qui sonne comme un plaidoyer, une justification.  Parce qu’il laisse entendre que l’euthanasie est compatible avec la médecine ( !), avec les soins palliatifs (!!), et avec la foi chrétienne (!!!), ce livre peut faire beaucoup de mal parmi le public chrétien, auquel, de toute évidence, il est destiné. Il risque de semer le doute, de créer la division, d’abaisser la vigilance, voire de faire basculer des hommes de bonne volonté qui se laisseront séduire par la « sincérité » de l’auteur, l’oscillation permanente entre la transgression et la bienveillance, les exemples parfois poignants, les réflexions pertinentes, les références spirituelles.

    En même temps, parce qu’il est un témoignage parvenu d’un pays où l’interdit a sauté [ndlt : la Belgique], il offre une édifiante démonstration des conséquences morales de la légalisation de l’euthanasie dans une société, y compris dans ses sphères les plus immunisées en apparence contre ce poison. De toute évidence, l’euthanasie légale pervertit la dynamique d’accompagnement de la fin de vie ; elle encourage la toute-puissance médicale ; elle pousse les professionnels et les familles à des compromissions terribles ; elle accoutume insidieusement à la barbarie. Tout cela a de quoi, en France, nous mobiliser avec la plus grande énergie contre toute évolution comparable de la loi, et pour d’authentiques soins palliatifs. C’est peut-être le seul mérite de ce livre."

    Plutôt que la lecture de cet ouvrage, on recommandera plutôt la (re)lecture de la lettre encyclique de Saint Jean-Paul II, Evangelium Vitae (§ 65 et suivants). Notamment (§ 66) :

    "Partager l'intention suicidaire d'une autre personne et l'aider à la réaliser, par ce qu'on appelle le « suicide assisté », signifie que l'on se fait collaborateur, et parfois soi-même acteur, d'une injustice qui ne peut jamais être justifiée, même si cela répond à une demande. « Il n'est jamais licite — écrit saint Augustin avec une surprenante actualité — de tuer un autre, même s'il le voulait, et plus encore s'il le demandait parce que, suspendu entre la vie et la mort, il supplie d'être aidé à libérer son âme qui lutte contre les liens du corps et désire s'en détacher; même si le malade n'était plus en état de vivre cela n'est pas licite ». Alors même que le motif n'est pas le refus égoïste de porter la charge de l'existence de celui qui souffre, on doit dire de l'euthanasie qu'elle est unefausse pitié, et plus encore une inquiétante « perversion » de la pitié: en effet, la vraie « compassion » rend solidaire de la souffrance d'autrui, mais elle ne supprime pas celui dont on ne peut supporter la souffrance. Le geste de l'euthanasie paraît d'autant plus une perversion qu'il est accompli par ceux qui — comme la famille — devraient assister leur proche avec patience et avec amour, ou par ceux qui, en raison de leur profession, comme les médecins, devraient précisément soigner le malade même dans les conditions de fin de vie les plus pénibles."

    Louise Tudy

  • Elle refuse l’avortement à la vue de l’échographie de son bébé

    Par une vidéo transmise sur YouTube, intitulée « l’histoire de mon quasi-avortement », une jeune femme de 20 ans raconte comment elle renonça à sa tentative d’avortement après avoir vu l’échographie de son bébé.

    La jeune femme, qui s’identifie comme “AutumnBabydolllxx”, signale que, bien qu’elle se considère pro-choix, l’expérience de l’avortement « est très difficile à endurer » et que « certaines filles regrettent vraiment de l’avoir fait et ensuite repensent toujours à leur bébé. »

    Elle explique sa décision de raconter son histoire en vidéo parce qu’elle

    « voulait dire à tous comment cela s’est passé pour moi, parce que je n’ai pas passé un bon moment là-bas.» (à la clinique d’avortement) 

    La conseillère de la clinique d’avortements était « honnêtement, une femme de mauvaises intentions », qui lui disait que « parce que j’ai 20 ans je ne peux pas prendre soin d’un bébé. » Alors qu’elle mettait sa blouse, se préparant pour la procédure, AutumnBabydolllxx commença à réfléchir à « pourquoi suis-je en train de faire cela ? ».

    « Je pouvais simplement m’imaginer porter dans mes bras mon deuxième enfant si je me défaisais de celui-ci, et je pensais ‘et bien, ton grand frère n’est pas là...’ et tout simplement je ne pouvais pas vivre avec ce sentiment, pensant que j’allais m’en repentir. Alors voilà, ce n’est pas pour moi ».

    Mais l’élément définitif pour qu’elle refuse l’avortement allait arriver. Lorsqu’on lui fit l’échographie

    « ce fut vraiment une prise de conscience. Evidemment ils trouvèrent le bébé à l’écho et je ne pouvais pas le croire. »

    Tandis qu’elle quittait la clinique avec des sentiments contraires, la jeune femme se souvient redire en boucle à son amoureux « le bébé est vraiment là, le bébé est vraiment là ».

    « Je ne regrette pas d’avoir refusé l’avortement . « Je ne peux m’empêcher de sourire parce que j’étais si négative auparavant et si apeurée alors qu’il n’y a rien à craindre.»

    Le Salon Beige

  • 40 Days for Life, c'est parti !

    La campagne d’automne des 40 Jours pour la Vie (40 Days for Lifeest lancée aujourd'hui mercredi 24 septembre, elle s’achèvera dans 40 jours, c’est-à-dire le dimanche 2 novembre.

    Pendant des 40 jours, des vigiles ininterrompues vont se succéder devant des avortoirs aux États-Unis et dans d’autres pays, 24 h sur 24, et 7 jours sur 7, afin de prier pour la fin de l’avortement, ce « crime abominable ».

    Il ne s’agit pas de juger ni de stigmatiser : il s’agit de porter témoignage du caractère sacré de la vie, et de la vie à naître.

    Depuis son lancement aux États-Unis, la campagne des 40 Days for Life a mobilisé plus de 625 000 volontaires dans 3 039 campagnes locales qui se sont déroulées dans 539 villes réparties dans 24 pays. Le résultat de ces efforts, ce sont 8 973 vies sauvées de l’avortement !

    Daniel Hamiche propose de constituer une chaîne de prière “de l’arrière”. En quoi consiste-t-elle ? À prier pendant ces 40 jours dix Je Vous salue Marie aux intentions de cette campagne. Chaque jour. Pendant 40 jours. Accepterez-vous de vous joindre à ce pieux effort ? Il vous suffit de le signaler ici.

    Michel Janva

  • Manif du 5 octobre : « L’humain n’est pas une marchandise »


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    Présent publie un numéro Hors série spécial Manif du 5 octobre, avec huit pages en couleurs. Il sort le 19 septembre en kiosque. Vous y trouverez des entretiens exclusifs avec Ludovine de La Rochère, Albéric Dumont, Marion Maréchal-Le Pen, Béatrice Bourges, Philippe Brillault, Les Antigones, Stop Gender etc.

    Albéric Dumont y déclare notamment :

    "Nous avons demandé à nos sympathisants, dès le mois de juin, de se tenir prêts pour une mobilisation de masse à la rentrée. Nous avions obtenu le retrait des fameux ABCD de l’Egalité qui, sous couvert d’« égalité fille-garçon », faisaient entrer l’idéologie du genre dans les établissements scolaires. Mais le gouvernement les a remplacés insidieusement par un dispositif plus dangereux dont la diffusion est plus large.Dès cette rentrée, la formation initiale de tous les professeurs va « s’enrichir » d’un module consacré à l’égalité entre les sexes. Pour les enseignants déjà en exercice, le ministre prévoit un système de formation continue. Une « mallette pédagogique » va également être mise à la disposition des profs sur la base des modules des ABCD.

    La nomination de Najat Vallaud Belkacem, qui est une figure emblématique, est une provocation supplémentaire qui nous conforte dans notre choix de descendre dans la rue. Nous sommes le peuple, il est très en colère et vous verrez que nous serons encore plus nombreux.

    La deuxième revendication c’est le retrait de la circulaire Taubira sur la GPA qui favorise l’accueil en France des enfants nés d’une mère porteuse à l’étranger. Pour nous, il s’agit d’une incitation à pratiquer la location d’utérus. Nous manifestons contre cette transformation de la femme en objet de consommation. Avec ce slogan : « L’humain n’est pas une marchandise »."

    Michel Janva