Utiliser les photos d’une enfant handicapée, sans l’aval de ses parents cela va de soi, pour promouvoir l’extermination des indésirables, c’est le procédé pour le moins répugnant utilisé par le lobby pro-mort. L’information a été donnée par Le Salon Beige dans son édition du 6 février.
Natalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett, une maladie génétique extrêmement rare qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères. Elle tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l’avortement. Sur Twitter, elle réagit : « Cette fois, c’est trop. Cette personne n’a pas le droit d’utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d’aussi horrible ». Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l’ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l’origine du post. Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l’insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d’être traités comme tous les enfants. Natalie partage d’ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.
On voit tout « l’humanisme » des partisans du lobby pro-mort, prêts à n’importe quelle récupération, au mépris des souffrances des familles, pour promouvoir leur culte kalinais. Y compris s’approprier des photos de famille.
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/les-methodes-repugnantes-du-lobby-pro-mort/87576/
Natalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett. Extrêmement rare, le syndrome de Rett est une maladie génétique qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères.
Si le nombre de grossesses des jeunes filles mineures a diminué en France ces dernières décennies (aux alentours de 18 000 en 2015), celles-ci se soldent par une IVG dans les 2/3 des cas. Bien souvent, la jeune fille est pourtant désireuse de donner la vie à son enfant, et a pour cela besoin d’un accompagnement bienveillant et rassurant. Or les parents sont la plupart du temps démunis et apeurés devant ces grossesses imprévues. Dans nos pays occidentaux où l’âge au premier enfant frise les 30 ans, les grossesses précoces déstabilisent et sont parfois mal acceptées, mal assumées aussi face à la société. Inquiets pour l’avenir de leur fille, ce sont souvent les parents qui la poussent, voir la contraignent, à l’avortement.
"Alors que le fait d'abuser de la femme scandalise et mobilise enfin la planète entière, la France laissera-t-elle la Conférence de La Haye faciliter cette nouvelle forme d'aliénation qu'est la pratique des mères porteuses ?