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avortement et euthanasie - Page 45

  • Beaucoup de soignants quittent la profession, écœurés des actes mortifères qu’on leur fait commettre

    6a00d83451619c69e201b7c944ef1b970b-250wi.pngOdile Guinnepain, infirmière en soins palliatifs et responsable de l’antenne « Nos mains ne tueront pas », a bien voulu répondre aux questions du Rouge & le Noir. Extraits :

    "Une délégation de professionnels de santé sera en tête de la marche pour la première fois cette année. Pourquoi ce choix ?

    Tout simplement pour faire entendre la voix des soignants sur toutes ces problématiques liées à la vie parce qu’on oublie qu’elles les concernent directement. Qui pratique les IVG, les IMG, qui délivre les MCU (moyens de contraception d’urgence), qui administre les sédations terminales dont beaucoup sont euthanasiques, qui administre les traitements et pratique les actes pour la PMA, … ? Ce sont des professionnels de santé : médecins, sages-femmes, infirmières, pharmaciens, etc... Par la force des choses, tous ces actes nécessitent l’intervention de soignants. Pour autant, cela ne signifie pas qu’ils le font aisément ou dans une consciencieuse indifférence ! Nous n’avons pas choisi ce métier pour détruire la vie. Nous l’avons choisi pour la servir !

    C’est la raison pour laquelle nous serons présents en délégation à la MPV ; afin de manifester notre refus de participer et de nous rendre responsables de tous ces actes, et indirectement, de leurs conséquences ; mais aussi pour demander une clause de conscience beaucoup plus libre. Beaucoup de soignants quittent la profession, écœurés des actes mortifères qu’on leur fait commettre.

    Quels sont les enjeux pour les professionnels de santé de la révision de la loi de bioéthique qui s’ouvre actuellement ?

    Ils sont nombreux car les projets actuels ne visent qu’à transgresser toujours la loi naturelle ou à continuer d’ouvrir les portes de la culture de mort. Par exemple, la PMA, qui, déjà et en soi, transgresse la conception d’un enfant dans la relation homme/femme, va s’ouvrir à des femmes vivant ensembles ou à des célibataires. Les professionnels vont donc se rendre complices de faire « engendrer » des enfants fabriqués et non conçus que l’on fera sciemment orphelins de père ! Oui, dès les premiers actes, soit les injections aux femmes, d’hormones stimulant la production d’ovocytes (prescrites par des médecins et pratiquées par des infirmières hospitalières ou libérales), les soignants se rendront complices de ces « fabrications » d’enfants moralement illicites. Auront-nous l’accès à l’objection de conscience dans la PMA pour toutes ?

    Si l’aide médicale à mourir ou l’aide médicale au suicide sont légalisés, qui va injecter les produits létaux ? Ce sont les médecins qui vont les prescrires, ce sont les infirmières qui vont poser les seringues contenant les produits ou les injecter directement et ce sont les aides-soignantes qui poursuivront les soins de nursing et de confort en assistant aux agonies provoquées (pas forcément confortables !) des patients. Et ce sont les pharmaciens qui délivreront les produits létaux ! Comme pour la PMA mais aussi l’IVG, l’IMG etc.. à tous les niveaux de la chaîne, ces actes concernent éthiquement et en conscience tous les professionnels de santé : Sacré responsabilité morale !

    Il en sera de même pour la congélation des ovocytes ou des spermatozoïdes effectués par des biologistes, de même pour la GPA qu’elle soit « médicale » ou pour permettre aux hommes vivant ensemble ou célibataires d’avoir des enfants. L’acte et la surveillance médicale des mères porteuses étant faite par des professionnels du soin. Et tant d’autres violations….

    Comment jugez-vous la situation actuelle de la liberté de conscience du corps médical ?

    Actuellement, sous certaines conditions, les médecins ont accès à l’objection de conscience dans 3 problématiques :

    Actuellement, l’objection de conscience est accessible aux médecins pour trois types de situations :

    Le refus de stérilisation : « Un médecin n’est jamais tenu de pratiquer cet acte visée contraceptive mais il doit informer l’intéressé de son refus dès la première consultation. » (article L.2123-1 du code de la santé publique).

    L’interruption volontaire de grossesse : « Un médecin n’est jamais tenu de pratiquer une interruption volontaire de grossesse mais il doit informer, sans délai, l’intéressée de son refus et lui communiquer immédiatement le nom de praticiens susceptibles de réaliser cette intervention selon les modalités prévues l’article L.2212-2.  » (article L.2212-8 du code de la santé publique)

    « Un médecin ne peut pratiquer une interruption volontaire de grossesse que dans les cas et les conditions prévus par la loi ; il est toujours libre de s’y refuser et doit en informer l’intéressée dans les conditions et délais prévus par la loi. » (article R.4127-18 du code de la santé publique).

    Cependant, La loi n°2001-588 du 4 juillet 2001 relative à l’IVG et la contraception a supprimé une disposition de l’ancien article L.2212-8 du code de la santé publique qui reconnaissait aux chefs de services des établissements de santé publics la possibilité de à s’opposer ce que des interruptions volontaires de grossesse soient réalisées dans leur service. Cela signifie donc que le chef de service a le droit de refuser de réaliser personnellement une interruption volontaire de grossesse mais il ne peut imposer ses propres convictions personnelles et professionnelles à l’ensemble de son service.

    La recherche sur l’embryon : « (…) aucun médecin ou auxiliaire médical n’est tenu de participer quelque titre que ce soit aux recherches sur des embryons ou sur des cellules souches embryonnaires autorisées en application de l’article L.2151-5. » (article L.2151-7-1 du code de la santé publique) ;

    Il est aussi important de préciser que ce n’est pas parce qu’un soignant ne pratique pas directement l’acte « grâce » à son objection de conscience qu’il en est complètement détaché. En effet, en âmont ou en aval, il administre les soins nécessaires aux femmes concernées. Ce n’est pas simple à vivre !

    Pour ce qui est de la fin de vie, on assiste à des dérives sérieuses et bien plus fréquentes qu’on ne le croit, au sujet de la sédation à laquelle les soignants ne peuvent rien dire. En effet, la « sédation profonde, continue jusqu’au décès » telle qu’énoncée dans l’article 3 de la loi Claeys/Léonetti, n’est pas « officiellement » un acte euthanasique, donc portant atteinte à une vie humaine ; donc pas de clause de conscience possible dans ces cas-là. Ce souci touche en particulier les infirmières. En effet, les médecins étant prescipteurs et décideurs, ils ne sont pas « obligés » de prescrire une sédation qui, dans l’acte, serait désorsonnée. Par contre, lorsqu’elle est prescrite par un médecin à qui cela ne pose aucun problème de conscience, l’infirmière a obligation d’appliquer la prescription. Beaucoup d’infirmières vivent très mal ces situations et peinent réellement à se faire entendre sur les questions éthiques que posent ces actes et leur multiplicité. [...]"

    Michel Janva

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  • Nous assistons de la part de ceux qui sont pour l’avortement à une agressivité de plus en plus significative

    6a00d83451619c69e201b8d2cf4352970c-250wi.pngCécile Edel, présidente de l’association Choisir La Vie et vice-présidente de la Marche pour la Vie, a bien voulu répondre aux questions du Rouge & le Noir. Extraits :

    "L’adoption l’année dernière de loi sur le délit d’entrave à l’avortement a-t-elle eu des conséquences pour les associations pro-vies ?

    Concrètement, dans l’exercice de nos actions quotidiennes au service de la vie, non, pas spécialement, excepté pour les antennes d’écoute aux femmes enceintes, dont celle de Choisir la Vie « Sos femmes enceintes » qui, ont depuis l’an dernier subit une baisse significative d’appels en raison de la méfiance qu’a pu engendrer le vote de cette loi. Encore une fois d’ailleurs, ce sont les femmes enceintes en difficulté qui en sont les premières victimes car finalement, si on regarde bien, cette loi n’a apporté aucune solution ni à leur détresse, ni à leur souffrance.

    En revanche un constat inquiétant : depuis le vote de cette loi, sur les réseaux sociaux ou dès qu’il y a débat sur l’avortement, nous assistons de la part de ceux qui sont pour l’IVG, à une agressivité de plus en plus significative. Un climat malsain de délation et de dénonciation s’est instauré avec souvent des menaces de poursuites judiciaires juste parce que nous avons osé écrire ou dire que nous étions contre l’avortement ou même tout simplement qu’un embryon n’était pas qu’un amas de cellules ! C’est très grave ! Nombreux sont ceux qui utilisent aujourd’hui cette loi (alors qu’ils n’ont même pas lu les termes de celle-ci) pour faire taire ceux qui défendent la vie et entraver leur liberté d’expression.

    La dénonciation s’est en quelque sorte institutionnalisée. En effet, sans qu’elle soit explicitement mentionnée, celle-ci est en fait sous-entendue et même induite par les textes eux-mêmes. Un des effets pervers de la loi est ainsi d’inciter finalement des particuliers à opter pour une attitude de dénonciation des associations susceptibles d’apporter un autre discours sur l’avortement que celui autorisé par la pensée unique L’aspect répressif de la loi l’emporte largement sur la reconnaissance de droits, le soupçon de mensonges est omniprésent. Tout discours, vérité, arguments qui, normalement participent à tout débat, sont, venant de nos associations, considérées comme des preuves d’un soit disant « délit d’entrave ». [...] 

    Michel Janva

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  • Le SIEL appelle à participer à la 12ème Marche pour la Vie

    6a00d83451619c69e201b7c944e17d970b-250wi.pngDe Brigitte Dussouds, Déléguée régionale SIEL de Ile-de-France, Responsable nationale Famille – Bioéthique :

    "Pour sa 12ème édition, la Marche pour la Vie réaffirmera à nouveau son attachement inconditionnel au respect de la vie, à une époque où la banalisation de l’avortement n’a jamais été aussi forte. Les défenseurs de la vie humaine entendent ainsi sauvegarder un modèle de société qui refuse le drame de l’avortement, en proposant pour cela une véritable politique de santé visant à diminuer les 220 000 avortements annuels.

    La Marche pour la Vie revendique ainsi :

    • la mise en œuvre d’une politique de santé protégeant réellement les individus de leur conception à leur mort naturelle ;
    • l’application d’une politique visant à diminuer le nombre d'avortements, en proposant des alternatives à l'avortement et une véritable politique familiale, comme c'est déjà largement le cas dans la plupart des pays européens où ce nombre diminue d'année en année ;
    • le maintien de l'interdiction de l'euthanasie, ce qui passe par une volonté véritable d'appliquer enfin les décisions prises en faveur des soins palliatifs : le médecin ne doit pas soigner d'une main et tuer de l'autre ;
    • une reconnaissance de l'embryon humain en qualité de personne et non pas d’objet ou de matériau.

    2018 sera l'année de la révision de la loi de Bioéthique, précédée des ‘’États Généraux de la Bioéthique’’. Autant dire que l'année 2018 sera celle de tous les dangers en ce qui concerne la Vie ! Ces menaces se dissimulent pour l’heure sous couvert d’opérations d'enfumage médiatique : le sondage biaisé du journal ‘’La Croix’’ indiquant qu’une majorité de Français serait favorable à des lois qui iraient contre la vie, sondage où l'on évoque également la GPA « médicalisée » ; les questionnaires préalables aux ‘’États Généraux des agences régionales de biomédecine’’ où l'on demande aux citoyens s'ils sont favorables à la PMA pour les couples d'hommes…

    Il est capital que la manifestation la Marche pour La Vie soit un succès cette année encore, davantage même que les années précédentes ! La Marche pour La Vie sera un interlocuteur incontournable dans les débats à venir et développera un vrai travail de veille au bénéfice de nos concitoyens. Une forte mobilisation sera ainsi un signal puissant en direction du gouvernement qui doit plus que jamais se convaincre de l’existence d’une opposition forte face aux dérives bioéthiques à venir !

    Conscient des enjeux politiques à venir et déterminé à défendre à chaque instant la dignité humaine, le SIEL invite tous ses adhérents et sympathisants à participer nombreux, le dimanche 21 janvier à Paris, à la 12ème édition de la Marche pour La VieUne délégation sera présente autour de notre président Karim Ouchikh qui vous invite personnellement à le retrouver à partir de 13h30, Porte Maillot, devant le « Congrès Maillot » (80 avenue de la Grande Armée, 75016 Paris) pour défiler ensemble, sans drapeau ni bannière."

    Michel Janva

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  • Marche pour la vie : il manque 300 bénévoles pour la sécurité

    6a00d83451619c69e201bb09e73e77970d-250wi.jpgA 10 jours de la journée de formation des bénévoles qui se tiendra le samedi 20 janvier, veille de la Marche, il manque 300 hommes pour la sécurité.

    Ne pensez pas que votre voisin va s'engager à votre place : c'est vous que êtes attendu !

    L'organisation de la Marche pour la vie recherche des hommes et garçons de + de 18 ans.

    • Les + de 16 ans sont acceptés avec joie dès lors qu'ils sont accompagnés d'un majeur.
    • Les pères de famille sont également les bienvenus : il est temps de s'organiser avec vos épouses pour la garde des enfants, au sein ou hors de la manifestation !
    • Les hautes-patrouilles de scouts, les clans de routiers, sont des équipes idéales... "Le plus fort protège le plus faible" : il est temps d'organiser une activité au service des plus petits !
    • Les cercles d'étudiants, de papas et autres bons groupes sont également les premiers concernés !
    Merci de vous inscrire pour faciliter le travail des organisateurs, qui travaillent jour et nuit à l'organisation de la manifestation.
    • Inscrivez-vous sur https://volunteo.com/fr/r/mpv2018
    • Précisez en commentaire vos choix (avec tel ou tel ami, avec telle ou telle association)
    • Diffusez vous aussi ce lien à tous vos contacts !

    A méditer en ce temps ou le Christ a pris chair dans le corps des tout-petits :

    "Ce que vous avez fait au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vous l'avez fait... Ce que vous n'avez pas fait au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vous ne l'avez pas fait... "

    Michel Janva

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  • "Interruption volontaire de vie, sans demande du patient"

    6a00d83451619c69e201bb09e648a8970d-800wi.pngIl me semble qu'il y a un mot beaucoup plus simple et moins euphémisant, hypocrite et orwellien pour dire "interruption volontaire de vie sans demande du patient"...

    Mais non, en Belgique, Jacqueline Herremans, membre de la commission fédérale euthanasie et avocate, explique, suite à la démission d'un médecin qui refusait l'assassinat d'une personne âgée:

    "Ce médecin me paraissait être un homme qui avait le souci du bien-être de la patiente. Il a sans doute été un peu dépassé par la situation. Jamais nous n’avons reçu une telle déclaration à la commission. Lorsque nous nous sommes interrogés sur la qualification à donner à cet acte, nous ne l’avons pas qualifié d’euthanasie mais bien d’interruption volontaire de vie, sans demande du patient"

    Seul ce cas a fait débat. Mais chaque année, près de 2000 euthanasies ont lieu en Belgique. Légalement.

    Michel Janva

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  • Marche pour la vie, derniers préparatifs

    6a00d83451619c69e201b7c942a2bb970b-250wi.jpgProgramme de l'émission de Terres de Missions du 7 janvier sur TV Libertés :

    • Marche pour la vie, derniers préparatifs : Terre de missions reçoit, à nouveau, Victoire De Jaeghere, porte-parole de la Marche pour la Vie, qui vient nous informer des derniers préparatifs de la marche du 21 janvier. C'est également l'occasion d'aborder les grandes questions bioéthiques qui vont animer l'année 2018.
    • Cyril Brun, rédacteur en chef d'Infocatho, présente ensuite un bilan de l'année 2017 dans l'Eglise universelle, ainsi qu'une perspective pour 2018.
    • Enfin, Me Gerbert Rambaud vient parler de son dernier livre "La France et l'islam" au fil de l'histoire, qui permet d'aborder la question "chaude" des relations avec l'islam de manière plus "dépassionnée" et avec davantage de recul qu'on ne le fait ordinairement.

    Michel Janva

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  • 14 nouvelles villes de départ pour venir en car à la Marche Pour La Vie

    A retrouver ici.

    Il n’y a pas de car dans votre région ? Vous pouvez en organiser un (cliquez) :

    VENIR-EN-CAR-e1512422989942

    Michel Janva

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  • Est-ce un crime de faire réfléchir sur l'avortement ?

    6a00d83451619c69e201bb09e3c93e970d-200wi.jpgStéphane Mercier, philosophe, auteur de La Philosophie pour la vie, licencié par l'univesité catholique de Louvain pour avoir dispensé un cours poussant à la réflexion sur l'avortement, est interrogé dans L'Homme Nouveau. Extrait : 

    Les cadres de l’Université catholique de Louvain ont-ils pris connaissance du cours pour lequel ils vous condamnent ? Que vous ont-ils reproché exactement ?

    Je ne sais pas s’ils ont lu mon cours, mais, puisque le texte que j’avais mis à disposition des étudiants a été diffusé par les médias, ils pouvaient y avoir accès sans problème. Je n’ai eu aucune indication claire sur ce qui posait problème, puisqu’à chaque question que je posais, on me répondait qu’il ne s’agissait pas de « discuter des détails ». Les cadres m’ont aussi reproché d’avoir fait un cours très polémique devant des étudiants qui n’y étaient pas prêts. Je trouve cela extrêmement désobligeant pour eux et je pense, au contraire, qu’il est tout à fait normal que de jeunes adultes puissent réfléchir à certains sujets de société et notamment l’avortement.... D’autant plus le Planning familial intervient dans les écoles pour diffuser la culture de mort auprès d’enfants qui n’ont que 12 ou 13 ans ! L’Université m’accuse également d’avoir développé un argumentaire trop unilatéral ; pourtant, développer une thèse dans une direction est une manière de travailler tout à fait légitime en philosophie ; et je ne pense pas que l’on m’aurait fait ce reproche si j’avais développé un argumentaire « unilatéral » contre le viol ou le génocide. 

    Une-1653.jpgSi l’Université catholique de Louvain s’est rendue coupable d’un véritable scandale en s’opposant publiquement à la doctrine chrétienne sur le respect de la vie humaine, avez-vous au moins reçu le soutien de prêtres et d’évêques ?

    J’ai reçu, à titre individuel et privé, le soutien de plusieurs prêtres, mais aussi de Mgr Léonard, archevêque émérite de Malines-Bruxelles, aujourd’hui à la retraite en France. L’évêque de Liège, en revanche, a prétendu à tort que je m’étais mis les étudiants à dos en traitant la question de l’avortement, alors qu’en réalité, ils ne sont qu’une infime minorité à avoir réagi de manière négative. Le cardinal De Kesel, pour sa part, m’a dit en privé que tout ce qui m’arrivait était bien triste, mais il en est resté là. Quant au porte-parole de l’épiscopat belge, il a estimé que ma condamnation de l’avortement était excessive et irrecevable... Peut-être oublie-t-il en quels termes l’Église parle de l’avortement, jusqu’au pape François, qui a qualifié l’avortement de « crime effroyable » ? Les évêques francophones belges ont un titre honorifique au sein de l’Université catholique de Louvain, mais on peut dire qu’ils n’ont rien fait... Ils portent là une lourde responsabilité. [...]"

    Michel Janva

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  • Tractez pour la Marche pour la vie

    Les tracts, affiches et autocollants de la Marche pour la Vie 2018 sont à votre disposition ! Cliquez ici pour les commander (Ils sont gratuits et livrés chez vous) :

    COMMANDER-DES-TRACT-768x459

    Vous voulez que l’édition 2018 de la Marche Pour La Vie soit une réussite ? Diffusez ces tracts, affiches et autocollants autour de vous !

    Tous à Paris le 21 janvier !!!

    Michel Janva

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  • Maeva Anissa ose critiquer l'avortement : elle est lynchée pour sa liberté d'expression

    Maeva Anissa est notamment chroniqueuse sur NRJ12. Hier, sur son compte Twitter (suivi quand même par 228 000 abonnés), elle a jeté un pavé dans la mare :

    X

    Evidemment, le lobby de l'avortement a avalé cela de travers et il s'en est suivi un lynchage en public, y compris par Gilles Clavreul, chargé de mission auprès du secrétaire général du ministère de l'intérieur. Maeva Anissa a notamment rétorqué :

    "Hey j'ai le droit d'avoir un avis ? Une vie ? Une liberté sans que des matons du net viennent me casser la tête ???? MOI JE CONNAIS DES FILLES QUI AVORTENT 5 fois par mois !!!!!".

    Et non, pour les hystériques de l'"avortement, il est interdit d'avoir un avis critique sur l'avortement. Alors ils essaient de la faire virer de NRJ12. Réponse de Maeva :

    Et elle a un courage certain que l'on aimerait voir plus souvent :