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culture et histoire - Page 1347

  • Les tares de l’opposition nationale

    L’action entreprise depuis l’échec d’avril 1961 a mis en œuvre des moyens nouveaux. Elle a mobilisé un nombre accru de partisans et s’est résolument engagée dans la voie de la violence et de la clandestinité. Cette transformation des formes de lutte n’a cependant pas affecté des données de la méthode antérieurement appliquée. Elle est restée conforme aux caractéristiques des luttes « nationales », jalonnées de courage et d’échecs lamentables. 
         Lénine, prenant en 1917 les risques d’une défaite militaire afin de créer les conditions de la révolution bolchévique, ou encore Franco, marquant sa prise de commandement insurrectionnelle en 1936 par l’exécution de son propre cousin qui refusait de le suivre, sont deux exemples d’un comportement inverse de celui des « nationaux ». 
         Par contre, le refus de porter réellement l’action en métropole le 22 avril 1961, comme la sanglante et inutile manifestation parisienne du 6 février 1934, sont typiques de la mentalité « nationale ». 
    DEFAUT DE CONCEPTION 
    Les « nationaux » qui utilisèrent le mot « révolution » sans en connaître la signification, croient au « sursaut national » spontané ! Ils croient également que « l’armée bougera »... Confiants dans ces deux rêves irréalisables, considérés comme des remèdes-miracles, ils ne conçoivent pas la nécessité d’éduquer des partisans au moyen d’une doctrine juste expliquant les causes de la décadence occidentale, proposant une solution et servant de gouvernail à la pensée dans l’action. C’est pourquoi, ils se complaisent dans une série de maladies politiques qui sont responsables de leurs échecs. 
    Confusion idéologique 
    Les « nationaux » s’attaquent aux effets du mal, pas à ses racines. Ils sont anticommunistes mais oublient que le capitalisme et les régimes libéraux sont les principaux artisans de la propagation du communisme. Ils étaient hostiles à la politique algérienne du gouvernement, mais oublient que cette politique était le produit d’un régime, de son idéologie, de ses intérêts, de ses maîtres réels financiers et technocrates, comme de ses structures politiques et économiques. Ils voulaient sauver l’Algérie française contre le régime, mais ils reprennent à leur compte ses principes et ses mythes. Imagine-t-on les premiers chrétiens adorant les idoles païennes et les communistes chantant les louanges du capitalisme ? 
    Conformisme 
    Tous les « nationaux » ont leur bon gaulliste, leur bon technocrate, leur bon ministre. Cédant à un vieux réflexe bourgeois, ils redoutent « l’aventure » et le « chaos ». Pour peu qu’un homme du régime agite le drapeau, ils lui donnent leur confiance. Ils préfèrent le confort de l’aveuglement à la lucidité. Le sentimentalisme et l’esprit de clocher prennent toujours le pas sur le raisonnement politique. Dans l’espoir niais de satisfaire tout le monde, ils se refusent à prendre parti et ne satisfont personne. 
    Archaïsme 
    Faute d’imagination, les « nationaux » continuent à emboucher le clairon de Déroulède qui n’ameute plus personne. Programme et slogans sont fixés dans le tricolore d’avant-guerre. De l’armée au pouvoir à l’anticommunisme négatif, en passant par la contre-révolution et le corporatisme, les « formules nationales » repoussent plus qu’elles ne séduisent. Cet arsenal politique date d’un demi-siècle.Il est sans prise sur notre peuple. 
    DEFAUT D’ORGANISATION 
    Les raisons qui poussent les « nationaux » à nier la nécessité des idées dans le combat politique, les poussent à nier la nécessité de l’organisation. Leur action est viciée par des tares qui expliquent tous leurs effondrements. 
    Opportunisme 
    Les notables « nationaux », parlementaires et autres, militaires et civils, sont opportunistes par ambition personnelle. Le prétexte généralement invoqué pour camoufler leur arrivisme est celui de « l’habileté ». C’est au nom de l’habileté que les « nationaux » ont cautionné... le référendum de 1958, les entreprises de politiciens depuis lors. Derrière chacune de ces positions se dessinait la perspective d’un ruban, d’une sinécure ou d’une élection. Ils sentent le vent et savent se faire violents, voire séditieux quand cela leur apparaît profitable. Leurs discours fracassants ne font peur à personne. Ils attaquent un homme, un gouvernement et se gardent bien de toucher à l’essentiel et de s’en prendre au régime lui-même. L’Algérie fut un bon tremplin et une occasion de faire fortune grâce aux subsides généreusement dispensés, tandis que les militants devaient combattre les mains nues. Si le vent tourne, ils n’hésitent pas à trahir le drapeau et leurs camarades. Le siège au parlement n’est pas un moyen mais une fin en soi ; il doit être conservé à tout prix. Les simples partisans, eux, sont opportunistes par défaut de doctrine et de formation. Ils se fient à la mine du beau parleur et aux impressions superficielles plutôt qu’à l’analyse politique des idées et des faits, ils sont voués à être dupes. 
    Mythomanie 
    La lecture des romans d’espionnage, les souvenirs de la résistance et autres services spéciaux, le récit des comploteurs, gaullistes et autres, plongent les « nationaux » dans une atmosphère de rêve permanent. Un bridge avec un général en retraite, un parlementaire ou un sergent de réserve devient une sombre et puissante conjuration. Pour peu que l’on recrute dix lycéens, on se prend pour Mussolini. Quand on se vante de commander à 5000 hommes structurés, c’est que l’on rassemble péniblement quelques centaines de fonds de tiroir. Si, par chance, ils reçoivent une circulaire d’une quelconque administration militaire, ils montrent l’enveloppe avec des airs de conspirateurs, des sourires et des silences lourds de sous-entendus. Ils sont partisans de l’union autour d’eux et se répandent en amers reproches de sectarisme à l’encontre des militants qui se refusent à les prendre au sérieux. Les mêmes « nationaux » dans une période de véritables clandestins, se font arrêter avec des listes d’adresses et de documents, se mettent à table dès que la police lève la voix. 
    Terrorisme 
    La fausse analyse d’une situation, l’absence de doctrine et de formation qui poussent les uns vers l’opportunisme, jettent les autres dans la violence négative et le terrorisme. La mauvaise digestion des études pas trop primaires, consacrées à certains aspects de la subversion communiste du F.L.N., a accru ce penchant. Les pétards sous les fenêtres des concierges n’ont pas apporté un seul partisan à l’Algérie française. Le terrorisme aveugle est le meilleur moyen pour se couper d’une population. C’est un acte désespéré. Autant l’action clandestine et l’utilisation calculée de la force peuvent être indispensables lorsqu’une nation n’a plus d’autres moyens pour rentrer dans son droit, et dans ce cas l’action vise à faire participer le peuple à la lutte, autant le terrorisme rejette celui qui l’emploie hors de la communauté populaire et le condamne à l’échec. 
    Anarchisme 
    Les « nationaux » qui admirent tant la discipline chez les autres sont, en pratique, de véritables anarchistes. Incapables de se situer à leur place dans la lutte, ils ont le goût de l’action désordonnée. Leur vanité les pousse aux actes individuels gratuits, leur cause dût-elle en pâtir. Ils ignorent la parole donnée et nul ne peut prévoir où les entraînera leur fantaisie. Ils suivent à la rigueur un chef de bande et s’épanouissent dans les petits clans. L’absence de référence idéologique commune accroît leur éparpillement et interdit leur unité. 
    Dominique Venner, Pour une critique positive

  • Se former cet été 2015

    Se former 2015

    Cette année encore, votre blog vous propose de donner du sens à vos vacances avec pas moins de 8 routes, 3 sessions, 12 camps, 7 colonies, 6 services et 7 universités d'été.

    Communiquez-moi par mail (lahirelsb@yahoo.fr) ou dans les commentaires de post vos propositions et les éventuels oublis qui pourraient profiter à tous.

    Que l'été soit bénéfique à tous pour un vrai repos et une saine formation!


    Sessions et séminaires


    FMND SessionSession de la Famille missionnaire de Notre-Dame

    Du 11 au 13 juillet 2015 à Sens

    Session : La famille, Gaudium et Spes, joie et espérance de l’Eglise et de l’humanité.

    Lettre du Père Bernard qui présente ce rendez-vous majeur de l'été sur un thème crucial pour notre civilisation :

    "Bien chers amis,
              Notre prochaine Session de Sens, en cette année 2015, sera centrée sur la famille. Elle vous permettra de mieux comprendre le plan de Dieu sur le mariage et la famille. Le titre de notre Session est tiré du message de Jean-Paul II donné le samedi 8 octobre 1994 à Rome, lors de la première rencontre internationale des familles : « Famille, que dis-tu de toi-même ? “Je suis”, dit la famille. “Pourquoi es-tu?”: Je suis parce que Celui qui a dit de Lui-même : « Seul, Je suis celui que Je suis » m’a donné le droit et la force d’être. Je suis, je suis famille, je suis le milieu de l’amour ; je suis le milieu de la vie ; je suis. Que dis-tu de toi-même ? Que dis-tu sur toi-même ? Je suis “gaudium et spes”! » Jean-Paul II avait avoué que la moitié de son discours avait été improvisé, dit par le cœur et recherché dans la prière plusieurs jours avant la rencontre des familles.
              Depuis Vatican II, le Magistère de l’Eglise a donné des enseignements lumineux sur la famille, en se fondant sur la Révélation et en développant la Tradition. La famille chrétienne est une intime communauté de vie et d’amour. Elle naît au moment du mariage sacramentel entre un homme et une femme, qui se donnent et se reçoivent mutuellement l’un à l’autre pour toute leur vie. Elle est sanctuaire de la vie et une petite église domestique. La famille est souveraine. Les parents sont les premiers responsables de l’éducation de leurs enfants. La civilisation de l’amour ne peut pas se construire sans la famille. Cette civilisation, en effet, ne peut s’édifier que sur la base de l’amour, don désintéressé, auquel on est éduqué dans la famille.
              Saint Jean-Paul II avait parlé des graves menaces contre la famille. Notre Pape François est conscient de ces menaces dont nous parlerons au cours de notre Session. Mais nous ne resterons pas sur cette note pessimiste. Nous conclurons notre Session en commentant la prophétie de Jean-Paul II : le troisième millénaire sera le millénaire des familles" (suite).

    Renseignements et inscriptions.

    Pour voir les autres formations 

  • Références et thèmes des droites radicales au XXe siècle (Europe/Amériques)

    Olivier Dard dir., Références et thèmes des droites radicales au XXe siècle (Europe/Amériques), Peter Lang, Bern, Berlin, Bruxelles, Frankfurt am Main, New York, Oxford, Wien, 2015, 368 p.

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    Présentation de l'éditeur : Après avoir abordé les droites radicales européennes et américaines au vingtième siècle sous l’angle des doctrinaires, des vulgarisateurs et des passeurs puis analysé l’internationalisation de leurs supports et de leurs vecteurs, l’objet de ce troisième volume du projet de recherche IDREA (Internationalisation des droites radicales – Europe/Amériques) a été d’étudier le caractère fédérateur d’un certain nombre de références et de thèmes.
    Réunissant une douzaine de chercheurs français, européens, comme américains du Nord et du Sud, issus de différentes disciplines, l’ouvrage s’attache à privilégier la mise en exergue de références et de thèmes transversaux au sein des droites radicales européennes et américaines depuis les lendemains du second conflit mondial.
    Cinq entrées sont proposées : Figures de chefs, Mémoire(s) et histoire(s) des régimes et des combats perdus, Antisémitisme et anticapitalisme, Conservatisme, radicalités et anticommunisme, L’Occident en questions.
    Si vous le souhaitez vous pouvez commander l'ouvrage en ebook ou en hardcover directement sur le site de l'éditeur.
    SommaireUG Convergences 83.indd
    – Olivier Dard : Présentation générale
    – Francis Balace : La pourpre où dorment nos chefs morts …
    – Christoph Brüll : Léon Degrelle comme référence des droites radicales allemandes après 1945
    – Miguel Angel Perfecto : La mémoire imposée du franquisme. Le mythe de José Antonio Primo de Rivera et l’école nationale-catholique
    – Pauline Picco : Les référents politiques et intellectuels de l’extrême droite italienne : un panthéon mythique (1950-1970)
    – Nicolas Lebourg/Jonathan Preda : Le front de l’Est et l’extrême droite radicale française: propagande collaborationniste, lieu de mémoire et fabrique idéologique
    – Ana Isabel Sardinha Desvignes : L’Empire colonial portugais et ses mythologies : du sébastianisme messianique au lusotrpicalisme
    – Humberto Cucchetti : Droites radicales et péronisme : un mélange de traditions anticapitalistes?
    – Valérie Igounet : Le négationnisme : l’expression d’un nouvel antisémitisme contemporain, international et protéiforme (1948-2013)
    – Michel Grunewald : Merkur (1947-1952)
    – Romain Huret : Aux origines du conservatisme contemporain aux EtatsUnis. Classes moyennes, mobilisations antifiscales et défense des valeurs américaines (1945-1964)
    – Michel Bock/Hugues Théorêt : Le communisme et la guerre froide dans le Canada français d’après-guerre
    – Riccardo Marchi : La défense de l’Occident : la dernière tranchée pour l’extrême droite européenne des années de guerre froide
    – Olivier Dard : De la « Défense de l’Occident » à l’« Occident comme déclin ».

    Ouvrage commandable ici

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuFFlllVEElekheDMN.shtml

  • Poitiers : réussite totale de la 1ère Rencontre Charles Martel organisée dimanche

    Un public nombreux, plus de 150 personnes ont assisté à la 1ère Rencontre Charles Martel :
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    Organisée à l'initiative de l'association poitevine Le Cercle des Chats bottés, présidée par Jacques Soulis, la 1ère Rencontre Charles Martel s'est déroulée dans une ambiance à la fois studieuse et festive ce dimanche à Jaunay Clan près de Poitiers.

    Malgré la présence en cette fin de semaine d'une bande de malfaiteurs réunis en congrès dans la capitale poitevine, cette belle réunion nationaliste et identitaire s'est tenue sans aucun incident. Le Cercle des Chats bottés avait parfaitement encadré le magnifique château où les 150 participants se réunirent. Pierre Cassen, Président de Riposte laïque, dirigea cette journée d'une main de maître. Qu'il en soit ici félicité.


    Le stand de Synthèse nationale sur lequel de nombreux abonnements à notre revue ainsi qu'aux Cahiers d'Histoire du nationalisme ont été enregistrés :
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    Toute la journée des stands étaient ouverts au public. Notons la présence de Terre et peuple avec son secrétaire général Roberto Fiorini, de Riposte laïque, du Réseau Identités, du Parti de la France, des Editions de Chiré, venues en voisines, les Editions Dualpha et Déterna de notre ami Philippe Randa qui couvrait l'événement pour le quotidien Présent, et bien sûr de Synthèse nationale. 


    Richard Roudier nous retrace les prémices de la Bataille de Poitiers :
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    Toute la matinée fut consacrée à Charles Martel, héros national que le pouvoir voudrait bien laisser tomber dans l'oublie.

    Quatre exposés étaient programmés : Richard Roudier, porte parole du Réseau identités et militant occitan, nous raconta les prémices de la Bataille de Poitiers, puis Pierre Vial intervint en tant que médiéviste reconnu pour nous parler justement de cette bataille historique qui vit la victoire de Charles Martel contre les armées musulmanes.Hugues Bouchu, président de la Ligue francilienne, embraya sur le côté politique de ce combat en le plaçant dans une dimension nietzschéenne.

    Enfin il revenait à Roland Hélie, directeur de notre revue, de terminer cette matinée en parlant de l'actualité du combat de Charles Martel qui, aujourd'hui comme hier, se résume en un seul mot : RECONQUETE !


    Pierre Vial, universitaire, médiéviste et Président de Terre et peuple nous offre un exposé remarquable :
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    Hugues Bouchu, historien et militant identitaire, replace avec brio la Bataille de Poitiers dans sa dimension politique :
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    Roland Hélie termina la matinée en dénonçant les responsables de l'islamisation de l'Europe et en appelant à l'institutionnalisation de ces Rencontres Charles Martel à Poitiers :
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    Puis arriva l'heure de passer à table comme dirait le Marquis. Justement un sympathique banquet gaulois était prévu et ce fut un régal. Du cochon et du tourteau fromager, spécialité niortaise, étaient au menu. Remercions Patricia et toute l'équipe de militantes de la région qui ont préparé ce repas en plein air. L'ambiance de franche camaraderie qui caractérise généralement les banquets patriotiques était de mise.
    Mais, dès 14 heures, il fallait rejoindre la grande tente dressée près du château pour assister au meeting politique de l'après midi.

    Christine Tasin dénonce les dangers de l'islamisation de la France et de l'Europe
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    Ce fut d'abord Christine Tasin, la dynamique et rayonnante présidente de Résistance républicaine. Femme de gauche mais surtout militante anti-islam, Christine nous fit un exposé passionnant et alarmant sur l'implantation de cette civilisation venue d'ailleurs en France

    Applaudissements nourris pour saluer l'intervention décapante des jeunes identitaires poitevins :
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    Ce fut le tour de deux jeunes militants identitaires de Poitiers qui enthousiasmèrent la salle en nous exposant le sens de leur engagement.

    Paul Marie Couteaux, talentueux et captivant :
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    Paul-Marie Couteaux, brillant écrivain et fondateur du SIEL, intervint pour nous parler de Poitiers et de sa région, haut lieu de l'art roman. Il faut dire que cet ancien collaborateur de Michel Jobert est installé pas très loin de là.

    Il serait regrettable que cette belle région devienne une terre d'islam. Un musulman converti au christianisme, Joseph, nous parla ensuite du Coran et appela les Français à le lire pour bien comprendre ce qui va leur arriver.

    Carl Lang, un discours qui enflamma la salle :
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    Justement, il y a un français qui a bien lu ce livre et qui sait donc de quoi il s'agit. Ce Français, c'est Carl Lang, le président du Parti de la France, à qui il revenait de conclure cette journée. Son discours fut un véritable appel au réveil des forces authentiquement nationales, nationalistes et identitaires pour que la France redevienne française et l'Europe européenne. Discours qui, vous vous en doutez, enflamma l'assistance.

    Hugues Bouchu, Richard Roudier, Pierre Vial, Christine Tasin, Pierre Cassen, Jacques Soulis, Roland Hélie, Carl Lang : le Front des patriotes s'organise.. :
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    Bravo et merci à Jacques Soulis et aux membres du Cercle des Chats bottés pour leur accueil et pour le travail militant qu'ils effectuent avec courage et détermination dans leur région.
    Dans les jours qui viennent, nous mettrons en ligne les différentes interventions qui ont été filmées. Les textes de ces interventions seront aussi rassemblés dans un livre qui sera prochainement publié par Les Bouquins de Synthèse nationale.

    Synthèse nationale :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuFFlZAuyypawAwHbt.shtml