« Il y a l’homme. On ne cite pas de créature plus émouvante. L’admiration ne tarit pas. Mémoire immense, génie de l’organisation, flamme de rêve, psychologie aiguë, puissance de travail, étendue et ressort de la volonté, le sujet est inépuisable et, l’épuiserait-on, il resterait le charme : le romantique charme d’une carrière unique par l’abrupte sauvagerie du point de départ, le vertige de l’apogée, l’éloignement du point de chute. Combinée au prestige d’une royauté militaire et civile, l’humanité chaude et vibrante, la familiarité, les passions, la flamme, la fumée de l’âpre démon ! On en raisonnerait indéfiniment. » Charles Maurras.
culture et histoire - Page 141
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Napoléon, le deuil éclatant de la gloire
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Racisme & Sous-hommes chez les philosophes des Lumières
Selon l'Humanisme des Lumières, le Peuple est classé dans la catégorie des sous-hommes, entre l'Homme et la bête. Cette conception raciste du genre humain est présente chez tous les Philosophes des Lumières qui considèrent qu'il existe un Peuple élu (Eux-mêmes seuls à être considérés comme des hommes) et des sous-hommes (Le Peuple) classés juste avant le monde animal (Bien que Voltaire classe certains singes devant le Peuple !)
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Maxime Vivas : « Le Tibet du dalaï-lama était un régime d’une cruauté inimaginable » [Interview]
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La philosophie nietzschéenne, rempart contre le nihilisme
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Culture classique et tradition
La forme de culture que l’on appelle classique en Occident est un phénomène assez particulier. Une première distinction doit être faite entre la culture traditionnelle, qui existe dans toutes les civilisations même les plus primitives, et la culture classique qui n’existe que dans certaines civilisations particulièrement évoluées. Les valeurs de ces deux formes de l’héritage du passé ne coïncident pas nécessairement et sont même parfois opposées.
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« Les Français en guerre de 1870 à nos jours » : un livre de François Cochet [Interview]
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L’Institut Iliade réédite un ouvrage de défense des identités
« Discriminer ou disparaître » est une alternative douloureuse dans une société où la simple constatation d’une différence nous est interdite sous couvert de lutte contre les discriminations. « Sexisme », « racisme », « transphobie », « grossophobie » : autant d’accusations qui menacent le simple constat d’une différence. Pour les tartuffes de la pensée unique, il faut nier la réalité : supprimer les sexes, les races, bref toute altérité.
Ce fétichisme de l’anti-discrimination entraîne ainsi la création d’un être indifférencié et interchangeable, sans sexe, sans couleur, sans famille ni histoire. L’individu, alors réduit à sa simple fonction de producteur et de consommateur, devient un objet de commerce qui s’achète et se vend comme au marché aux esclaves, et se retrouve finalement sans aucune défense face au Big Brother étatique et économique.
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La Théorie des climats : La plus vieille théorie du racisme scientifique
La Théorie des climats est la plus vieille théorie du Racisme scientifique existant au monde. Son origine reste indéterminée bien que certains pensent qu’elle proviendrait de l’Empire perse. Le géographe d’Alexandrie du premier siècle Claude Ptolémée l’intègre dans sa magistrale synthèse des connaissances géographiques et astronomiques connue à la Renaissance italienne sous le vocable de « Cosmographie ». Tout au long du Moyen-âge, les géographes musulmans vont continuer à faire vivre cette théorie allant même jusqu’à la modifier suite aux avancées de leurs découvertes géographiques. Oubliée en Europe, Montesquieu va la reprendre à son compte dans l’Esprit des Lois et ainsi l’introduire dans le corpus de la Philosophie des Lumières. Elle sera la base de toutes les idées racistes, tendant à justifier par la science le racisme, qui naitrons en Europe au dix-neuvième siècle.
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L'AFFRONTEMENT DES VALEURS TRADITIONNELLES CONTRE LES TENDANCES MODERNES | KROC BLANC
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Maurice Barrès : l'écriture et la politique, avec Emmanuel Godo