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Carlo Borromeo naît en 1538 à Arona, dans le Nord de l’Italie. Sa statue haute de trente-trois mètres est couronnée d’une immense tête, où peuvent se tenir six personnes, qui découvrent alors le superbe panorama du lac Majeur et de son pittoresque archipel. Les îles Borromées portent le nom de l’illustre famille dont provient celui qui allait devenir un des plus influents prélats d’un XVIe siècle religieusement très agité. Par sa mère, Carlo est également un Médicis, comme son oncle Pie IV, le pape qui achèvera le concile de Trente en 1563.
Le jeune Carlo entre à la faculté de théologie de Pavie. Les murs de la cité des Visconti résonnent encore des fureurs d’une bataille célèbre en 1525. Le roi de France François 1er et l’Empereur Charles-Quint s’y affrontèrent. La victoire sourit au second nommé.
Affaire Stavisky (1931 – 1934): vers les émeutes du 6 février 1934
Serge Alexandre Stavisky fut à l’origine d’un des nombreux scandales ayant affecté la Troisième République radicale qui conduisit aux émeutes du 6 février 1934... puis à la création du mythe "Du coup d'état contre la République" par la Gauche fortement compromise dans ce scandale.
L’anti-parlementarisme et l’aversion contre la Franc-maçonnerie en sortiront renforcés.
Le système d’Alexandre Stavisky est très simple. Il s’agit de s’enrichir sur le dos du Crédit Municipal en émettant des bons à intérêt gagés partiellement sur la valeur des dépôts.
Georges Bernanos a écrit un texte intitulé « L’honneur est ce qui nous rassemble », qui devait servir de préface à un ouvrage collectif sur le ghetto de Varsovie. Cet ouvrage n’est jamais paru et le texte a été retrouvé dans les archives de l’auteur de « la grande peur des bien-pensants ».
C’est un texte exemplaire, car Georges Bernanos vient de l’Action française et du catholicisme ultra ; il dénonçait Adolf Hitler comme quelqu’un incapable d’un vrai antisémitisme et qui se plierait bientôt aux ordres de la « banque juive ».
Jean-François Vivier est le scénariste de nombreuses bandes dessinées à thème historique. Stéphan Agosto, dessinateur de BD, est passionné par la Première Guerre mondiale. Ils ont associé leurs talents pour réaliser un album de qualité consacré à la bataille de Verdun.
Le nombre d’or (1,618) divise le cercle en deux arcs de 138 et 222 degrés, inégaux mais unis par la « divine proportion » chère aux pythagoriciens.
La première partie du livre de Pierre Delmas se situe dans le droit fil de la grande arithmosophie antique. Dans la seconde partie de son ouvrage, l’astrologue reprend le dessus au détriment de l’historien et du chercheur. Comme la plupart de ses confrères, il sème la confusion en voulant séduire plutôt que démontrer.
Au lieu d’aligner une série probante de liens entre l’angle de 138 degrés et la naissance d’un certain nombre de célébrités, Pierre Delmas recourt à des angles d’or « dérivés » dont l’un (69 degrés) fait double emploi avec le quintile (72 degrés) ou l’autre (42 degrés) marche sur les plates-bandes du semi-carré (45 degrés).