
Aujourd’hui, de tout et de rien. La rupture consommée, l’odieux déchiffré, on devient le fasciste de l’autre. Inévitablement. Comment expliquer ces facilités langagières ? Non par le positionnement idéologique mais par l’inculture politique croissante.
Jusque dans les années 80/90, l’accusation de fascisme était portée par des gens se réclamant du communisme de parti ou d’une forme de marxisme. Ce référencement se faisait à partir d’une lecture militante du XXème siècle, de la création des faisceaux de combat par Mussolini en 1919 à la disparition des deux dictateurs ibériques, Salazar et Franco, 1970-1975.




