culture et histoire - Page 145
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Les onze dates qui ont changé la face du monde
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La France n’a pas gagné la Première Guerre mondiale grâce à l’Afrique et aux Africains
Par Bernard Lugan, universitaire africaniste, historien, écrivain… Dans la grande entreprise de réécriture de l’Histoire de France par les partisans du « Grand Remplacement », la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constituent un argument de poids. Son résumé est clair : les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.
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Frederic Ploquin et Maria Poblete : L’Abominable Docteur Schaefer. Une secte nazie et pédophile dans les Andes [livre]
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Le point de vue des Européens sur l'Islam au 16e siècle
L'Europe est de nouveau sous la menace directe d'une confrontation avec l'Islam politique et conquérant qui ne rêve que de rétablir l'Empire ottoman en y intégrant la totalité de l'Europe. Cette situation n'est pas nouvelle : c'est celle que vécurent nos ancêtres tout au long de la plus grande partie du Moyen-âge et jusqu'en 1830 avec l'intervention en Algérie qui permit de mettre un terme à la chasse aux esclaves en Méditerranée.
Faire l'Histoire de la confrontation entre l'Islam et la Chrétienté dépasse le cadre de cet article qui ne se concentre que sur le 16e siècle.
Quel était l'état des relations entre l'islam et le christianisme au XVIe siècle ?
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[Bonne nouvelle] Découverte d’un trésor émouvant surgi du XVIIIe siècle
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Le boulangisme : une crise inévitable ? avec Bertrand Joly
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Causerie à bâtons rompus sur la notion de patrie charnelle 2/4
Une vision “sphérique” de l’histoire
Toutes ces tendances, perceptibles dans la France sainement contestatrice des années 30, sont tributaires d’une lecture de Nietzsche, philosophe qui avait brisé à coups de marteau les icônes conventionnelles d’une société qui risquait bien, à la fin du “stupide XIXe siècle”, de se figer définitivement, comme le craignaient tous les esprits non conformes et aventureux. Le nietzschéisme, via les mouvements d’avant-gardes ou via des séismographes comme Arthur Moeller van den Bruck, va compénétrer tout le mouvement dit de la Révolution conservatrice puis passer dans le corpus national-révolutionnaire avec Ernst Jünger, tributaire, lui aussi, du nietzschéisme ambiant des cercles “jungkonservativ” mais tributaire également, dans les traits tout personnels de son style et dans ses options intimes, de Barrès et de Bloy.
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Interprétations de la « Droite » et de la « Gauche »
Comment les historiens des idées politiques et les politologues interprètent-ils les concepts de « Droite » et de « Gauche » en France ? Depuis une cinquantaine d’années, la question commence enfin à être étudiée. Cet intérêt restait auparavant confiné à des travaux secondaires parce que l’intensité du clivage idéologique empêchait toute véritable étude. Chaque camp attribuait au camp adverse tous les maux fantasmagoriques qu’il fût censé combattre, d’où les définitions tautologiques, voire tératologiques, de la « Droite » et de la « Gauche ». À l’heure actuelle, la « Droite » demeure encore pour le public français une entité vague aux contours flous - et donc monstrueuse - qui sert surtout de repoussoir commode à une « Gauche » elle-même fort imprécise, si bien que les notions ont pris une connotation péjorative. Cette situation ne fait qu’augmenter la difficulté qu’ont les chercheurs à cerner convenablement des familles de pensée déterminées par un héritage historique, des circonstances politiques et l’influence de leurs fondateurs.
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Je hais le nouvel an, par Antonio Gramsci
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Nietzsche, un philosophe contre les systèmes