16/02/2016 – 05H00 Rennes (Breizh-info.com via Centre d’Histoire de Bretagne) – Cinq Bretons ont été ou sont encore ministres sous la présidence de François Hollande : JY Le Drian (Défense), JJ Urvoas (Justice), M. Lebranchu (Fonction publique), S. Le Foll (Agriculture), B. Hamon (Education nationale). Beaucoup pensent que cette situation est exceptionnelle. Frédéric Morvan, du Centre d’Histoire de Bretagne, a replongé dans l’histoire de la Bretagne pour retrouver la trace des ministres bretons de la France. Nous reproduisons le texte avec l’aimable autorisation de son auteur.
culture et histoire - Page 149
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Histoire. Les ministres bretons de la France
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L’Okhrana : La police secrète des Tsars, avec Alexandre Sumpf
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Conférence de Georges Feltin-Tracol
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Marie-Antoinette : comment recréer les appartements d'une reine, avec Hélène Delalex
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Seconde Guerre mondiale : des sociétés civiles éclatées ? [3/3], avec Olivier Wiervorka
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Une autre histoire des samouraïs
Julien Peltier est l’auteur de plusieurs essais et de nombreux articles consacrés aux samouraïs. A travers ses travaux publiés notamment dans la revue Guerres & Histoire, il s’est imposé comme un spécialiste du guerrier traditionnel nippon. Il publie ces jours-ci chez Perrin Une autre histoire des samouraïs qui présente le guerrier japonais entre ombre et lumière.
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Julien Langella - Identité ou nation ?
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Entretien avec Robert Steuckers sur l'Europe, le néo-nationalisme, l'immigration, etc. 2/6
En Allemagne, c'est la revue de droite conservatrice Mut, dirigée par Bernhard Wintzek, qui exhorte les patriotes allemands d'aujourd'hui à relire Harmel. L'ex-Général de la Bundeswehr, Kiessling — chassé de l'état-major du SHAPE de Casteau parce qu'il estimait que les officiers allemands devaient être traîtés comme des pairs et non comme des valets par leurs collègues américains — est le plus assidu des néo-harmeliens allemands. Les idéaux du socialiste Coolsaet, auteur de 2 livres néo-harméliens et anti-spaakistes (1), et ceux des conservateurs Kiessling et Wintzek se conjuguent étrangement. En tant que “libre-exaministes”, nous constatons avec joie que le clivage gauche-droite, dans une question aussi essentielle pour l'Europe, s'estompe et disparaît. Libre à vous, nationaux-révolutionnaires d'inspiration thiriartiste (2), de participer à l'offensive et de réclamer, dans vos programmes, la restauration de l'esprit harmelien ; peut-être serez-vous plus à même, à long terme, de réaliser cet idéal que les partis socialistes où se côtoient, pour participer allègrement aux fromages, spaakistes hollywoodiens et neutralistes pétris d'idées valables mais sans cœur au ventre.
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Une histoire du Brésil, par Michel Faure
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Entretien avec Robert Steuckers sur l'Europe, le néo-nationalisme, l'immigration, etc. 1/6
propos recueillis par Pierre Fréson (déc. 1987)
Avant-propos : Dans le cadre d'un travail général d'investigation idéologique, notre ami et sympathisant, Pierre Fréson, a interviewé Robert Steuckers, directeur des revues Orientations et Vouloir et animateur du Cercle d'études EROE, présidé par Jean van der Taelen.
Qui est Robert Steuckers ? Né le 8 janvier 1956 à Uccle, il a vécu toute sa vie à Bruxelles, ville où il se sent pleinement enraciné. De souche flamande à 100%, il a fait ses études en français. Il a étudié la philologie germanique pendant 2 ans et a achevé, ensuite, un cycle d'études linguistiques qui lui a conféré le diplôme de licencié en traduction pour les langues allemande et anglaise. En 1981, il a été secrétaire de rédaction de la revue d'Alain de Benoist, Nouvelle École, et a collaboré, la même année, à Éléments, la revue du GRECE en France. Avec Alain de Benoist et ses principaux collaborateurs, il a sorti 2 dossiers pour Nouvelle École : l'un sur le sociologue italien Vilfredo Pareto et l'autre sur le philosophe allemand Martin Heidegger. Dans Éléments, en 1981, paraissent deux articles de lui : sur Carl Schmitt (co-signé avec G. Faye) et sur José Ortega y Gasset. Ces 4 études reflètent les références philosophiques de base d'Orientations et d'EROE.