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Le Puy du Fou a lancé son Club des géants, une sorte de club d’entrepreneurs, samedi 28 octobre, devant un parterre de plusieurs centaines d’invités. Les professionnels venaient de Vendée, des départements limitrophes et de la région parisienne, et représentaient des sociétés avec lesquelles travaille le parc à thème. Nicolas de Villiers, président du Parc, souligne :
Néologisme forgé par le naturaliste allemand Ernst Haeckel en 1859 à partir des termes grecs Oïkos (habitat) et Logos (étude), l’écologie se veut la science du milieu. Sa définition étymologique reste bien vague. Longtemps ignorée du grand public, l’écologie commence à se faire connaître dans les années 1960 avec les effets de la Contre-Culture et des contestations sociales sans que sa signification soit clairement précisée. Le mot comporte deux grandes acceptions. Il faut distinguer l’écologie scientifique ou « naturelle » de l’écologie culturelle ou « idéologique » (adjectif connoté, imparfait et imprécis employé faute de mieux afin de le différencier du précédent).
Selon l'Humanisme des Lumières, le Peuple est classé dans la catégorie des sous-hommes, entre l'Homme et la bête. Cette conception raciste du genre humain est présente chez tous les Philosophes des Lumières qui considèrent qu'il existe un Peuple élu (Eux-mêmes seuls à être considérés comme des hommes) et des sous-hommes (Le Peuple) classés juste avant le monde animal (Bien que Voltaire classe certains singes devant le Peuple !)
Le mépris du Peuple, qualifié de Canaille ou populace par l'ensemble des philosophes des "Lumières", est donc un trait majeur de l'Humanisme des Lumières. On le retrouvera chez l'ensemble de ces penseurs tout au long de leurs écrits, y compris chez Jean-Jacques Rousseau ou chez Voltaire, ce dernier étant qualifié "d'ami du Peuple" par la mythologie républicaine.
Les éditions Perrin ne sont jamais à court d’ouvrage majeur ; elles le prouvent avec la sortie de SPQR. Histoire de l’ancienne Rome, de Mary Beard. Figure académique anglaise, Mary Beard est professeur à Cambridge. Personnalité hors norme, alliant une hauteur de vue unique à une écriture rare, elle est membre de la British Academy et de l’American Academy of Arts and Sciences.
Quand, le 20 juillet 2023, lors de la passation de pouvoirs avec son prédécesseur à l'Éducation nationale Pap Ndiaye, Gabriel Attal promet de « remettre le respect de l’autorité et les savoirs fondamentaux au cœur de l’école », on se demande, avec surprise, si le bon sens va enfin revenir rue de Grenelle. Quand, le 5 octobre, à l'occasion de la Journée mondiale des enseignants, il annonce vouloir créer une mission « exigence des savoirs » pour proposer « des choix clairs », « des actes forts », « des objectifs ambitieux », on commence à craindre que cette énième mission ne soit chargée de noyer le poisson. Et quand on lit le questionnaire envoyé par le ministère à tous les personnels, on se dit qu'une fois de plus, on prend les Français pour des imbéciles.
Au cours des années 1793 et 1794, la Révolution française, qui promettait «liberté, égalité, fraternité» aux citoyens français, a basculé vers un régime de terreur dont la face sanglante est encore aujourd’hui symbolisée par la guillotine. À l’école et au sein des universités, dans le cinéma ou dans la presse, cette violence reste pourtant minorée, sinon occultée, au profit d’un récit mythologique. Pourtant loin d’être un dérapage, la politique de répression mise en œuvre par les Jacobins serait le fruit d’une terrible mécanique initiée dès juillet 1789 : c’est la thèse soutenue par l’historien Hervé Luxardo dans son ouvrage «La Révolution française et la violence : une logique infernale».
Alors que le changement d'horaire semble en sursis en Europe, il est intéressant de se pencher sur la gestion du temps dans nos villes et villages au Moyen-Âge. En effet, l'homme médiéval ne savait pas lire et si le soleil rythmait son temps de travail, de nombreux repères jalonnaient sa journée. Ainsi, les cloches des églises et cathédrales donnaient les grandes divisions du jour (8 tranches de 3 heures). Ce sont les heures canoniales.