Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 1460

  • L'Apôtre au cinéma

    Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :

    "Cheyenne-Marie Carron m’a signalé hier au soir trois projections exceptionnelles de son film L’Apôtre à Paris au cinéma Le Balzac (1, rue Balzac, 75008 Paris) les dimanches 23 novembre, 30 novembre et 7 décembre (séances de 11 h).Faites passer l’information… La réalisatrice m’annonce également pouvoir bientôt nous préciser les salles en Provinces où le film sera projeté."

    Vous pouvez retrouver sur le blog de l'Homme Nouveau l'entretien donné par Cheyenne-Marie Carron. Elle raconte l'élément déclencheur de ce film :

    H"Dans le village d’où je viens, la sœur de mon prêtre fut tuée. Le meurtrier était un jeune musulman, fils des voisins du prêtre. Lorsque le jeune a été arrêté, le prêtre a dit : « Je reste vivre auprès des parents, dont le fils a tué ma sœur, car ma présence les aide à vivre. » La main tendue de ce prêtre m’a touchée au plus profond du cœur. Je savais déjà par ma mère que la religion catholique était la plus belle religion existante, mais par le geste sublime de beauté de ce prêtre, j’ai compris que la Vérité ne pouvait qu’être là. Alors, bien des années plus tard, j’ai décidé d’écrire le scénario de L’Apôtre. J’ai fait ce film en mémoire de ce curé de campagne qui va bientôt mourir et je l’ai dédié à sa sœur Madeleine. Ce sont des saintes personnes, anonymes, et moi je ne veux pas qu’on les oublie."

    Michel Janva

  • Il y a 70 ans : mort d’Alexis Carrel

    exis Carrel fut l’un des plus grands savants de la première moitié du XXe siècle : pionnier de la chirurgie vasculaire, il obtint en 1912 le prix Nobel de physiologie ou médecine « en reconnaissance de ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes», devenant à l’époque à la fois le plus jeune lauréat et le premier scientifique récompensé pour ses travaux hors de son propre pays.

    Converti au catholicisme, il fut un défenseur de l’écologie et de l’ordre social.

    Il s’est fait mondialement connaître par la publication de L’Homme, cet inconnu(disponible ici) en 1935.
    Nous recommandons aussi ses Réflexions sur la conduite de la vie.

    Aucun représentant officiel n’assista à ses obsèques, le dr Carrel ayant eu le tort de travailler de concert avec l’Etat français du maréchal Pétain.
    Petit à petit les rues et collèges Alexis Carrel sont débaptisées…

    Nous reviendrons prochainement sur sa vie et son œuvre.

    Thibaut de Chassey

    http://www.contre-info.com/

  • Comment on fabrique un citoyen

    Recension de l’ouvrage paru aux éditions Via Romana, Histoire du citoyen, de Jean de Viguerie

    Le grand historien des Lumières a encore frappé. Après, entre autres, Les pédagogues et Les deux patries, Jean de Viguerie se penche cet automne sur un mot d’emploi trop fréquent. Hommes politiques, journalistes, responsables associatifs, artistes, tous en usent et abusent, tantôt comme substantif, tantôt comme adjectif. Sept lettres, claquant comme un étendard : « citoyen » !

    Les Lumières, berceau du citoyen

    La filiation du citoyen n’est pas à chercher dans les ruines majestueuses de la Ville éternelle, mais dans l’agitation des salons parisiens de la fin du XVIIIè. Le citoyen n’est alors qu’en gestation. Ses géniteurs se nomment Montesquieu, Rousseau, ou encore Mably. A leurs yeux, le citoyen est un « être nouveau », rien de moins : un individu librement associé à ses semblables, par le truchement d’un pacte social. Ce contrat transforme l’individu, devenu citoyen. Ce dernier, bénéficiaire de droits, participe à l’autorité souveraine, obéit à la volonté générale et doit porter les armes. Porter les armes ? Oui, et ce d’autant plus que les philosophes ignorent la distinction entre le citoyen et le soldat. Tous deux ne doivent faire qu’un : un citoyen digne de ce nom doit rester en alerte. Construction philosophique, concept quasi-religieux du faux culte des Lumières, l’idée du citoyen se répand dans le public via le Catéchisme du citoyen de Joseph Saige et les pamphlets de l’abbé Sieyès : Délibérations à prendre pour les assemblées de bailliage et surtout Qu’est-ce que le Tiers Etat ?

    Le citoyen, créature soumise et baptisée dans le sang

    Réunie en trois ordres le 27 juin 1789, l’Assemblée devient constituante le 9 juillet. Dans la capitale, un autre assemblée se forme : celle des électeurs de Paris. C’est elle qui dirigera la révolte du 14 juillet. Du 10 au 17 juillet, ces deux assemblées forcent l’accouchement du citoyen. Dieu avait façonné le Monde en sept jours. Dans un laps de temps identique, les révolutionnaires façonnent leur créature, le citoyen, baptisée dans le sang des défenseurs de la Bastille. Tel Minerve sortant casquée de la cuisse de Jupiter, le citoyen naît armé. Sa lame est déjà souillée. La Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen porte au pinacle l’être nouveau. Derrière la poésie de la Déclaration, se cache une étrange dualité entre l’homme et le citoyen. Si l’homme est défini par ses droits (résistance à l’oppression, liberté de communication, etc.), le citoyen, lui, se caractérise par sa soumission. Soumis à la loi, il est tenu de concourir à la formation de celle-ci, expression de la volonté générale. Mieux : il doit lui « obéir à l’instant ». Jean de Viguerie résume : « fruit de la philosophie des Lumières et de l’imagination des constituants, il a été imaginé pour imposer à un homme très diminué, réduit à un « sous-homme » (Xavier Martin), la dictature de la loi révolutionnaire ». Citoyen rime avec droit de cité ; ce dernier n’est pas octroyé à tous. Femmes, enfants, pauvres, en sont exclus, mais pas seulement. Dans un paradigme où la société politique se confond avec la « grande association », ignorant familles, provinces et corps intermédiaires, l’accomplissement du citoyen passe par l’épuration. Ainsi, après avoir mélangé christianisme et civisme en 1790, la Révolution épurera la religion. D’abord par la lettre – Constitution civile du clergé en octobre 1791 – puis par le fer : les massacres de septembre 1792 n’en sont qu’une tragique illustration. Le citoyen soldat est désormais massacreur. Dans le même temps, la proclamation de la République (22 septembre 1792) fait automatiquement du citoyen un républicain. Cette jeune République n’est pas qu’un simple régime ; elle est surtout un esprit régénérateur, s’exprimant dans un contexte de peur et d’hystérie.[...]

    La suite sur Le Rouge et le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Comment-on-fabrique-un-citoyen

  • FIAC : la fiente en frac

    De Fabrice Hadjadj, écrivain et philosophe :

    "Toutes les époques, il y a eu des nuls et des imposteurs. Mais le nom de FIAC m'a toujours indisposé: les acronymes sont déjà des échecs artistiques et n'augurent rien de bon, d'autant que mon oreille tend à n'y entendre que le mot-valise de la «fiente en frac». Cela foire, effectivement. Aujourd'hui chacun sait qu'il n'y a rien de plus ringard que de militer sous la bannière des avant-gardes. Quant aux partis-âneries, comme vous dites, elles tombent toujours dans les affirmations massives: l'accueil en masse ou la condamnation en bloc. On veut s'épargner un vrai travail de discernement, quelque chose qui ne soit pas que de l'adhésion mondaine ou du rejet épidermique, mais qui se pense à partir de la considération des recherches formelles et d'une mise en perspective dans l'histoire de l'art. Parmi les contemporains, il y a des charlatans, certes, mais il y a aussi de vrais artistes, dignes des grands de jadis. Je pense à Gerhard Richter, à Bill Viola, à James Turell, à Yuri Ancarani, à Rineke Dijkstra et tant d'autres. Tous ceux-là ne prétendent pas à un avant-gardisme en complète rupture avec le passé. Ils entendent au contraire s'inscrire dans la plus pure tradition, revendiquant même un lien avec le Quattrocento ou le Moyen-Âge. [...]

    L'art contemporain est vu par ses contempteurs tantôt comme l'apothéose du potache, tantôt comme le comble du cynisme. On perd de vue les grands drames qui sont à l'origine de ces tendances. En 1915, à Zurich, est fondé le mouvement Dada, qui décide de se moquer de l'académisme et de tourner en dérision les chefs-d'œuvre. Pourquoi cette dérision? Parce qu'il y a la Première Guerre Mondiale. Les grandes civilisations, avec leurs beaux musées, leurs beaux théâtres à l'italienne, n'ont pas empêché la tuerie de masse. Cette soudaine désillusion face à la «religion de l'art», dont on voit les traces dans la dernière partie de la Recherche du Temps perdu, est le premier choc, qui conduit à une première défiance. Il y en aura une seconde, avec la Deuxième Guerre, et le pouvoir nazi. Il ne faut pas oublier que le nazisme fut un esthétisme. Il n'y a pas en lui que les chambres à gaz. Il y a aussi Hugo Boss, les opéras de Wagner, le philharmonique de Berlin, les grands sons et lumières de Nuremberg qui pousseront Drieu La Rochelle, hésitant encore avec le communisme, à pencher finalement pour le pseudo-renouveau hitlérien… Dès lors, toute beauté «grand public» peut devenir douteuse, suspectée de complicité hypnotique avec le fascisme. Et comme Hitler avait aimé la grande musique tonale et méprisé le dodécaphonisme, comme il avait vanté l'art populaire ou antique et condamné l'art «dégénéré», on a cru faire acte de résistance en vantant l'art dégénéré et les compositions atonales. Si vous ajoutez à cela Mai 68, et la crainte désormais du petit bourgeois de paraître en dehors du coup, vous pouvez mieux comprendre pourquoi la transgression est devenue une norme, et pourquoi la subversion bénéficie de subventions d'État… [...]

    Michel Janva

  • 4 novembre 1956 : intervention soviétique à Budapest

    Ce jour, les chars soviétiques entrent à Budapest, après que le nouveau gouvernement – amené par une révolte populaire spontanée contre la tyrannie communiste débutée le 23 octobre – a fait savoir qu’il voulait quitter le Pacte de Varsovie.
    L’aviation et l’artillerie bombardent des poches de résistance ou supposées telles.

    Avec le soutien tacite des démocraties occidentales, l’URSS va écraser l’insurrection dans le sang et entamer une sévère répression.

    Ci-dessous 15 minutes de séquences vidéos tournées par des amateurs le 23 octobre 1956. Elles montrent que cette journée a commencé par une manifestation pacifique d’étudiants, avant que les communistes ne tirent sur la foule.

    Les nouvelles s’étaient répandues rapidement et des émeutes avaient éclaté dans toute la capitale.
    La révolte s’était étendue rapidement en Hongrie et avait entrainé la chute du gouvernement.
    Des milliers de personnes s’étaient organisées en milices pour affronter l’Autorité de protection de l’État (ÁVH) et les troupes soviétiques.

    Source : hungarianambiance.com

    http://www.contre-info.com/

  • Et on voudrait que j’obéisse aux gestapettes de la pensée ?

    Et l’on croit que je vais céder à cette nouvelle intimidation ? Je n’accepte pas la gestapo stalino-talmudique qui assimile à la haine raciste tout refus de la submersion démographique mais absout les insulteurs des Français, de la France et du catholicisme. Avec humilité, je me considère comme un Résistant dans mon pays occupé. 

    Pupille de la Nation, j’aime la France comme ma mère (pas la république, qui est sa caricature en putain). Pour défendre sa mère, on a tous les droits et si on ne les a pas, on les prend. 

    Au surplus, j’ai été élevé dans une famille et un milieu où l’on n’est pas très impressionnable. Mon père, sous-officier de Légion Étrangère, est mort pour la France il y a cinquante ans. 

    Quand les pourris qui livrent aujourd’hui notre pays apprenaient, à l’Ena, à Sciences Po ou à l’École de la Magistrature, à faire et à appliquer les lois dictées par leurs maîtres ténébreux, il donnait sa vie pour garder à la France un empire. 

    Et l’on prétend aujourd’hui m’interdire de défendre l’ultime pré-carré que n’ont pas bradé les Mendès, DeGueulle et autres salauds ? 

    Mes deux grands-pères ont versé leur sang au feu. L’un, jeune officier de l’Armée impériale, aide de camp du général Dénikine, a tout perdu dans une guerre sans merci contre le communisme : parents, frères et soeurs, propriétés, biens. Arrivé en France avec sa jeune épouse, ruinée elle aussi, et un enfant né pendant l’exil, il a poursuivi son combat jusqu’au jour où il est mort pauvre. 

    Et un Gauberg espère me bâillonner à coups d’amendes, comme il a juré de le faire pour toute la presse nationale ? Il n’y a que dans les contes talmudiques qu’on tire du lait en pressant une pierre. 

    Mon autre grand-père était à Verdun à vingt ans. A quarante-cinq ans, il participait à la Résistance. La vraie, pas celle des maquereaux qui ont mis leurs médailles usurpées au tapin. 

    Et l’on voudrait m’interdire d’appeler à libérer, aujourd’hui comme hier, notre pays envahi, occupé, humilié ? 

    Mon enfance a été peuplée de récits de batailles, de prises d’armes, de saluts aux couleurs, de défilés, de remises de médailles, de célébrations du 8-Mai, du 11-Novembre. En famille, nous vivions sous le regard de nos héros. 

    L’école militaire où j’ai passé mon adolescence porte le nom d’un ancien, tombé à 15 ans dans les combats de la Libération : Jacques Lorenzi. Aujourd’hui encore, j’écris entouré de photos de combattants de toutes les résistances. Aux occupants d’hier et d’aujourd’hui, mais aussi aux flics de la pensée, au lobby, au communisme et à la connerie. 

    Et on voudrait que j’obéisse aux gestapettes de la pensée ? Jeanne d’Arc est omniprésente chez nous et l’on espère me forcer à aimer les étrangers chez moi plus que chez eux, et à respecter des cultes imbéciles qui sont autant de célébrations de la Mort ? 

    N’ayant ni l’argent, ni l’entregent des Imbert, éditorialiste au Point, Houellebecq, écrivain couronné, ou Oriana Fallaci, journaliste internationale, fous islamophobes proclamés mais épargnés par une Justice aussi indulgente aux puissants que dure aux humbles, je suis, je le sais, condamné d’avance. Cela ne me fera pas taire. Je continuerai à dire et à écrire que l’immigration est une colonisation de peuplement et l’islamisme un totalitarisme dont les Français ont le droit de se libérer.

    Serge de Beketch

    http://www.oragesdacier.info/

  • A lire : La gauche et le peuple, de Jacques Julliard et Jean-Claude Michéa

    LaGaucheEtLePeuple_CouvBandeau.jpgS’il fallait se convaincre de l’incroyable modernité de ce développement socialiste de la vieille idée aristotélicienne selon laquelle l’homme est, par essence, un animal politique, il suffirait de considérer un seul instant la question, devenue emblématique, du travail dominical (est-ce d’ailleurs tout à fait un hasard si le premier essai politique de Proudhon – écrit en 1839 – était une célébration du dimanche ?) Comment ne pas voir, en effet, que c’est précisément au nom du droit absolu de chacun (considéré – pour reprendre la formule de Marx – en tant qu’individu « séparé de l’homme et de la communauté ») à organiser son temps et sa vie quotidienne en fonction de ses seuls intérêts privés qu’on nous presse désormais d’en finir avec ce terrible « tabou » d’un autre âge ? Au nom, par conséquent, du vieux dogme libéral selon lequel tous les contrats peuvent nouer, à titre privé, deux individus adultes et consentants (qu’il s’agisse, par exemple, d’une prostituée et de son client ou d’un employeur et de son employé) ne devraient en aucun cas « regarder » la collectivité ni, a fortiori, légitimer le moindre contrôle ou la moindre intervention de sa part. Et cela, quand bien même il serait possible de pointer à l’avance toutes les retombées négatives que ces choix – présentés comme entièrement « libres » et strictement « individuels » – auront inévitablement, à terme, sur la forme, le contenu et la qualité de la vie collective (à commencer par ce fait économique élémentaire : le jour où le dimanche sera effectivement devenu un jour comme les autres, il n’existera plus la moindre raison – d’un point de vue patronal – pour continuer à prélever sur le travail dominical une plus-value inférieure à celle qui est prélevée sur celui des autres jours). Or une telle logique – indissociablement économique et culturelle – ne peut, par définition, s’arrêter en si bon chemin. C’est bien elle, par exemple, qui permet déjà de légitimer aussi bien la spéculation boursière et l’exil fiscal (« je fais ce que je veux de mon argent, ça ne vous regarde pas ») que l’idée selon laquelle la prostitution est un métier comme un autre ou l’addiction à la drogue la seule affaire du drogué (« je fais ce que je veux de mon corps, ça ne vous regarde pas »). Et c’est, bien sûr, encore elle – quoique très peu d’esprits à gauche, aient eu le courage politique et intellectuel de l’admettre – qui devait nécessairement sous-tendre l’étrange revendication d’un « mariage pour tous » (en lieu et place d’un pacte d’union civile destiné à donner enfin à tous les couples – quelle que soit leur orientation sexuelle – les mêmes droits protecteurs, notamment après un divorce ou un décès) dès lors qu’on avait préalablement pris soin de réduire l’institution du mariage – conformément au dogme furieusement girondin d’un Noël Mamère – à « un simple contrat passé entre deux personnes par consentement mutuel ». Pur arrangement privé, par conséquent, entre deux individus supposés « séparés de l’homme et de la communauté » et censé n’avoir, à ce titre, aucun effet particulier sur les structures de la vie collective. Alors même qu’il aurait dû être évident – du moins pour quiconque a été initié aux mystères biologiques de la reproduction – que l’institution sociale du « mariage » dépasse toujours le seul point de vue privé du couple dans la mesure où elle met officiellement en jeu la question anthropologique de la filiation et donc, a fortiori, celle du mode de production et d’échange des enfants. Double question philosophique dont on saisira sans doute mieux les enjeux ultimes en se reportant au film prémonitoire d’Andrew Niccol – Bienvenue à Gattaca – qui, dès 1997, décrivait avec la plus grande lucidité les implications inexorablement inégalitaires – enfants de la nature versus enfants perfectionnés de la techno-science et de l’industrie génétique – d’un monde livré aux fantasmes foncièrement eugénistes d’une Christiane Taubira (ou de son mentor Francis Fukuyama).

    http://www.oragesdacier.info/

  • Lucien Cerise " Ingénierie sociale du conflit identitaire"