culture et histoire - Page 165
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L'histoire médiévale dans tous ses états, avec Florian Besson et Lucie Malbos
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Les ducs et duchesses de Bretagne, par Philippe Tourault
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Dossier : Petite histoire de la "Préférence nationale"
En 1932, la Gauche française vote les lois de préférence nationale...
Entre les deux guerres mondiales, la reconstruction du pays nécessite un apport de travailleurs étrangers. En 1926, ils seront 2,5 millions. A partir de 1928, la crise économique mondiale a pour conséquence une montée du chômage de masse. La xénophobie contre les Polonais, Italiens et Espagnols progresse en France.
Dès 1931, la presse syndicale de la CGT ou de la CGT-U (communiste) lance une campagne d’opinion contre « les étrangers qui volent le travail des Français ».
Une proposition de loi de la SFIO, déposée en août 1931 et visant à donner la préférence nationale aux travailleurs français ne sera pas adoptée.
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BD – Hélie de Saint Marc, les combats d’une vie

Le 26 août 2013 disparaissait le Colonel Hélie Denoix de Saint Marc, résistant à 19 ans, déporté à Buchenwald, officier putschiste par respect de la parole donnée, mais surtout homme libre qui a toujours mis en cohérence ses paroles et ses actes.
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Quand les pieds-noirs d’Algérie et du Maroc subissaient des atrocités semblables à celles des israéliens en 2023 (égorgements d’enfants en bas âge, femmes enceintes éventrées, viols, familles brûlées vives…)

1/ MASSACRES DE PHILIPPEVILLE, ALGÉRIE, AOÛT 1955
Le 20 août 1955, dans la zone Collo-Philippeville-Constantine-Guelma, plusieurs milliers d’hommes armés d’armes blanches encadrés par des moudjahidin équipés d’armes à feu se lancent à l’assaut d’une quarantaine de villes et villages et assassinent à coup de haches et de pioches les Français et les musulmans supposés complices
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L’animal et la mort, de Charles Stépanoff
À une période où les débats sont vifs sur les questions de production industrielle de viande, de souffrance animale, et plus généralement de notre rapport au monde du vivant, Charles Stépanoff nous livre ici une étude anthropologique tout à fait éclairante, centrée sur l’étude des pratiques de la chasse.
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La Mort : l'ultime frontière de la pensée ? - Les Sciences Occultes
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La reconfiguration du monde en « grands espaces »
Parodiant après tant d’autres Karl Marx et l’exorde célèbre du Manifeste communiste de 1848, on est tenté de dire qu’en cette fin du XXe siècle, « un spectre hante la géopolitique, le spectre du grand espace ». Le concept de « grand espace » (Großraum) est relativement récent. Ses principaux théoriciens, le géopoliticien Karl Haushofer et le juriste Carl Schmitt, sont allemands, ce qui explique sans doute la confusion fréquente entretenue par l’opinion entre le « grand espace » et le Lebensraum (espace vital impérialiste). Il est vrai que le concept fut d’abord compris comme une théorie justifiant l’expansionnisme colonial des puissances européennes. La meilleure définition du « grand espace » revient à Julien Freund dans Nouvelle École n° 44. Le grand espace, écrit-il, « constitue, pour employer un mot entré en usage après Yalta, un bloc, c’est-à-dire une grandeur politique dont l’influence s’étend au-delà des limites d’un État, plus particulièrement sur les pays environnants. Il s’agit donc d’une puissance politique qui déborde les limites de tous les États qu’elle contrôle directement ou indirectement, et qui introduit de ce fait une autre conception des relations internationales. Suivant l’expression de Schmitt, elle est une puissance “hégémonique”, et à ce titre considère sa zone d’influence comme une chasse gardée, à l’abri de toute ingérence des États qui demeurent à l’extérieur de cette zone et de tout autre éventuel Großraum dans le monde » (1).
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Bruno Colson : « Clausewitz a toujours été noté comme un officier modèle »
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L'Homme et la Société (Louis de Bonald)



