Robert Brasillach laisse une œuvre littéraire immense. Romans, poésie, théâtre, essais, reportages, il a touché aux différents exercices de style avec un même succès. Son Anthologie de la poésie grecque fait toujours référence. Son récit de l’épopée des Cadets de l’Alcazar se lit comme un reportage haletant. Ses Poèmes de Fresnes parviennent encore à émouvoir.
La police de la pensée ne retiendra que son engagement politique. Son rôle de rédacteur en chef du journal Je suis partout lui vaudra un peloton d’exécution à l’âge de trente-cinq ans.