Chers amis,
Vous êtes tous invités à participer aux 54es Journées Chouannes qui se dérouleront à Chiré-en-Montreuil (86 – Vienne) au sein de notre propriété, les 31 août et 1er septembre 2024.
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Vous êtes tous invités à participer aux 54es Journées Chouannes qui se dérouleront à Chiré-en-Montreuil (86 – Vienne) au sein de notre propriété, les 31 août et 1er septembre 2024.
Après chaque attaque de l’Occident, la Russie ne fait que se renforcer. Cela a été déclaré dans une publication pour l’édition turque de Sabah par le chroniqueur Bercan Tutar. Le journaliste a compté au moins cinq tentatives d’attaques contre la Russie par des États occidentaux au cours des 300 dernières années. Mais à chaque fois, elle a non seulement réussi à repousser les attaques, mais elle est également devenue plus forte.
La bataille du Kahlenberg met fin au siège et sauve la ville de Vienne
Le second siège de Vienne par l’Empire ottoman eut lieu du 14 juillet au 12 septembre 1683. Il ne doit pas être confondu avec le premier siège de Vienne de 1529, également par les Ottomans.
La ville, fortifiée par l’ingénieur Georg Rimpler et commandée par le comte Ernst-Rüdiger von Starhemberg, résista à plusieurs semaines de siège, qui fut levé à la suite de la bataille du Kahlenberg alors que la dernière ligne de défense de la ville était déjà directement menacée.
par Kit Klarenberg et Tom Secker
De nombreux dossiers de renseignements envoyés par les Casques bleus canadiens exposent les opérations secrètes de la CIA, les livraisons d’armes illégales, les combattants djihadistes importés, les fausses bannières potentielles et les atrocités mises en scène.
Le mythe établi de la guerre de Bosnie est que les séparatistes serbes, encouragés et dirigés par Slobodan Milošević et ses acolytes à Belgrade, ont cherché à s’emparer de force des territoires croates et bosniaques dans le but de créer une « Grande Serbie » irrédentiste. À chaque étape, ils auraient purgé les musulmans indigènes dans un génocide concerté et délibéré, tout en refusant de s’engager dans des pourparlers de paix constructifs.
Par Pierre Gourinard
Ernest Renan avait écrit La Réforme intellectuelle et moraleau lendemain de la défaite de 1870, dans la douleur du désastre. C’est l’ouvrage le plus réactionnaire de la seconde moitié du XIXe siècle. Renan, qui collabore au Journal des débats orléaniste, se rallie à la République mais c’est comme à un pis-aller. Il n’a pas l’esprit des « couches nouvelles » que Gambetta a éveillées à l’idée républicaine. Renan, s’il accepte la République, n’est pas républicain de conviction et s’il n’aime pas les monarchistes, qu’il juge à tort ou à raison butés en matière religieuse et politique, il défend la monarchie.
Deux faits sont essentiels dans la pensée de Renan :
Difficile de se faire un prénom quand on porte devant l’histoire le nom d’un héros du soulèvement vendéen de 1793. S’il a bien la vaillance de son illustre ancêtre, le général Athanase de Charette a la « sainteté » d’un Lescure ou d’un Cathelineau.
Cet ouvrage est une réédition bienvenue du livre de Jacques de La Faye, paru à la fin de la Première Guerre mondiale, sept ans après la mort du général. Il n’y avait qu’une femme pour saisir cette âme en lutte perpétuelle contre une nature violente. Oui, Jacques de La Faye est en réalité Marie Coudert de Sardent, une parisienne auteur de plus d’une vingtaine d’ouvrages dont une biographie du général de Sonis.