
par Aeronews TV
28 juillet 1945. L’immeuble ne s’est pas effondré…
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par Aeronews TV
28 juillet 1945. L’immeuble ne s’est pas effondré…
À l’heure où l’homme blanc, constamment dévalorisé, est sommé de se déconstruire, il est bon de se remémorer des histoires qui ont fait sa grandeur. L’une d’entre elles a traversé les siècles et son écho résonne encore dans le cœur de chaque Européen : la bataille des Thermopyles. Cette sanglante défaite qui s’est déroulée en août ou septembre -480 est plus actuelle que jamais. Voici pourquoi.
Par Gérard Leclerc
Voici la quatrième partie de l’entretien de Gérard Leclerc réalisé par l’abbé de Tanoüarn sur Radio Courtoisie. Dans la troisième nous avons découvert Pierre Boutang son héritier spirituel et dans la seconde un maître trop peu connu de l’Action française après la mort de Maurras : Pierre Debray. Maintenant Gérard aborde le thème de l’universalisme chez Maurras.
La Rose et l’épée a enregistré son premier album de 13 chansons. Le groupe n’est pas inconnu puisqu’il est issu des défuntes Brigandes, celles qui avaient fait transpirer les médias voici quelques années.
En première ligne sur le front musical, les chanteuses n’avaient pas résisté aux campagnes répétés qui avaient culminé par une convocation du groupe à l’Assemblée nationale, fait unique dans l’histoire de la chanson française1. Les sujets de chansons ne manquant pas et Joël Labruyère étant toujours aussi inspiré, les rescapés du groupe (Sara, Bruce, Irène et Joël) ont décidé de poursuivre le combat musical. Leur style s’est épuré, privilégiant la sobriété et les voix, mais sans les clips vidéos. Les textes sont tout aussi percutants avec douze chansons plus un bonus.
Bien des idées reçues et des a priori circulent encore aujourd’hui autour de l’Histoire de France, et jamais il n’a été plus nécessaire de démentir les unes et de contredire les autres.
Notre Histoire est en effet redevenue un enjeu majeur du débat politique, sur fond de polémique sur l’identité nationale, de volonté de déconstruction et d’offensive de la cancel culture, un enjeu autour duquel se divise parfois radicalement l’opinion.
Il n'y a nul doute sur le fait que Nietzsche a voulu penser un monde sans arrière-monde, un monde sans principe extérieur à lui-même, un monde sans dualisme entre un créateur et une création. A bon droit, on a appelé cela une critique radicale de la métaphysique. C’est-à-dire de toutes les métaphysiques précédentes, à commencer par celle de Platon, accusée de préférer l’Idée, le Beau abstrait, au sensible, au réel, au déjà-là. Nietzsche, destructeur « au marteau » de la métaphysique : telle est l’image que l’on en a. Une vision que Pierre Le Vigan interroge au regard des analyses de Martin Heidegger.
par Boris Egorov
Cela a été l’un des conflits politico-militaires les plus violents et meurtriers de l’histoire de l’humanité. Les combats, les répressions et la terreur, la famine et les épidémies ont emporté jusqu’à dix-sept millions de personnes.
En mars 1917, la monarchie en Russie a été renversée en faveur d’une forme de gouvernement républicain. Pourtant, cela n’a fait qu’empirer les problèmes sociaux, politiques et économiques cumulés dans un pays affaibli par sa participation à la Première Guerre mondiale.
La semaine dernière, les médias indiens ont publié une étrange thèse géopolitique selon laquelle le récent voyage de sept heures du Premier ministre Narendra Modi en Ukraine, via la Pologne, s’inscrivait dans le cadre d’un effort visant à «combler un chaînon manquant – l’Europe centrale – dans la politique européenne de l’Inde». Selon cette thèse, le voyage du Premier ministre signifiait une «poussée» indienne vers l’Europe centrale et orientale, «démêlant l’engagement de New Delhi dans la région de sa relation avec la Russie».