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culture et histoire - Page 433

  • Le symbolisme du loup 4/4

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    [Ci-contre : Hati & Sköll, Kate Redesiuk, 2009]

    Des confréries de ce type se rencontrent aussi en Germanie (les guerriers-loups mentionnés dans le Mabinogi de Math), en Italie (les lucaniens, Hirpini et Hirpi Sorani [loups du Soracte ; Hirpi = nom du loup en Samnite]), en Crête, etc. Au-delà des noms, variables selon les peuples, les comportement et caractéristiques des membres de ces confréries sont identiques et doivent se soumettre, afin d’y accéder, à une rude initiation magico-guerrière.

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  • Démasquons la tyrannie ! – Reportage à l’Université d’été du Pays Réel qui fut un magnifique succès

    Tour d’horizon en images de la troisième Université d’été du Pays Réel organisée par Civitas au Puy-en-Velay.

    Ambiance familiale, conviviale et profondément catholique pour se former à démasquer la tyrannie mondialiste sous prétexte sanitaire.

  • Le symbolisme du loup 3/4

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    [Ci-contre : Hati & Sköll, Kate Redesiuk, 2009]

    Rome a connu un important rite fécondant : les Lupercales, dont l'étymologie renvoie à “loup”, et ircus, “bélier” ou “bouc”. Le 15 février — mois des purifications, qui deviendra celui du Carême et de la Purification de la Vierge dans le Catholicisme —, la confréries des Luperques sacrifiait, dans la grotte du Lupercal, au nord-ouest du Palatin, un bouc ou une chèvre, et un chien. Puis, munis de lanières taillées dans la peau des caprins, ils se répandaient dans Rome en flagellant les femmes, leur assurant ainsi la fécondité.

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  • Le Baron Ungern, Khan des Steppes (Leonid Youzefovitch)

    Roman Fedorovitch von Ungern-Sternberg, baron allemand, général russe de l’armée blanche à trente-cinq ans, prince mongol marié à une princesse chinoise, fait prisonnier et fusillé par les rouges en 1921, est un personnage stupéfiant dont le parcours bien réel dépasse la fiction des aventuriers romanesques les plus extraordinaires.

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  • Le symbolisme du loup 2/4

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    [Ci-contre : Hati & Sköll, Kate Redesiuk, 2009]

    Comme le vieux cycle, le vieil homme doit “mourir” pour que surgisse l’homme à nouveau à la lumière de la Vérité et d’une nouvelle Connaissance. Ce mythe est également en rapport avec un autre type d’alternance : celui du jour et de la nuit, de mort et de résurgence cycliques du Temps et des saisons. L’hiver qui dévore comme un loup la nature corrompue de l’automne, symbolisé par l’ouest, pour la ressusciter au printemps, symbolisé par l’est.

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  • LES DERNIERS FEUX DE L’EMPIRE

    L’éclosion de la Sécession et des mouvements qui l’ont accompagnée ne s’est pas faite en rupture avec l’empire. La modernité viennoise n’avait que des ambitions esthétiques, ceux qui en furent les phares restaient les fidèles sujets d’une Autriche-Hongrie dont nul n’imaginait qu’elle allait disparaître.

    Artistique ou littéraire, le patrimoine autrichien des années 1900 est aujourd’hui l’objet d’un engouement toujours plus vif. En France, cet effet de mode peut être daté de l’exposition qui lui a été consacrée, en 1986, par le centre Beaubourg.

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  • Léonidas et les spartiates à la bataille des Thermopyles (18-20 août 480 av. J.C.)

    Batailles mémorables de l’Histoire de l’Europe. Première partie : Léonidas et les spartiates à la bataille des Thermopyles (18-20 août 480 av. JC)

    Introduction

    L’ouvrage collectif « Ce que nous sommes » édité par l’Institut Iliade nous rappelle qu’être européen c’est avant tout « transmettre l’héritage ancestral, défendre le bien commun ». C’est tout l’enjeu de notre combat : transmettre nos valeurs pour les défendre mais aussi transmettre en les défendant. Car il existe un lien indéniable entre la vitalité d’un peuple et sa volonté de combattre.

    Dominique Venner l’avait parfaitement illustré dans un article intitulé « Guerre et Masculinité », paru dans La Nouvelle Revue d’Histoire. Au risque de choquer, il y soulignait le caractère en quelque sorte tragique qu’avait revêtu pour les Français la conjonction entre la fin de la guerre d’Algérie, « ressentie comme la fin de toutes les guerres » et l’évolution vers une société entièrement vouée aux valeurs marchandes et au consumérisme.

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  • FAUT-IL BRÛLER ERNST NOLTE ?

    L’historien allemand montre l’interdépendance entre le communisme, le fascisme et le nazisme. Une thèse qui perturbe les nostalgiques de la révolution d’octobre 1917.

    Maître d’oeuvre du Livre noir du communisme, Stéphane Courtois estime qu’Ernst Nolte, dont plusieurs ouvrages sont réédités dans un volume de la collection « Bouquins », a « ouvert la voie des études historiques sur les totalitarismes » (1). D’autres considèrent toujours l’historien allemand comme un personnage sulfureux. L’ont-ils vraiment lu ?

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  • La Grande Guerre – Autopsie d’un séisme (Alain du Beaudiez)

    Alain du Beaudiez a passé dix ans comme officier pilote de l’Armée de l’Air avant de devenir ingénieur conseil puis de fonder et diriger pendant 25 ans le Groupe de Conseil en Systèmes d’Informatique MC21. Passionné d’histoire et de musique, il est aujourd’hui Président des Festivals de Musique de Chambre de Saint-Paul-de-Vence et d’Arcachon. Mais c’est un livre sur la Grande Guerre qu’il nous propose. Et plus largement une Histoire de la France, de 1870 à 1935.

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  • Un entretien avec René Girard

    Penseur chrétien, anthropologue de la violence et du sacré, René Girard confronte sa réflexion aux théories de Clausewitz dans un nouvel ouvrage (1), en même temps que ses grands livres sont rassemblés en un volume (2). Entretien avec un contemporain capital.

    En relisant Clausewitz, vous avez découvert une analogie avec votre théorie de la violence mimétique…

    Dans son traité de stratégie, De la guerre, Clausewitz explique que la « montée aux extrêmes » caractérise le monde moderne. Moi-même, j’étudie ce processus d’escalade, cherchant à comprendre pourquoi les relations humaines ne sont pas stables, pourquoi elles évoluent vers le meilleur ou le pire, plus facilement vers le pire. Chez Clausewitz, plus qu’une définition de la guerre, j’ai trouvé une définition « mimétique » des rapports humains, ce qui est l’objet de mes recherches.

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