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culture et histoire - Page 464

  • Histoire de l’Egypte, des origines à nos jours (Bernard Lugan)

    Bernard Lugan, africaniste de renom, auteur de plusieurs dizaines d’ouvrages consacrés à l’Afrique, revient dans les librairies avec son Histoire de l’Egypte éditée aux éditions du Rocher.

    Géographiquement, historiquement, humainement et culturellement, l’Egypte est triple car elle associe le Nil, le delta et le désert. Rythmant la vie des hommes à travers sa crue, sur laquelle était fondé le calendrier de l’ancienne Egypte, le Nil constitue la colonne vertébrale du pays autour de laquelle la population s’est concentrée. Au nord, vers la Méditerranée, le delta – aujourd’hui la grande zone agricole du pays – était, à l’époque dynastique, un monde hostile, marécageux et infesté de crocodiles. Quant aux déserts, ils étaient le domaine de Seth, le dieu mauvais. De celui de l’est surgissaient les nuages de sauterelles et de celui de l’ouest, les invasions des nomades sahariens.

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  • La vision romaine du sacré 4/4

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    IV — Le culte romain de la terre et du sang

    En rapport avec les différents écrits parus sur cette page au sujet de l’antique vision romaine du sacré, nous voulons parler aujourd’hui du sens qu’avait chez les Romains, en relation avec la spiritualité propre aux civilisations indo-européennes en général, la religion du sang et de la terre.

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  • La vision romaine du sacré 3/4

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    Quant aux affinités avec les “sauvages”, ceux-ci, traditionnellement, ne doivent pas du tout être considérés comme les “primitifs”, les stades préculturels et “infantiles” de l’humanité, mais comme des fragments ultimes et dégénérescents, en voie d’extinction définitive, de races et de civilisations très anciennes, dont on a perdu aujourd’hui jusqu’au nom. Et puisque, pour le Romain comme pour nous, ce qui se trouve aux origines ce n’est pas l’inférieur, mais le supérieur, le plus proche de la spiritualité absolue, le fait que certaines traditions ne survivent chez les sauvages que sous des formes matérialisées, bestiales et dégénérescentes ne doit pas nous empêcher de reconnaître le sens et la dignité qui leur sont propres, dès lors qu’on les a reportées aux origines. La “magie” des sauvages est même, dans une large mesure, le dernier écho déformé d’un cycle primordial de civilisation virile et solaire, faite de clarté et de force. de relations directes avec le divin et de gestes de puissance, et non pas de prières et de sentiments.

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  • Pas de politique sans identité !

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    Les peuples européens, confrontés depuis cinquante ans à l’arrivée massive de populations exogènes, sont aujourd’hui sommés de renoncer à leur identité ethnique et culturelle. Henri Levavasseur nous invite à reprendre collectivement conscience de « ce que nous sommes », afin de refonder la cité sur le socle de l’identité.

    C’est sans doute l’ouvrage le plus indispensable du moment que publie aux éditions de la Nouvelle Librairie l’Institut Iliade, sous la plume d’Henri Levavasseur. L’auteur « remet les pendules à l’heure et l’église au milieu du village », ainsi que le souligne Jean-Yves Le Gallou dans son avant-propos. De quoi s’agit-il ? De rappeler que l’identité des peuples est une réalité qui se fonde sur un double héritage ethnique et culturel. Cette identité est dès lors vivante, se renouvelant sans cesse et s’incarnant dans une éthique, à travers l’expression intemporelle d’une manière d’être spécifique.

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  • “COMME LE TEMPS PASSE”, LE ROMAN MYTHOLOGIQUE DE ROBERT BRASILLACH

    René et Florence, les personnages principaux du roman, sont deux jeunes gens qui s’aiment. Aimer, pour eux, cela veut dire se tenir la main, se promener au bord de la mer et cela veut dire, aussi, contempler des îles lointaines, ces fatamorgana toutes miroitantes de souvenirs. Par leurs yeux nimbés de réminiscence, nous entrons presque à notre insu dans le royaume émerveillé de leur enfance qui est un peu la nôtre.

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  • La vision romaine du sacré 2/4

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    II — La conception romaine du “rite”

    Là où le divin n’est pas conçu comme une personne, mais comme une force, le culte ne peut être qu’action. La religion originelle des Romains ne fut pas une religion du sentiment ou de la spéculation, mais bien une religion d’action pure. À la conception du dieu comme numen correspondait la conception du culte comme rite.

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  • La Petite Histoire – Charles Martel a-t-il stoppé l’invasion arabe à Poitiers (rediffusion)

    Tout le monde a aujourd’hui entendu parler de la bataille de Poitiers, en 732, où, dit-on, Charles Martel a stoppé l’invasion arabe de l’Europe. Néanmoins, cette vision historique est sujette à controverses, d’autres historiens arguant qu’il ne prospère que d’une petite escarmouche ou encore que l’affrontement n’a été ni religieux, ni décisif. Qu’en est-il? Charles Martel at-il mis fin aux incursions musulmanes en Europe ? Ou n’a-t-il fait qu’arrêter une razzia parmi d’autres pour son propre intérêt ?


    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-charles-martel-a-t-il-stoppe-linvasion-arabe-a-poitiers-rediffusion