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culture et histoire - Page 461

  • Plus d'argent pour nos édifices, moins d'argent pour l'UNEF et les immondices

  • De la Perse à l’Inde : les commandos allemands au Proche et au Moyen Orient de 1914 à 1945

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    [Ci-desseus : Wassmus en 1915 en tenue persane]

    Les études historiques se rapportant aux 30 ans de guerres européennes au cours du XXe siècle se limitent trop souvent à des batailles spectaculaires ou à des bombardements meurtriers, qui firent énormément de victimes civiles, comme Hiroshima ou Dresde. Les aventures héroïques de soldats allemands sur des fronts lointains et exotiques ne sont guère évoquées, surtout dans le cadre de l’historiographie imposée par les vainqueurs. La raison de ce silence tient à un simple fait d’histoire : les puissances coloniales, et surtout l’Angleterre, ont exploité les peuples de continents tout entiers et y ont souvent mobilisé les indigènes pour les enrôler dans des régiments à leur service.

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  • Basque, alsacien, breton... La France est riche de ses langues régionales, par Natacha Polony.

    Le sujet des langues régionales hérisse tellement qu’à Marianne, parmi les nombreux débats qui nous agitent, celui-ci est un des plus animés.
    © Hannah Assouline

    Ce qui fragilise la langue française, ce ne sont pas les langues qui portent l’histoire de ce pays mais la déferlante effroyable de l’uniformisation culturelle induite par la globalisation.

    « La langue basque est une patrie que l’on emporte à la semelle de ses souliers. » La phrase est de Victor Hugo. Parce qu’il fallait un écrivain, quelqu’un qui habite sa langue et qui sait ce que chaque mot charrie de mémoire et d’imaginaire pour comprendre le rapport des Basques à cette langue étrange, unique au monde, lointaine trace de celle que parlaient les hommes qui peuplaient l’Europe avant les invasions indo-européennes.

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  • ROMAN NATIONAL CONTRE DÉCONSTRUCTION DE NOTRE HISTOIRE !

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    Dans son récent débat avec Zemmour, Philippe de Villiers disait l’importance du “Roman national” parce qu’il est indispensable à la construction d’un imaginaire collectif, et que celui-ci est nécessaire pour qu’il y ait un peuple, un “démos”, conscient de son unité et de sa continuité. Faut-il encore préciser que sans ce “démos”, il n’y a évidemment pas de démocratie puisque plus de peuple souverain.

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  • Passé-Présent : La France ne se résume pas à la République

    Agrégé et docteur en histoire, Jean-François Chemain a professé auprès de jeunes issus de l’émigration auxquels il s’est donné pour mission de leur faire aimer la langue, l’histoire et le patrimoine de notre pays. Philippe Conrad lui propose de développer certaines réflexions contenues dans son dernier ouvrage à propos des notions de distanciation, ou au contraire d’amalgame, menées et entretenues par un grand nombre d’intellectuels à statut, entre les termes de République et de France.

    « Non, la France ce n’est pas seulement la République » – par Jean-François Chemain – Ed. Artège – 2021 – 143 p.


    https://www.tvlibertes.com/passe-present-la-france-ne-se-resume-pas-a-la-republique

  • Désigner l’ennemi : les idéologies de « l’universel »

    Désigner l’ennemi : les idéologies de « l’universel »

    La relecture de Julien Freund est l’une des nécessités les plus impérieuses du moment. Son analyse du politique permet d’y voir plus clair dans l’opposition entre « indigénistes » et « universalistes ». Et de les renvoyer dos à dos : les ennemis de nos ennemis ne sont pas nécessairement nos amis…

    Les très dynamiques éditions de la Nouvelle Librairie ont été particulièrement inspirées d’éditer il y a quelques mois un ouvrage qui s’avère aujourd’hui essentiel pour rendre intelligibles les débats politiques et idéologiques du moment. Le Politique ou l’art de désigner l’ennemi est un recueil de textes présentés par Alain de Benoist et Pierre Bérard, qui permet d’aller à l’essentiel dans la pensée foisonnante de Julien Freund (1921–1993). Philosophe, sociologue et professeur d’Université à Strasbourg, où il créa plusieurs institutions, dont un Laboratoire de sociologie régionale et un Institut de polémologie, Freund a contribué à la diffusion en France des travaux de Carl Schmitt et Max Weber, ainsi que de Georg Simmel et de Vilfredo Pareto. Il est surtout connu pour sa magistrale thèse soutenue en 1965 à la Sorbonne sur L’essence du politique. Pierre-André Taguieff le considère comme « l’un des rares penseurs du politique que la France a vu naître au XXe siècle ».

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  • Jacques Lacroix : “On affirme trop souvent que la langue gauloise n’a transmis dans le français que des souvenirs très réduits….”

    De l’avis de nombreux observateurs, il ne resterait plus grand-chose, aujourd’hui, de la civilisation et encore moins de la langue de « nos ancêtres » les Gaulois : juste une « présence imperceptible » dans le français. Depuis plus de 2 000 ans, cette langue et cette civilisation n’ont-elles pas été balayées par la victoire des troupes de César ? On ne peut nier que le latin ait été adopté en Gaule « romaine » ni que cet ancien idiome du Latium soit la base de notre langue.

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  • Déconstruire notre histoire : Macron se rallie à la “cancel culture”

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    C’est l’alliance de la grande réinitalisation et de la ‘cancel culture’, l’une portée par la haute finance et le forum de Davos, l’autre par l’islamo-gauchisme. Le but : forger un homme nouveau en faisant table rase du passé.

    Invité de l’émission « Face the Nation » sur CBS News dimanche 18 avril, par la journaliste Margaret Brennan, le chef de l’État a évoqué la question raciale, et l’histoire de la France :

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  • Le Zoom avec Rémi Mosca : Quand le pétrole disparaîtra

    Dans son ouvrage « Sang noir – Le dernier siècle du pétrole », Rémi Mosca enquête sur les conséquences de la disparition du pétrole. D’ici 2035, l’auteur estime que nous aurons épuisé près 40% des réserves mondiales connues. Qu’adviendra-t-il de notre corps productif, de nos systèmes de transport, de nos organes de distribution ? Cette crise pourrait-elle changer nos relations sociales, notre raison, voire même les fondements de notre humanité ? Rémi Mosca nous invite à découvrir l’histoire d’un péril auquel personne n’est encore préparé.


    https://www.tvlibertes.com/le-zoom-avec-remi-mosca-quand-le-petrole-disparaitra