culture et histoire - Page 57
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Langues régionales et régionalisme par Pierre de Meuse
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L’Europe d’une guerre à l’autre (XVIII– 1) – Comment la Grande-Bretagne a aidé l’Union Soviétique à combattre Hitler
Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW
Dans les épisodes précédents des Episodes, nous avons souvent décrit des exemples évidents de manœuvres diplomatiques britanniques à l’égard d’Hitler juste avant et au début de la Seconde Guerre Mondiale (lisez par exemple, les chapitres « La Pologne trahie » et » Qui a signé la condamnation à mort de la France en 1940? ») Le principal objectif de la politique britannique à l’époque était de mettre le fascisme allemand sur la voie d’un conflit avec l’URSS. Le pacte de non-agression entre l’Allemagne et l’Union soviétique signé en août 1939 a contrarié les plans du ministère des Affaires étrangères à bien des égards, mais n’a rien changé de la position stratégique de la Grande-Bretagne.
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La Pravda américaine : Comment Hitler a sauvé les Alliés (1)
article en 4 pages
Par Ron Unz
Il y a quelques années, je lisais les mémoires de Sisley Huddleston, un journaliste américain vivant en France, pendant la Seconde Guerre Mondiale. Bien qu’oublié depuis longtemps, Huddleston avait passé des décennies comme l’un de nos correspondants étrangers les plus importants, et des douzaines de ses principaux articles avaient paru dans The Atlantic Monthly, The New Republic et Harpers, alors qu’il avait écrit quelque 19 livres. L’un de ses amis les plus anciens et les plus proches était William Bullitt, l’ambassadeur américain en France, qui avait déjà ouvert notre première ambassade soviétique sous FDR.
La crédibilité de Huddleston semblait impeccable, c’est pourquoi j’ai été si choqué par son témoignage de première main sur Vichy en temps de guerre, totalement contraire à ce que j’avais appris dans mes manuels d’histoire. J’avais toujours eu l’impression que le régime collaborationniste de Pétain avait peu de légitimité, mais ce n’était pas du tout le cas. Des majorités quasi unanimes des deux chambres du parlement français, dûment élues, avaient élu le vieux maréchal en dépit de ses profondes réticences personnelles, le considérant comme le seul espoir comme sauveur national unificateur de la France après la défaite écrasante de ce pays en 1940 face à Hitler.
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Paul Déroulède (1846-1914)
Paul Déroulède, homme politique et poète sous la IIIe République, fondateur et chef de la Ligue des patriotes, est aujourd’hui oublié, y compris dans les milieux patriotes, alors qu’il fut une figure emblématique du nationalisme français jusqu’à sa mort en 1914. La mémoire a oublié ce « premier nationalisme » auquel il se rattache pour le second incarné par Charles Maurras et Maurice Barrès qui se développa dans les années 1890-1900. Pourtant, malgré ses contradictions, son intransigeance et une obstination parfois incompréhensible dans ses erreurs, Déroulède fut un personnage hardi, sincère, opiniâtre mais sans haine. Au-delà de la thématique de la Revanche tombée en désuétude, l’homme qui a incarné son courage et sa ténacité dans son Quand même ! demeure fascinant.
I. Le parcours
Paul Déroulède naît à Paris le 2 septembre 1846, fils d’un père juriste et catholique convaincu. Le cousin du futur fondateur de la Ligue des patriotes est Ludovic Trarieux, futur fondateur de la Ligue des Droits de l’Homme (1898) ! Après une scolarité passable, il obtient son baccalauréat en lettres en 1863. Son père le pousse à l’inscrire à l’Ecole de Droit et il y obtient péniblement sa licence en 1868 et n’aura jamais un seul client au barreau. Il déteste l’Empire et se décrit alors comme pacifiste, antimilitariste, humanitariste voire internationaliste. La guerre de 1870 va le bouleverser.
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La fonction religieuse et astronomique des monuments mégalithiques
Source: https://melmothlibros02.blogspot.com/2024/04/la-funcion-religiosa-y-astronomica-de.html
La fonction astronomique des mégalithes, en particulier en relation avec leur fonction religieuse, est peut-être leur aspect le plus fascinant.
Niée avec obstination par les spécialistes jusqu'à récemment, elle est aujourd'hui universellement acceptée, après qu'Atkinson [1979] l'a clairement démontrée pour Stonehenge. Par la suite, cette fonction a été vérifiée pour les autres monuments.
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Les Éditions de Flore, c’est quoi ?
À la toute fin du XIXe siècle, raconte Charles Maurras dans un livre de souvenirs, lui-même et quelques jeunes intellectuels patriotes avaient pris l’habitude de se retrouver tous les jours « Boulevard Saint-Germain, au coin de la rue Saint-Benoît, assis de guingois » sur leurs chaises « au premier étage d’un café de quartier que décora jadis une statue de sa marraine, la jeune Flore, au-dessus de la porte d’entrée ». C’est là, un demi-siècle avant que « le Flore », envahi par Sartre, Beauvoir et les existentialistes, ne devienne le grand quartier général de la gauche bien-pensante, que Maurras et ses amis vont élaborer, en fumant, en mangeant et en buvant, les premiers éléments d’une réflexion nationale et royaliste « sous le signe et la protection de cette déesse du printemps ».
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L’Europe d’une guerre à l’autre (XVII-3) – Grande-Bretagne – l’amant maudit d’Adolf Hitler
Cette série de trois articles est centrée sur les relations plus qu’ambiguës entre Hitler et la Grande-Bretagne. Tandis qu’il faisait tout pour éviter la guerre avec l’Angleterre, celle-ci faisait son possible pour le pousser dans ses derniers retranchements, comme pour l’obliger à accomplir une sorte de “contrat” antérieur, l’invasion de la Russie. Pour ce faire, des dizaines de milliers d’Allemands vont mourir, des villes seront dévastées par l’aviation anglaise. Londres n’hésitera pas bombarder son allié français et à sacrifier des vies anglaises pour arriver à ses fins. Qu’on se le dise, une bonne fois pour toutes, si une situation similaire se reproduisait, ils n’hésiteraient pas une seconde à refaire la même chose, assurés qu’ils sont de pouvoir écrire l’Histoire comme ils l’entendent, en éliminant s’il le fallait , les témoins gênants, même 46 ans après comme Rudolf Hess. RI
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Février 1934 : une menace fasciste ? , avec Olivier Dard
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10 anciennes civilisations dont vous n’avez peut-être jamais entendu parler
La civilisation est l’ensemble des phénomènes sociaux d’une grande société, notamment : religieux, moraux, scientifiques ou encore techniques. D’un côté, tous s’accordent à dire que les civilisations chinoise et égyptienne figurent parmi celles qui sont les plus célèbres. D’un autre côté, la polémique existe toujours à propos du statut de civilisation des aborigènes d’Australie. Ça peut être étonnant, mais il existe aussi 10 anciennes civilisations dont vous n’avez jamais entendu parler.
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L’Europe d’une guerre à l’autre (XVII-2) – Grande-Bretagne – l’amant maudit d’Adolf Hitler
Par Nikolay STARIKOV
Deux semaines après l’attaque déloyale de la Grande-Bretagne sur la Marine Française, le monde discutait déjà d’un événement très différent. Le 19 juillet 1940, Adolf Hitler monta à la tribune du Reichstag allemand. Dans ce hall étaient assis non seulement les membres du Parlement allemand, mais aussi des généraux, les chefs des SS , et des diplomates – la crème du troisième Reich. Tous ont ardemment écouté leur Führer. Et de quoi parlait-il ? Du brillant succès de l’armée allemande qui avait écrasé la France à une vitesse incroyable. Mais ensuite Hitler continua de parler… de paix. Pas de l’idée abstraite qu’est « la paix dans le monde, » mais d’une paix particulière entre les puissances mondiales qui incarnaient cet idéal. Hitler, un anglophile, était au sommet de sa gloire quand il fit son appel à la paix à la Grande-Bretagne. Le vainqueur offrait la paix au vaincu. Le discours de Hitler, qui était traduit en anglais par un interprète pendant qu’il parlait, a fait le tour du monde.