
Marat, en voici, un nom synonyme de terreur et de folie sanguinaire. Cet homme prétendant être l’ami du peuple fut plutôt son fossoyeur, durant la Révolution française. Usant d'un talent d’orateur qui valait bien celui d'un certain Jean-Luc Mélenchon, il n’eut de cesse de haranguer les foules afin de mieux les contrôler, mais aussi de déchaîner les plus bas instincts de l’humanité sur ses ennemis. Cette folie ne prit fin que lorsque, d'une lame affûtée, la jeune Charlotte Corday tua Jean-Paul Marat, le 13 juillet 1793.