culture et histoire - Page 60
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Le Yéti ou l’abominable homme des neiges - Folklore de l'Himalaya
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Les coulisses de la Déclation Rothschild-Balfour (2)
Les coulisses de la Déclation Rothschild-Balfour (1)
par Aline de Diéguez
“Ne pas se moquer, ne pas déplorer, ne pas détester mais comprendre”. Baruch Spinoza
Où l’on découvre que le complot vient de loin et qu’une meute de loups s’est déguisée en agneaux pour entrer dans la bergerie.
Dépeçage de l’empire ottoman
En 1917, la Palestine, faisait toujours partie de l’empire ottoman. Ni Balfour, ni tel ou tel membre de la tribu Rothschild n’en étaient donc propriétaires. Le gouvernement anglais n’avait aucune légitimité à en disposer ni pour le présent, ni pour l’avenir.
La date de la lettre Rothschild-Balfour (2 novembre 1917) correspond à celle de la victoire de l’armée britannique contre les forces ottomanes à Gaza. Cette victoire, décisive pour la réalisation du projet sioniste, a été obtenue grâce à l’appui des troupes arabes du chérif Hussein, de la Mecque.
Cette “Déclaration” et ses conséquences ne sont intelligibles que dans le cadre de la géopolitique de la région. Nous sommes, en effet, dans une de ces périodes charnières qui déterminent l’avenir du monde. La première guerre mondiale bat son plein. L’Allemagne et son allié, l’empire ottoman qui avait été puissant et glorieux jusqu’à la fin du 17e siècle, sortiront en lambeaux de la confrontation avec les alliés occidentaux, la France, l’Angleterre et les Etats-Unis. La défaite des Allemands et des Ottomans ouvrait alors la boîte de Pandore du démantèlement de ce gigantesque ensemble de nations trop diverses pour survivre éternellement dans un ensemble politique cohérent.
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La bataille de l'Atlantique. 1939-1945, avec Olivier Wieviorka
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Bruno Mégret invité de Martial Bild sur TV Libertés : il est encore possible de sauver la France...
Salus populi, Bruno Mégret, Roman, Editions Altéra, 256 pages, 21,00 €
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Quand les communistes aimaient les nazis
La proximité intellectuelle entre les deux mouvements totalitaires est aussi ancienne que documentée.
Par Stéphane Montabert, depuis Renens, Suisse.
[…] La bonne entente temporaire entre les deux courants du socialisme donna lieu à un film documentaire récent, fort peu diffusé dans la sphère francophone (tout comme le film polonais sur le massacre de Katyn) mais éclairant bien des passerelles entre les deux idéologies. Rien n’est plus faux que le premier mythe du communisme, à savoir qu’il partirait de « bonnes intentions » :
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L’Europe d’une guerre à l’autre (XV – 1) – La Pologne trahie
Par Nikolay STARIKOV – ORIENTAL REVIEW
La vérité sur les racines du conflit germano-polonais qui a mené à la Seconde Guerre Mondiale a toujours été soigneusement dissimulée. Afin de masquer le détestable agenda politique des puissances occidentales, le mythe a d’abord circulé qu’Hitler était fou, possédé par une manie de s’emparer du monde, et que par conséquent sa nature agressive l’a forcé à attaquer tous ses voisins un par un, jusqu’à ce qu’il soit finalement puni par les forces de l’humanité progressiste. Encore plus, ces dernières années, un nouveau mythe a été inventé selon lequel la Seconde Guerre Mondiale était en fait une bagarre entre deux dictateurs, au cours de laquelle des “victimes innocentes” comme la Pologne et les États baltes avaient été broyées par les meules de l’histoire.
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Présentation du livre "LE CRÉPUSCULE DE L'INTELLIGENCE", d'Edward Dutton et Michael Woodley of Menie
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Europa ! de George-Henri Soutou
Du mouvement pan-européen de Richard Coudenhove-Kalergi au planisme de Henri de Man, l’idée européenne est une thématique forte des débats qui ont animé l’ensemble de la sphère politique européenne durant l’entre-deux-guerres.
Historien spécialisé dans les questions de relations internationales au XXe siècle, notamment durant les deux conflits mondiaux, Georges-Henri Soutou aborde ici la question de l’Europe à travers la conception qu’en ont eu l’Italie fasciste et l’Allemagne nazie.
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Le 4 septembre 1870 vu par un député bonapartiste
Le 4 septembre 1870, plus ou moins spontanément, une multitude de Parisiens envahit au matin la Chambre des députés. L’Empire vit ses dernières heures : Gambetta et Favre, entraînant à leur suite la foule, proclament la République à l’Hôtel de ville. Le baron Eugène Eschassériaux est témoin de cette scène. Bonapartiste autoritaire, député de la Charente-Inférieure (actuelles Charentes-Maritimes) de 1848 à 1892 sans interruption, il se distinguera plus tard comme l’un des piliers du parti de l’Appel au peuple (impérialistes) et restera fidèle jusqu’à sa mort à la dynastie déchue.
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Les coulisses de la Déclation Rothschild-Balfour (1)
par Aline de Diéguez
Les coulisses de la Déclation Rothschild-Balfour (1)
“Ne pas se moquer, ne pas déplorer, ne pas détester mais comprendre”. Baruch Spinoza
Où l’on découvre que le terrain est miné et que chaque mot d’un texte apparemment anodin cache un piège.
Dans la véritable guerre de cent ans menée par les immigrants sionistes contre la population palestinienne autochtone, les Palestiniens seraient bien inspirés de méditer les principes que le stratège chinois Sun Tzu a énoncés dans son Art de la guerre: “Je dis que si tu connais ton ennemi et si tu te connais, tu n’auras pas à craindre le résultat de cent batailles. Si tu te connais toi-même sans connaître ton ennemi tes chances de victoires et de défaites seront égales. Si tu ne connais ni ton ennemi ni toi-même tu perdras toutes les batailles.“